Je le fuyais lui, je n'en pouvais plus. Il me rendait dingue, la vie à deux commençait à me rendre dingue et cette dispute était la dispute de trop. Je suis rentrée à Los Angeles dans l'espoir de ne plus entendre parler de lui, je voulais prendre un...
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Je me suis disputé avec Brent. Comme quoi les choses entre nous ne font qu'empirer et je suis encore une fois en tort étant donné que j'ai gardé contacte avec mon ex. Je savais que ce moment allait venir. Je savais que ça ne lui plairait pas. Il a craqué et je l'accepte. Je ne peux pas lui en vouloir pourtant, je suis folle de rage parce que j'ai gâché une relation qui était parfaite.
Je quitte donc la cuisine après lui, et je continue ma route jusqu'à rejoindre le porche de la piaule. Je poursuis ma lancé et me lance dans une marche effrénée dans une destination qui met encore inconnu. Je n'ai nul par où aller et je n'aime pas ça. Je pourrais aller au garde-meuble, mais mon lit est à la piaule, je ne pourrais pas m'y prélasser. C'est risqué, mais je pense que je vais demander à Jordan de venir me chercher.
Après tout, nous sommes amis non ? Et puis, il est quand même venu me dire qu'il aimerait qu'on se voie plus en temps qu'amie. Je sais bien qu'il attend plus venant de moi. Je ne suis pas stupide, mais je vais quand même l'appeler et rester sur mes gardes. Sortant mon téléphone de ma poche arrière, je me rends dans mes contacts et l'appelle après avoir trouvé son nom dans mes appels récents. Je plaque ensuite mon bien contre mon oreille.
— Yo, me salut-il.
— Tu peux venir me chercher ? Lui demandé-je.
— Ouaip bien sûr où ? Me demande-t-il.
— Je t'envoie l'adresse, ajouté-je.
Décollant mon téléphone de mon oreille, je quitte l'appel sans raccrocher et me rends dans mes conversations sms. J'entre dans notre conversation et lui envoie un sms avec l'adresse. Mon engin retrouve ensuite mon oreille.
— Je l'ai, me dit-il. J'arrive.
— A tout, lui dis-je avant de raccrocher.
Plongeant mon bien dans ma poche arrière, je croise les bras et attends qu'il arrive.
Un peu plus tard.
— Voici mon chez moi, commence Jordan.
Oui, je suis chez lui, il a un appartement dans une charmante petite résidence. Les murs sont de couleur blanche tandis que le parquet tout comme la porte son en bois. Tout de suite sur ma droite se trouve la cuisine, en face de moi, je vois le salon, son canapé gris, un gros pouffe dans le fond. Il est bien installé. Il a une télé, une table basse, plein de truc. La pièce est plongée dans le noir donc mon hôte se balade dans la pièce et pousse ses rideaux pour ensuite ouvrir la porte vitrée qui donne un aperçu de sa terrasse. Il se rapproche ensuite de ma direction tout en me faisant signe de m'approcher. Étant donné que je suis là, je ne vais pas faire ma difficile. Je ferme la porte derrière moi et me rapproche de lui.
— Ma chambre, se trouve dans ce couloir, commence-t-il en me montrant le petit couloir sur ma droite. Il y aussi la buanderie, ajoute-t-il en posant sa main sur mon épaule. De l'autre côté, ajoute-t-il en se tournant vers ma gauche. Il y a deux chambres qui ne demande cas être habité, poursuit-il. Ils sont chacun, leur propre salle de bain, m'informe-t-il. Alors vient vivre avec moi, insiste-t-il.
