Je le fuyais lui, je n'en pouvais plus. Il me rendait dingue, la vie à deux commençait à me rendre dingue et cette dispute était la dispute de trop. Je suis rentrée à Los Angeles dans l'espoir de ne plus entendre parler de lui, je voulais prendre un...
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Le lendemain matin Alors, que je suis en train de savourer le confort de se lit que je connais bien et épouse à la perfection mes courbes, je sens quelque chose se glisser à côté de moi. Je n'ai pas envie d'y accorder une quelconque importance, mais je me sens compresser et au bord du gouffre cette chose glisse quelque chose au-dessus de ma tête ce qui me force à ouvrir les yeux. La première chose que je vois, c'est un placard. Pas celui de ma chambre à Syndey, le second placard de Brent. La chambre est à moitié éclairé par les rayons du soleil qui tape contre les portes vitrées de sa chambre. Ses rayons sont légèrement étouffés par les rideaux, ce qui me rappelle des souvenirs ma chambre avec Jordan, me retournant vers l'objet de mon oppression.
Je constate que ce n'est que Brent qui sourit la bouche fermer. Il a son bras gauche au-dessus de ma tête et l'autre au-dessus de celle d'Eva qui d'ailleurs, vient aussi à peine de réaliser que quelqu'un s'est glissé dans notre lit.
— Alors, les filles bien dormies ? nous demande-t-il en nous regardant l'une après l'autre.
— Qu'est-ce que tu fais là, lui demande Eva en se frottant doucement les yeux avant de prendre appuie sur son bras gauche.
— Ben votre soirée fille est terminé donc avec les gars nous sommes rentrés, nous informe-t-il. Nous avons d'ailleurs apporté le petit-déjeuner, ajoute-t-il. Sinon vous n'avez pas répondu à ma question, nous fit-il remarquer.
— D'abord manger, les questions après, ajoute la jeune femme à côté de lui.
Eva se lève du lit téléphone en main puis, elle quitte la chambre, moi, je ne suis toujours pas décidé à bouger donc je m'allonge sur mon côté droit, mon bras droit sous ma tête. Brent se retrouve sur son côté gauche et il m'observe toujours en souriant. Il attend que je lui donne une réponse. Je fais papillonner mes yeux, il se ferme et s'ouvre quelques secondes après.
Pour attirer mon attention, ce dernier n'arrête pas de toucher le bout de mon nez. Ne voulant pas lui accorder la moindre importance, je ferme les yeux. Pourtant, je le sens toujours agiter ses doigts devant mon visage. Je l'entends glousser, ce qui me fait sourire. En ayant marre que cette sensation de doigter plane devant mon visage, je décide de sortir les dents. À chaque fois que je le sens proche. Je finis par l'attraper, d'un coup, j'ouvre les yeux pour me mettre à rire suite à son cri. Ce dernier est en train de secouer son index qui a été touché.
— Aïe !! Mais tu es un vrai requin toi, me dit-il en riant doucement.
— Faut pas me chercher dès le matin, lui informé-je en souriant.
— Sinon cette soirée, me demande-t-il en examinant son doigt blessé.
— Elle était plutôt sympa, lui informé-je en prenant appui sur mon coude.
Ce n'était pas si mal honnêtement on a beaucoup ris. Ce sont des filles plutôt sympas. On a bien mangé. D'ailleurs, j'ai une de ses faims. Il a bien dit qu'ils avaient apporté le petit-déjeuner. Eva doit sûrement être en train de se remplir le ventre. Je devrais aussi être en train de me remplir le ventre.
