Une voix d'or - Livre I

XXVIII : L'amour brille sous les étoiles

Avant de vous exposez la situation dans laquelle je suis, je tiens à rappeller que je suis très stressé par le fait qu'il n'y ai ni étoile, ni lune, ni aucune lumière naturelle sur mon chemins. Tout le monde prend bien cela en compte ? Je peux continuer ? Très bien.

Alors je tenais fermement mes deux lames à quelques millimètre de la chose qui a fait du bruit derrière moi, mais quelle est donc cette chose derrière moi ? Hé bien... C'est Legolas... Mes yeux sûrement terrorisé était planté dans les siens étonné dans un premiers temps, puis il comprit, il connaît ma peur du noir, il connaît la plupard de mes peur enfaite. Il ne bougeas pas d'un millimètre, je n'avais aucune idée de si les autres nous regardaient ou n'avaient rien vu. Il prit doucement la parole :

- Tout va bien Lore, c'est moi. Tu sais que je ne te ferait pas de mal.

Je prenais une profonde inspiration pour me calmer mais rien n'y fesait. Chaque bruit me parraissait suspect, je voyais mes pire cauchemars sortir de derrière les rocher sombres, je raccroche mon regard à celui de Legolas qui semble calme comme si il n'en avait rien à faire de mes deux lames qui encadre son cou.

- Baisse ces lames Lore, tu sais que je ne te ferait jamais rien...

Je le sais... Je sais qu'il ne me veux aucun mal.

- J'ai peur...
- Je sais Lore, je sais.
- Elle est partie... Elle n'est plus là... Elle me manque...

Je laissa mollement retombée mes deux épées dans un petit bruit métallique et me mis à sanglotter comme une gamine, ma mère est au centre de tout mes cauchemars... Pourquoi il a fallut que ma mère meurt... Ce n'est pas juste... Alors que je venais de ranger mes lames dans leurs fourreaux je sentis Legolas m'attirer contre lui alors que je sanglottais. Je fermais les yeux pour essayer de retenir mes larmes soudain la voix de Gandalf retentis :

- Qui ? Qui est morte ?
- Ma... Ma mère...
- La reine Orla est morte ? Comment ? Quand ?!
- Il y a environ 200 ans... Je... Elle a été tuer...

Je sentis mes jambes trembler à ses souvenir, Legolas me serra un peu plus contre lui ce qui m'étonne, les elfes en générale sont très discrets et peu tactile, Legolas encore plus. On repris donc la route en silence, je me suis accroché au bras de Legolas mais n'ai pas réussi à le lâcher cette fois.

Je ne saurais dire exactement combiens de temps c'est écouler mais nous sommes finalement arrivée devants un immense mur qui semblait étinceller comme des millions d'étoiles dans le ciel noir. C'était magnifique :

- La richesse de la Moria ne vient pas de l'or ou des joyaux, mais du mithril. Bilbon avait une cotte de mailles que Thorin lui avait offerte. Nous informa Gandalf
- Oh ! Ça c'était un cadeau royal !

Ajouta Gimli, ce qui eu le mérite de m'arracher un petit sourire malgré la situation :

- Je ne lui ai jamais dit, mais sa valeur était plus importante que la Comté entière !

On repris donc notre chemins dans le silence, je ne m'accrochais plus à Legolas, mais je restais près de lui, sa présence me rassure, surment parce que je le connais depuis longtemps comparée au autres. Un temps qui me parrus durée une éternité plus tard, nous arrivons à une intersection, je tourna la tête vers Gandalf :

- Je ne me souviens pas de cet endroits...

Super...

- Sommes-nous perdus ?

Bha si Gandalf ne reconnaît pas cette endroit... Oui, totalement.

- Non.

Tenta de ce rassuré Merry, mais il fallait compter sur Pippin pour casser le morale, ce n'est pas dans ces habitude pourtant...: