XVII : Le départ et les envie de meurtres

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Le départ de la communautée arrivait à grand pas. Legolas et moi continuions à nous prendre la tête, mais c'est notre manière à nous de nous dire qu'on c'est manquer.

Les paroles de Frodon me revenaient souvent en tête. Ai-je fais le bon choix en décidant de ne pas faire partie de la communauté ? Je ne sais pas... Enfin, je n'ai plus le temps de m'en préoccupé, ils vont bientôt partir pour leur quête, j'espère sincèrement que tout ce passera bien...

J'étais dans ma chambre lorsque quelqu'un toqua. Je ne m'étais pas encore coiffé, mes longes mèches blanche et fine en casacade sur mon dos. J'ouvris la porte et vis Legolas, étonné je l'invita à entrée :

- Ça va Loreline ?

Depuis quand Legolas me pose ce genre de question..?

- Heu... Oui... Tout va bien ? Tu n'as pas de fievre ?

- Très drôle. Non, je voulais juste te dire au revoir. Les cheveux détaché te vont plutôt bien.

Je pris une mèche entre mes doigts avant de l'enrouler autour de celui-ci :

- Cela me fait beaucoup trop pensé à ma mère de les garder détachées...

- Tu veux en parler ? Tu sais que je ne te jurerais pas.

Oui... Et je sais aussi qu'il pourrait être la seule personne qui puisse réellement comprendre ce que je vis. Je me mordis la lèvre inférieure avant de décider de me lancer :

- Je... Elle me manque. Tout le temps. J'ai l'impression qu'elle a disparut du jour au lendemain et que tout le monde l'a oubliée... Depuis qu'elle nous a quitté personne n'a prononcé son nom... Comme si elle n'avait jamais existé...

Ma voix tremblait, je sentais les larmes me monté au yeux. Je tenta de les chasser en battant des cils mais il y en avait trop. J'en sentie une rouler sur ma jour, lentement. Comme pour marquer ma peau...

Je ne m'y attendais pas, mais Legolas me pris dans ses bras. Je suis plus petite que lui, ma tête arrive légèrement au dessus de son épaule. Je me suis étonné à pleuré contre son épaule. Depuis que ma mère est morte, personne n'est venu me consoler, c'est la première fois en 200 ans... Ça fait bizarre... Quand mes pleures ce sont calmer, Legolas pris la parole :

- Ma mère est morte lors d'une bataille à Gundabad, mon père n'en parle jamais... Il n'y a pas de temps... Pas de souvenirs... Rien.

À la fin de ses paroles, le silence ce fit durant quelques secondes... J'avais ma tête sur son épaule. J'étais étrangement bien dans ses bras... Mais je me résout à brisé ce silence :

- Tu dois y aller. Tu va finir par être en retard.

Il me lâcha et me saluat une dernière fois. Je me fit une natte et decendit rejoindre Arwen et Elrond qui souhaitaient un bon voyage au groupe. Je vis qu'Arwen était bizarre... Je me posa à côté d'elle et écoute Elrond parler :

- Le porteur de l'anneau prend la route en quêtes de la Montagne du Destin. Vous qui voyagez à ses côté, aucun serment, aucun engagement ne vous oblige à aller plus loin que voys le souhaitez. Adieu. Ne vous détournez pas de votre but. Que la bénédiction des Elfes, des Hommes et de tous les peuples libres vous accompagne.

Je regardais le groupe une dernière fois et sourit à Frodon en baissant la tête. Signe qu'il me rendit. Gandalf pris la parole :

- La communauté attend le porteur de l'anneau.

- Le Mordor, Gandalf. C'est à gauche ou à droite ?

Je me modis la lèvre pour ne pas rire. Son innocence me fait sourire, malheureusement je ne pense pas qu'elle durera encore longtemps... :

- A gauche.

Quand tous le monde fut partie, Arwen n'a pas bougée de sa place. J'avais remarquer qu'elle ne portait plus son collier, symbole d'immortalité. Elle avait ses yeux bleu fixée sur l'horizon. Je pris sa main dans la mienne, elle tourna sa tête vers moi et des larmes on commencer à couler de ses yeux. Je serra sa main dans la mienne, je n'aimais pas la voir comme ça. Elle posa ça tête sur mon épaule et commença à pleurée, j'essayais de la consoller comme je le peux mais je ne sais pas comment faire... Je ne sais plus... Hésitante, je mis mon autre main sur son épaule.

Je décida de l'ammener à sa chambre. Une fois arrivé elle s'effondra, en pleur sur son lit. Je m'assit dessus :

- Que c'est-il passer Arwen ? Tu t'es fâché avec Aragron avant qu'il ne parte ?

Ses pleurs on redoublé, oh non, qu'es-ce que j'ai dit encore moi ?! Pourquoi j'ai dit ça ! Quelle idiote. Entre deux sanglot, Arwen commenca à parler :

- Mon collier... I-il me l'a... Rendus. I-il disait qu'il était mortel... Qu-que ce n'était qu'un rêve...

PARDON ?! Non mais il va voir quand je vais revoir ça tête à celui là ! Je mis délicatement ma main dans les cheveux d'Arwen. Essayant de la réconforté comme possible... Je resta avec elle durant de longues heures. Ses pleurs c'étaient calmer, mais moi je voulais voir Aragorn souffrire. Comment a t-il pu dire tout cela à Arwen !

Elle fini par s'endormir, je la couvra avant de sortir de sa chambre. À peine ai-je fais un pas dehors que les jumaux sont apparus devans moi :

- Comment va-t-elle ?

- Comment va notre soeur ?

Je secoua la tête de gauche à droite, assez discrètement avant de dire :

- Mal. Très mal. Elle a besoin de repos...

Ils me remercièrent et quittèrent le couloir. Je tenta de trouver le sommeil, mais rien. Je n'arrivais pas à dormir, trop perturbée par l'état d'Arwen que je considérais comme ma soeur. Je fini par me résigner et me leva de mon lit. Je n'arrivais pas à tennir en place, je mis un pantalon, une tunique et partis en direction d'un endroits où m'entrainer.

Je pris mon épée et la mania, doucement au début puis de plus en plus vite, fendant l'air, la contrôlant parfaitement. Du paumeau au bout de la lame. Je fini par m'arrêter, leva ma lame au niveau de mon visage, je vis mon reflet dans celle-ci, mon visage diviser en deux, je me voyais d'un côté. De l'autre c'était ma mère...

Qu'aurait-elle fait à ma place ?

Une voix d'or - Livre IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant