Une voix d'or - Livre I

XXXI : Vous êtes sûre que je ne suis pas folle ?

Ma chambre était comme avant, les rideaux blanc volaient au vent, les murs clair brillait alors que le soleil ce couchait au loin derrière le lac sur lequel était construit le palais, je déplaçais le rideau et m'avançais sur le balcon, ma mère regardait le soleil ce coucher accouder à la balustrade, je marchais doucement vers elle, je ne portait plus ma tenu de combat mais une robe elfique blanche et simple, mes pieds nu sur le sol froid me fessait du bien. Je posais ma main sur l'épaule de ma mère qui ce tourna vers moi et me sourit :

- Regarde Loreline, c'est beau...

Je regardais le coucher de soleil, ils étaient magnifique ici, l'eau semblait brûler, elle étincelait de couleurs chaude et rassurante. Je me sentais bien :

- Tu sais ce qu'il c'est passer Loreline ?
- Non... Pas vraiment.

Ma mère pausa sa main douce mais froide sur la mienne :

- Tu es entrain de mourir ma chérie.
- Comment ?
- Tu meurs de chagrin.

Je retourna mon regard vers le soleil qui ce couchait, peut-être que ce n'était pas plus mal comme ça finalement :

- Tu as le choix Loreline, tu peux encore te sauver. Il faut juste que tu te réveille.

Je ne répondit rien en fixant le soleil alors même qu'il me brûlait la rétine :

- Mais si je me réveille... Je ne te verrais plus jamais. Tu sais Lómion pense que je t'ai tuée. Ce n'est pas totalement faux, si je n'avais pas été là on ne m'aurais jamais lancée cette dague et tu ne m'aurais pas sauver...
- Loreline, je ne peux pas vivre dans un monde où tu n'existe pas. Qu'es-ce que tu as ?
- Je... Jamais personne ne m'acceptera comme je suis...

Ma mère posa sa main sur mon épaule et me pris dans ses bras, je me sentais bien, j'approfondis ma réponse, j'avais besoin d'en parler avec elle :

- Tout le monde attend quelque chose de moi, mais je ne sais pas ce que c'est... J'ai l'impression de toujours tout faire de travers, que je ne me met pas assez à leur place pour comprendre telle ou telle situation. J'ai l'impression de décevoir tout le monde autour de moi, je fait toujours tout ce qu'on me demande mais ce n'est jamais suffisant. Que pourrais-je faire de plus ? Personne n'a besoin de moi.
- Alors arrête. Arrête de faire ce que tout le monde attend de toi, tu es peut-être une princesse Loreline, mais ça ne t'empêche pas d'être toi. Crois moi je sais de quoi je parle, de toute manière tout le monde va ce souvenir de ce que tu as fait de mal alors autant faire ce que tu veut. Ce que je veux te dire Loreline, c'est que tu n'as pas besoin d'être quelqu'un d'autre, tu es comme tout le monde, tu as des sentiments, des peurs, du courage, des envies, des rêves... Fait ce que tu veux, je te soutiendrai quoi qu'il arrive.

Je pris une grande inspiration, respirent l'odeur de ma mère. Elle sentait la mer et le lys, un parfum doux et fougueux, cela décrivait parfaitement ma mère. Je me sentais biens dans ces bras, c'est l'endroit où je me sentais le mieux au monde... Enfin... Non, c'est faux... Je... Je ressentais quelque chose de similaire avec Legolas. Rien qu'a cette pensée je me suis sentie rougir jusqu'au bout des oreilles, mais qu'es-ce que je raconte moi, il est plus grand que moi et on ce connais depuis toujours, je suis juste une sœur pour lui. Je tourna la tête vers le lac et vis le soleil passer sous la mer, le ciel semblât s'illuminer et les étoiles commencent à apparaître. J'aime les étoiles, je les trouve rassurantes, elles montrent que même si il est loin, le bonheur finira par arriver un jour, elles me redonnent espoirs. Ma mère s'écarta de moi pour mettre ces mains froide sur mes épaules, la brise nocturne fessait volée ces cheveux lui donnant un air divins, tout comme ces yeux qui brillait sous la lumière de la lune d'un éclat rassurent :

- Je t'aime ma chérie, pour toujours et à jamais.

Elle retira une main de mes épaules pour défaire ma coiffure, un chignons qui ne tenait qu'avait une baguette en métal, elle la retira et je sentie mes cheveux tombé dans mon dos, elle m'offrit un sourire magnifique avant de ma faire un baiser sur le frond. À partir de ce moments là elle semblait étinceler et commençait à disparaître :