XXI : Le meurtre (ou presque)

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Nous marchions depuis maintenant deux heures, deux heures que j'essayais de m'empêcher de pulvérisé Aragorn pour le fait qu'il est fait pleuré Arwen. Il est important pour la communauté, c'est le futur roi du Gondor je ne dois pas le tuer...

Même si ce n'est pas du tout l'envie qui manque !

Cela fesait également deux heures que je réfléchissais au parole de Gandalf, un autre pouvoir ? Non... Plus une évolution je dirais... Enfin, cela me tracasse plus que je ne le devrais... Perdus dans mes pensée je ne vis pas Frodon qui c'est mis à marcher à côté de moi, je sursauta légèrement quand il pris la parole :

- Je suis très heureux de vous voir ici Loreline.

- Merci de m'avoir pousser à vennir, l'information aurait mis plus de temps à montée à mon cerveau.

- Donc qu'es-ce qui vous a persuadée à vennir ?

Je ne pu m'empêcher de lancer un regard à Aragorn avant de dire :

- Un meurtre.

Soudain je vis quelque chose autour de son cou. Le collier d'Arwen... Alors soit il est indécis soit il a un réel problème mentale...:

- Excusez-moi.

Je me mis à marcher en silence à côté d'Aragorn sous le regard apeuré de Frodon qui a deviné mes intentions. Au bout de quelque minutes Aragorn semblait mal à l'aise et me demanda :

- Tu veux quelque chose Loreline ?

Je lui sourit et demanda clairement :

- As-tu un problème mentale Aragorn ?

- Non, mais pourquoi tu me demande ça..?

Je le prend par surprise le mettant facilement à terre, ma dague contre sa gorge et le dit un peu fort :

- ALORS POURQUOI TU LUI AS DIT ÇA ?!

Ouais bon, je lui es peut-être légèrement explosé les oreilles... :

- Calme toi Loreline, ce n'était pas moi je...

- Tu ne va quand même pas me dire que tu as un frère jumaux !

Je raprocha encore plus ma dague de sa gorge, si j'avais pu je l'aurais tuer seulement avec mes yeux. C'est malheureusement impossible... :

- Non, c'est Elrond pour qu'elle puisse regoindre les siens !

Son explication tennait la route... Mais je ne baissa pas ma dague pour autant ! Soudain je me retrouve dans les airs placer sur des épaules. Les épaules de Legolas vu les cheveux, il vennait littéralement de me prendre comme un sac à patate sans aucun remord ! :

- LÂCHE MOI ! SA TÊTE EST ENCORE ACCROCHÉ AU RESTE DE SON CORPS !

Je me débattait mais il sembla n'en avoir rien à faire :

- Arrête de te comporté comme une-

Je releva mon buste pour être à la verticale, il stopa sa phrase et je répondit :

- Si tu dit "gamine" je te coupe les cheveux.

- Tu n'oserais pas.

- On paris ?

J'approchais lentement ma dague (que je n'avais pas lâché) de la chevelure blonde de Legolas pour illustré mon propos. Le résultat fut immédiat et il me lâcha, j'étais devenus une crêpe sur le sol. Legolas sourit fièrement en me tendant la main :

- Vous me parressez un difficulté mademoiselle.

- Pas du tout. Je fait un câlin au sol, ça ne ce vois pas ?

Je me releva ensuite en nettoyants mes vêtements avec mes mains. Tous le monde semblaient nous fixer quand Gandalf fini par soupiré :

- J'ai fait l'erreur de pensé que vous aviez gagnier de la maturité depuis les feux d'artifice...

- Oh, mais nous avons fait bien pire que d'allumer des feux d'artifice Gandalf. Aller demander à Thruandil.

Il nous regarda et soupira une seconde fois :

- Je ne veux même pas savoir. Bon maintenant que vous avez fini vos bêtise il serait peut-être temps de reprendre notre route.

Sans plus parler, le magiciens repris sa route, on le suivit tous sans reparler de ce qui vennait de ce passer. Soudain, Gimli dit une blague disons... Spéciale sur les elfes, enfin, il visait surtout Legolas qui vennais (encore) de faire une réflexion sur les nains...:

- Les nains sont certes des demi-homme, mais les elfes mâle sont des demi-femme.

Soudain à la fin de la phrase de Gimli je fus obligé de me mordre la lèvre inférieure pour ne pas explosé de rire. En effet un jour avec Arwen, ses frère moi et Legolas nous jouions à action et vérité en pleine nuit. Legolas à eu l'excellente idée de dire action, le lendemain il a passer la journée en robe. Cette image me fessait rire, Legolas qui semblait avoir le même souvenir en tête répliqua :

- Comment sait-on qu'un nains est bourré ? C'est quand il commence à dire des trcus sensés.

Legolas, c'est pas contre toi, mais cette image est restée bloquer dans ma tête. Je ne pu m'empêcher d'exploser de rire, Gimli allait dire quelque chose mais Legolas le devanca :

- Arrête de rire Loreline, ce n'est pas drôle !

Tous le monde semblait perdus, effectivement ils devaient pensée que je rigole à la blague de Legolas mais non. C'est simplement celle de Gimli qui était incroyablement bien chosis... Entre deux rire j'ai reussi à dire :

- Et en quelle honneur princesse Legolas ?

À la fin de ma phrase il plaqua sa main contre ma bouche pour me faire taire. Gandalf qui était un peu plus en avant nous jetta un regard :

- Je ne veux même pas savoir ce qu'il c'est passé... Avancée on va bientôt s'arreter pour la nuit.

Je fis quelque pas en sautillant pour arrivé à la hauteur de Gandalf qui me regarda de biais :

- Vous allez bien ? Je sais que vous êtes joyeuse et drôle mais... C'est différent.

Je soupira et souris contrit :

- Cela sonnait si faux que cela ?

- Non, j'ai l'impression que vous vous réfugier dans le rire.

J'aussa les épaules en essayant de retirer l'image de ma mère qui vennais dans mon cerveaux. On arrive dans une clairière et Gandalf décide de passer la nuit ici. Tous le monde commença à prépare de quoi s'installer rapidment quand Gandalf me demanda d'approcher, il était avec Gimli :

- Oui ? Qui as-t-il ?

- Je voudrais vérifier quelque chose. Gimli s'il vous plais.

La nain commenca à parler dans sa langue. Mais je ne comprends pas la nain, je dis :

- Gandalf, je ne comprend pas le nain. Vous le savez, je n'ai jamais entendus cette langue.

- Mais vous savez la lire non ?

- Lire est un grand mot. Disons plutôt que je sais déchiré les textes basique et pas spécialement complexe.

- C'est déjà bien pour une elfe ma dame.

- Merci beaucoup maître nain.

Gandalf se tourna vers moi :

- Tu vois Loreline, tu as compris ce qu'il a dit.

- Il viens de parler en langue commune. Evidament que j'ai comp-

Il me regardait avec un air désoler... :

- Excusez-moi.

Je suis aller chercher du bois dans la forêt. Mais qu'es-ce qui cloche chez moi ?! Je pouvais pas être une efle comme les autres ! Mais non, il a falut que ma voix envoûté n'importe qui... Ce n'est pas juste, pourquoi moi ?!

Une voix d'or - Livre IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant