III : Je suis une plante

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Au bout d'un moments je me rendis compte que le galop se répercutait contre les parois de la montagne en un écho abominable. On repartit donc au pas, ce qui rallongera quand même mon voyage, tout ce que je ne voulais pas enfaite. Mais je préfère prendre quelques jours de plus que de mourir de cette manière.

Depuis huit jours je traversais le Mordor en essayant de faire le moins de bruit possible. Sans savoir pourquoi, j'étais terrifiée, enfin ça ne change pas vraiment de d'habitude donc bon... Théoriquement il me reste un jour de marche pour atteindre les portes noires. Le passage ne m'ammene pas directement au Mordor, mais  devants ces grandes portes étant donner que c'est un tunnel basé sur une stratégie militaire, ce serait pour prendre les ennemies qui sont entrée au Mordor à revers.

Par contre, j'ai pu apercevoir quelque chose qui m'as glacé le sang, un œil de feu tout en haut d'une immenses tour noie comme le charbon, elle ne figurait dans aucun récit... Pourtant il faudrait, la grande tour du démon qui surveille chacun de nos pas... Il ne semble pas m'avoir remarqué... Pour le moment en tout cas, où alors il ne me prend pas pour une menace potentiel, je n'ai aucunement envie de vérifier l'une ou l'autre de mes théories...

Je le sens paaaaaas, mais alors pas du tout. J'essaye de faire le moins de pause possible pour partir au plus vite de ce lieu qui me fait froid dans le dos... Étoile de jais commence à fatiguer, et moi aussi je dois l'avouer, mais nous somme devants une des grande ouverture sur le Mordor, je repère rapidement un rocher dernière lequelle nous pourrions nous cacher le temps de ce reposer.

On reste là une petite heure, j'ai manger un minimum, mais il faut dire que le lembas n'as pas de goût donc je n'e  abuse pas. Au moins ça me remplis l'estomac, c'est déjà ça, je ne suis pas en manque d'eau ce qui est un bon point. J'allais me relevée quand une lumière orange se glissa partout autour de moi, je n'osai même pas me retourner.

Je me suis statufier. L'œil me fixe, je ne bouge pas...

Je ne suis pas là.

Je suis une plante.

...

Oui, c'est ça une plante verte totalement inoffensive qui fait des truc de plante tranquillement dans son petit coin...

La lumière commençait à partir quand le caillou sur lequel était poser mon pieds glissa et faillit me faire tomber. Je ne tombe jamais, alors pourquoi MAINTENANT. La lumière revient immédiatement vers moi à une vitesse impressionnante.

JE SUIS UNE JOLIE PETITE PLANTE VERTE !

UNE PAUVRE PETITE PLANTE QUI FAIT CES TRUC DE PLANTE TRANQUILLEMENT ET EN PAIX !

Au bout d'une minute qui me sembla durée des milliards d'années, la lumière ce désintéresse de moi, un miracle, mais je ne donne pas chère de ma peau la prochaine fois...

Je saute rapidement sur le dos d'Étoile de jais et la lance au galop, il faut que je parte le plus vite possible de cette endroit, porter par mon empressement elle galopait à toutes vitesse avec le vent qui me fouettait le visage. Sans savoir pourquoi, je me sens terriblement fragile, je déteste ça. La dernière fois que je me suis sentie comme ça c'était après la mort de ma mère.

Je m'accrochait fermement au sangles de ma jument, essayant de ma raccroché au présent et ne pas sombrer dans les souvenirs de ma mère, je sais me débrouiller contre la peur qui me tord le ventre, mais pas contre la tristesse qui me compresse le cœur. Ma vu se brouilla, cela fessait très longtemps que je n'avais pas pleuré, quand je pleure je suis toute seule, il n'y a plus personne pour venir me consoler. Jamais. Je me sens tellement inutile dans ses moments là...

Ma mère était la femme la plus belle, la plus gentille et la plus incroyable que ce monde n'est jamais connue. Elle laissait souvent ses cheveux détaché, raison pour laquelle les miens son toujours attaché en coiffure compliquer. Je ne vois pas de quelle manière je lui ressemble, elle est l'elfe la plus courageuse qui n'es jamais exister et moi j'ai peur d'une lumière, j'en suis même à un point ou j'ai même peur d'ouvrir la bouche ou de regarder mon père en face !

Je me souviens des printemps que nous passions dans les jardins, elle m'as appris faire des couronnes de fleurs de toutes les couleurs avec Arwen, nous aimions rajouter des rubans dedans, nous rigolions beaucoup. Quand j'étais avec ma mère j'arrivais à contrôler mon pouvoir, je n'en avais plus  peur, tout semblais bien ce passer quand j'étais avec elle, comme si rien ne pouvais m'arriver. Elle était mon modèle, mon pilier, mon pauvre petit monde tournait autour de sa personne.

Puis ce jour est arrivé, un jour comme les autres en sommes... Il est arrivé. Ça cible n'était pas ma mère, c'était moi qui était viser, c'est moi qui devais mourir ce jour là. Mon cœur me fait si mal depuis ce jour, pourquoi a-t-il fallut qu'elle se jette devants moi, elle n'a pas hésiter une seule seconde, je me souviens de son regard, il ma hante chaque jour. Mais étrangement, moi, j'ai beaucoup trop peur de mourir, je m'en veux chaque seconde qui passe, elle a tellement de courage, beaucoup plus que je n'en aurais jamais. J'ai besoin de servir à quelque chose, de me sentir utile... Mais je n'ai aucune idée de comment m'y prendre.

J'aime les histoires, je tiens ça de ma mère. Mon prénom est d'ailleurs inspiré d'une de ses histoires préfère. C'est une histoire triste qui parle d'une femme qui envoûte les hommes avec ses yeux, son nom est Loreline. Son être aimée était partie pour de lointaine contrée, son absences était si étouffante qu'elle voulait en mourir. Ensuite cela dépend des versions, mais certaine disent que son chant a un pouvoir étrange et prestigieux, dans d'autres que ce son ses yeux pleins de pierreries. Dans touts les cas elle est déchirée par le chagrin et chante en haut d'un rocher détournant tout les bateaux, les marins étant étaient hypnotisé par le belle Loreline.

Quand l'hiver venait, elle nous racontait plein d'histoire à moi et à mon frère. Je me souviens il me semble, du silence émerveillé lors de ses histoires, sa voix envoûtante donnait une profondeur à ses mots et les rendais vivants. La reine était une elfe incroyable, il était tout simplement impossible de ne pas l'aimer. Sa mort à laissée un froid immenses dans le palais, dans tous le royaume même, tout semblait être plus ternes, comme si il manquait quelque chose d'essentiel. Mon frère c'est mis à être distant et froid avec moi, je ne le voyait plus, il semblait m'éviter, lui aussi m'avait abandonné, je n'avais plus qu'Estë.

Enfin, depuis j'ai souvent pensé aux été que je passais à Imladris avec Arwen, dès fois il y avait Legolas aussi, mais rarement. On fessaient une équipe de choque tous les trois pour faire l'inverse de ce qu'on nous demandaient... Enfin, cela fait plus de 500 ans que je n'ai vu ni l'un ni l'autre. Je me demande ce qu'ils sont devenus et si ils se souviennent de moi..?

Je secoua le tête pour revenir au présent, cela fessait bien longtemps que je n'avais pensée à tout cela aussi fortement... Je relevai la tête et vis une grande porte s'élever devants moi. Je stoppa ma jument que se cambra, c'est bon... Je suis bientôt sortie du Mordor, il faut juste que je dépasse ses portes sans me faire voir.

Je me rapproche d'Imladris à chaque pas. Sans le savoir, j'ai toujours rêvée d'y retournée, je me souviens vaguement de son architecture incroyable et son panorama calme à couper le souffle... Comme je rêve d'y retourner...

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Heyyy ^^ Voici un nouveau chapitre, j'en ai un peu en brouillon donc je poste une fois par jour pour le moments ^^ sinon j'espère que l'histoire vous plais ! En tous cas je m'amuse bien à l'écrire 😂

En plus maintenant il est corriger (au mieux) ^^

En plus maintenant il est corriger (au mieux) ^^

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Une voix d'or - Livre IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant