XIX : Le destin

1K 78 15
                                    

Je me retrouvais maintenant à chercher le seigneur Elrond dans sa demeure. Il ne pouvait pas être dans son burreau comme d'habitude ?

Mes pas m'ont finalement conduis au magnifique jardins de Fondcombe et a ses fleures de toutes les couleurs, Elrond était là, le regard vide plongers vers l'horizon. Il semblait en pleine réflexion, je m'avanca doucement vers lui, ne voulant pas le couper dans ses pensé :

- Seigneur Elrond ? Désoler de vous déranger mais j'ai à vous parler.

Il tourna sa tête vers moi et me signifia de continuer d'un signe de la tête :

- J'ai longuement réfléchis et je me suis demandér si j'avais réellement pris la bonne décision en restant ici...

- Je me demandais quand tu allais vennir me parler de cette décision. Si tu veux partir les regoindre fait comme bon te semble. Tu as ma bénédiction pour les regoindrent. Mais avant repose toi, un long voyage t'attends.

Je souris et remercia le seigneur Elrond avant de suivre son conseil et d'aller me reposer dans ma chambre. Malgré le soleil, je m'endormis rapidement d'un sommeil profond et réparateur. Les images de mon palais en mémoire m'apportent du réconfort.

Je voyais ses grandes batissent blanche sculptée avec la plus grande précision. Ses rivière étincelante comme de millier de diaments, la verdure omniprésente. Il me semblait même sentir les doux parfum fleuri unique à mon royaume. Le soleil brillant contre ces murs du royaume, il semblait prendre vie avec le bruits des pas, les rires et les chants qui pouvais être perçus au quatres coins du royaume. Je revoyais ses magnifique fleure au pétale rosé qui semblait danser avec le vent qui portait leurs parfum délicieux dans les airs.

J'ouvris délicatement les paupière, laissant ses paysage si famillier long derrière moi, le soleil ce couchait donnant l'impression que le monde brûlait dans une douce chaleur apaisante.

Je pris un bain chaud puis pris une tenu dans laquel les déplacements était aisée, confortable et surtout pratique pour un long et éprouvant voyage. Je pris un pantalon noir qui me semblait comme une seconde peau et des bottes en cuire de la même couleurs, elle sont renforcé par du métal et m'arrive à la mi-cuisse, me servant d'elles comme armure elles sont très souples et résistante. Ensuite je mis une tunique grise et met un corset de la même matière que celle de mes botes autour de ma taille, un corset qui ne me coupe jamais la respiration, pas comme ceux présent dans les robes de la cours... Je mis ensuite un menteau et je protège mes bras et mes epaules des meilleurs façon que je peux. J'accrocha le manteau avec une borche en forme d'étoile un peu au dessus de ma poitrine. Ce vêtement était un étonnant un mélange entre un manteau et une cape de couleurs noire. Je cacha et protéga mon colier sous mes couches de vêtement. Je regrouppa mes cheveux en nattes élaborés qui fesaient le tours de ma tête sans me déranger dans mes mouvement ni encombré ma vision.

J'ouvris doucement la porte d'Arwen, quand elle me vit entrée on se pris dans les bras et elle me serra fort contre elle :

- Fait attention à toi Loreline, je te considère comme ma soeur. Je t'aime.

- Je t'aime aussi Arwen. Je te promet de faire attention.

Elle m'embrassa avec douceur sur le frond :

- J'ai confiance en toi. Tu as fait le bon choix, j'en suis certaine.

Je mis ma main sur mon coeur et la salua, elle me rendis se signe et je partie en dircetion de l'armurerie. Je mis mon grand arc et un carquois de flèches dans mon dos. Je placa des dagues un peu partout sur moi de manière à ne jamais être sans défance, j'en mis certaines dans mes botes, d'autres à ma ceinture... Puis je pris mes deux épées que j'accrochais à ma ceinture.

Ensuite je suis aller voir ma jument, Étoile de jais, elle semblait inquiète en me voyant, comme si elle avait deviner que j'allais partir... Je caressa avec amour son encolure et lui dit :

- Tu as été une excellente amie durant ce voyage, mais pour celui qui m'attend je ne peux t'ammener avec moi.  Tu sera heureuse ici, je reviendrais te chercher ma belle.

Je posa mon frond contre le sien pour un derniers au revoir et essaya de ne pas versé de larmes puis je courus vers la sortie de la demeure d'Elrons. D'ailleurs, il semblait m'attendre devans les portes :

- Seigneur Elrond, je suis honorée de votre présence.

- Princesse Loreline, j'espère que ce voyage vous ferra découvrir des aspects de vous que vous ne connessiez pas. Je vous souhaite bon voyage, que les Valar vous protège.

Je mis ma main sur mon coeur et le salua solanellement avant de partir en direction de la forêt, que le pistage commence ! Pour commencer je sais qu'ils sont partis vers la gauche, Mithrandir l'a dit lui même. Je m'avanca donc prudament sur cette route, cherchant des indices sur la direction de leur voyages, je commença à prendre la route.

Mais avant de pouvoir faire quoi que ce soit, une odeur nauséabonde se fis resentir. Des orques. Je monta avec agilité et sans un bruits dans un arbre et me mis arcoupis sur une branche. J'arma lentement et prudament mon arc et j'attendis. Si l'odeurs ne m'avais pas avertis de l'arrivée des immondes créatures, je l'aurais facilement été par leurs bruits hallucinant. Non mais ils le font vraiment exprès c'est pas possible ?! Il lance un signale en mode ; "bonjour je suis là, le premiers qui me tue à gagné". D'après mon oreils, ils sont trois, je pense m'être échappée de situation pire qu'un combats contre 3 orques...

Soudain, alors que leurs mots n'était qu'un ensemble incompréhensible et qui fesait froid dans le dos, mon cerveaux semblait me traduire automatiquement leurs paroles, je n'avais pourtant jamais entendus cette langue auparavant mais je la comprenait au bout de 5 minutes d'écoutes... À moins qu'ils aient changés de langue... Des mots on soudain attiré mon attention :

- Le chefs nous a dit de suivres les 4 petits hommes. Donc on suit les 4 petits hommes, il faut les lui donner vivant. On pourras manger les autres.

Outre les allusions légèrement cannibale et meurtrière des trois orques qui passèrent en dessous de moi sans me voir je décida de ranger mon arc. Ils semblaient savoirs où ils vont, je vais les suivres et je les tuerais plus tard...

Une voix d'or - Livre IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant