Je le fuyais lui, je n'en pouvais plus. Il me rendait dingue, la vie à deux commençait à me rendre dingue et cette dispute était la dispute de trop. Je suis rentrée à Los Angeles dans l'espoir de ne plus entendre parler de lui, je voulais prendre un...
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Je me sens bien, je me sens même trop bien. Fatigué, mais je vais bien. Mon petit ami c'est bien débrouiller. C'est vraiment un bon masseur. Mon stress a disparu du moins pour l'instant. Mais, curieusement, je meurs de chaud. Ouvrant les yeux, la première chose que je vois, c'est les portes vitrées de la chambre de Brent qui sont ouvert, elle laisse entre l'air et la lumière. Mon regard se porte en direction du bureau de ce dernier, il y est assis et semble en plein montage. Du coup, je me regarde-moi à la recherche de ce qui me tient chaud. C'est un plaide, qui repose sur mes épaules.
— J'ai dormi combien de temps, demandé-je à mon compagnon.
Ce dernier qui de basse était concentrer sur son écran, tourne son siège dans ma direction. Il constate que je suis réveillé et ça le fait sourire, il jette un dernier coup d'œil à son écran avant de se rapprocher de moi en faisant rouler sa chaise vers son lit. En ce qui me concerne, je m'allonge sur le dos en prenant le soin de serrer le plaide contre ma poitrine.
— 1 heures, me répondit-il en posant ses mains de chaque côté de ma tête. Comment tu te sens ? Me demande-t-il.
— Je me sens bien, tu as fait du bon boulot, lui informé-je avant de tendre mes lèvres dans sa direction.
Ce dernier rapproche ses lèvres des miennes et m'embrasse en souriant de toutes ses dents. C'est fou ce qu'il est mignon quand il sourit. Je réponds à son baiser avant qu'il ne parte en direction de son bureau.
— Heureusement que tu te sens bien parce que sinon j'aurais dû utiliser ça, ajoute-t-il en me montrant un engin.
— Qu'est-ce que c'est, lui demandé-je.
— Une machine de massage, me répondit-il. Tu veux essayer ? Me demande-t-il.
Comme seule réponse, je me contente de hocher de la tête. Mon copain rapproche de nouveau son siège de son lit tandis que je me redresse en serrant toujours le plaide contre ma poitrine. Je lui tourne le dos. Ce dernier action l'engin et le pose contre mon dos. La première chose que se sent, c'est que s'est froid, mais ensuite... je ne saurais pas vous dire pourquoi mais, ça me fait rire. Je ne sais pas, mais les rotations qu'elle exerce sur mon dos me fait rire. J'ai l'impression que ça me chatouille, mais en tout cas ça fait du bien.
— Tu trouve comment, me demande-t-il en décollant l'engin de mon dos. C'est bizarre, mais ça fait du bien, lui répondis-je en riant doucement.
— Je vois ce que tu veux dire, j'ai déjà testé, me dit-il en riant doucement.
— Sinon parlons de chose sérieuse, tu m'as laissé dormir toute seule, ajouté-je.
— Tu voulais que je te tienne compagnie, me questionne-t-il.
— Ouais, lui répondis-je en me retournant vers lui.
