Une voix d'or - Livre I

XVIII : La remise en question

Le vent soufflait doucement dans mes cheveux, le soleil brillait contre ma peau.

- LORELINE !

J'ouvris les yeux, je déplaçais doucement une branche avec une multitude de feuilles rouge qui étaient devans mes yeux. Perchée dans mon arbre, ma cachette secrète. Je vennais ici pour échappé à mes responsabilités, c'est vrai, qui irait chercher une princesse perchée dans un arbre ?

Le plafond était inexistant, laissant le soleil, le vent et la pluie entré dans cette pièce, des pierres blanche et sculpté formait des murs de 3 mètre de haut, entouraient majestueusement l'arbre au feuille rouge, coeur du royaume d'Ekriviel. L'accès à cette salle est restreinte, seule la famille royale peut y vennir comme elle le souhaite.

Cet arbre millénaire représente le coeur du royaume, c'est autour de cet arbre que le royaume à été créé. Les oiseaux chantaient autours de moi, soudain, j'entendis la grande porte s'ouvrire, je me fit la plus discrète possible. Ma mère vennait d'entrée dans la pièce. Si ses long cheveux de la couleurs de la lune flottant dans son dos ne vous informe pas de son identitée, la couronne sur son frond le fesait rapidement :

- Je sais que tu es là Loreline...

Je me recula doucement et m'assit sur une branche, fessant le moins de bruit possible, les feuilles épaisse me cachait au yeux de ma mère. Je tendis l'oreil essayant de savoirs où se trouvais maman, mais je n'entendais plus rien. Je tournais ma tête dans tous les sens où pouvait-elle être ?

Une main se posa sur mon épaule derrière moi :

- Je t'ai trouvée.

Je baisa les yeux, honteuse, je n'étais pas censé être ici, mais à un cours de bonne manière. À la place je me retrouve perché dans un arbre... :

- Tu va le dire à papa ?

(Nda: Je sais que les elfes ont une croissance plus lente que celle des humains, mais pour les besoins de ma fanfiction les elfes ce développe comme les humain jusqu'à leurs 20 ans environs ^^)

Il est vrai que du haut de mes 12 ans je ne peux pas vraiment tenir tête à mon père. Donc si en plus vous rajoutez roi... Ma mère se posa à côté de moi sur ma branche et je me mis contre elle :

- Cela va rester entre nous ma princesse. Mais tu va devoirs me promettre quelque chose, d'accord ?

Je levais deux grand yeux curieux vers elle. Qu'es-ce qu'elle pourrait me demander ? :

- Dis-moi, aujourd'hui tu t'es cachée ici pour échappé au cours de protocole, parce que c'est ce que tu voulais ?

- Heu... Oui, mais pourquoi tu me demande ça ?

Elle pris mes main dans les siennes et plongas ses yeux violet et dorée brillant comme des millions de pierres dans les miens, identique au siens. Une fois certaine qu'elle avait l'intégralité de mon attention elle parla :

- Promet moi de toujours pensé de cette manière. Ne fait pas quelque chose si tu ne le veux pas. Ton titre ne dois pas décider à ta place, tu es dotée du libre arbitre sur ta vie. Comme chaque personne présentes sur ses terres. Ne fait pas les même erreurs que moi ma princesse...

Elle posa sa main sur ma joue. Je ne comprend pas, que voulait-elle me dire ..?

Promet moi de toujours pensé de cette manière. Ne fait pas quelque chose si tu ne le veut pas. Ton titre ne dois pas décider à ta place, tu es dotée du libre arbitre sur ta vie. Comme chaques personne présentes sur ses terres. Ne fait pas les même erreurs que moi ma princesse...

- Que voulais tu me dire maman ? Je ne comprend pas...

Je me retrouvais de nouveau dans les jardins de Fondcombe, le soleil allait ce lever. J'abaissa mon épée pour regarder ce spectacle. Les paroles de ma mère toujours en tête...

Promet moi de toujours pensé de cette manière. Ne fait pas quelque chose si tu ne le veut pas. Ton titre ne dois pas décider à ta place, tu es dotée du libre arbitre sur ta vie. Comme chaque personne présentes sur ses terres. Ne fait pas les même erreurs que moi ma princesse...

La nuit fit place au jour. Le soleil me brûlait les rétines et je dû fermer les yeux. Tu es dotée du libre arbitre sur ta vie. Comme chaque personne présentes sur ses terres. Libre... Je veux aider Frodon dans sa quête. Mais comment puis-je être utile ? Ne fait pas les même erreurs que moi ma princesse. De quelles erreurs parle-t-elle ? Promet moi de toujours pensé de cette manière... Parce que c'était ce que tu voulais ?

Je veux aider Frodon... Mais je veux aussi soutenir Arwen, elle ne va pas bien... Je dois en parler avec elle.

Je range rapidement mon épée avant de courir jusqu'au appartement de ma meilleur amie. J'ouvris doucement la porte et la vis réveillée, elle se tourna vers moi et tenta un sourire. Je m'assit à côté d'elle :

- Tu n'as pas dormis ?

Je posa ma main sur la sienne.

- Je n'avais pas sommeil. Ne t'en fait pas pour moi.

Elle posa sa seconde main sur le mienne et me regarda dans les yeux, ses yeux bleu comme un ciel d'orage semblait vouloir sonder mon âme :

- Qu'es-ce qui te tracasse Loreline ?

- Je... Je ne sais pas...

Effectivement. Je ne sais rien... :

- Tu ne sais pas si tu as pris la bonne décision en restant ici ? Je me trompe ?

- Non... Ils pourraient avoir besoin de mon aide... Mais ils pourraient aussi très bien ce débrouiller sans moi...

Elle lâcha ma main et relava mon visage pour que j'affronte son regard, regard que j'évitais:

- Dit moi pourquoi tu es restée ici.

- Je... Je pourrais être dangereuse pour eux. Un poids en plus... Mon pouvoirs est semblable à celui de l'anneau... Je...

Arwen me coupa :

- C'est étrange... Je ne me souvenais pas que Loreline ne fesait pas quelque chose parce qu'elle avait peur. Je me souviens que malgré la peur elle avançait. Le courage est l'une de tes qualitées les plus présente. Donc je te le demande. Que va tu faire Loreline ?

Je... Moi ? Courageuse... Je leva mes yeux vers les siens que j'essayais d'éviter depuis le début... Elle a raison... Il est vrai que j'ai peur, mais la liste de mes peurs est trop longue pour être dite... Cela ne m'as jamais empêcher de faire quoi que ce soit... Je ferme mes yeux, remettent mes idées en place.

Soudain, tout me parrus comme une évidence.

Il faut que je rattrape la communauté et que je les rejoignent.