IV : Les porte noire, sésame ne t'ouvre pas...

1.3K 87 10
                                    

J'avais entendus parler de ces rempare énorme, mais je ne m'attendais pas à... Ça... Elles sont immense... Et garder par des créature immonde soit dit en passant. Ce sont deux grandes porte majestueuses et terrifiantes, je sais maintenant qu'elle cache quelque chose d'encore plus abominable dedans...

Comment je fais moi pour déjouer cette surveillance... Ok, je vais m'éloigner comme si de rien était et si jamais on m'attaque je les distances pour m'éloigner et me battre en paix. Ouais, c'est un plan pourris certes, mais on ne m'as jamais demander de faire des plan incroyablement géniaux non plus... Bon je vais juste priée pour que tous ce passe bien, ce n'est pas comme si je n'avais pas l'habitude de priée pour sauver ma peau...

Allez, tout va très bien ce passer, je fais avancer tranquillement ma jument à l'opposer de ces énormes portes du démon aux yeux de feu. Du moments qu'elles ne s'ouvrent pas, tous ce passera très bien. Ne pas regarder dernière moi, je tend l'oreille, à l'affût du moindre bruit suspect, prête à m'élancer très loin et très vite au galop.

Pitier, que les portes ne s'ouvrent pas... Sésame je t'en supplie, ne t'ouvre pas pas. Pitié... Par tout les Valar je vous en conjure...

Je marchais tranquillement répétant cette phrase dans ma tête, priant les valar. Je ne peux pas mourir maintenant... Pas de cette manière, ce serait vraiment bête...

Et vous savez quoi ? Ça à marcher ! Je suis maintenant très loin de ces portes à faire du galop pour m'éloigner le plus rapidement du danger, peut-être qu'ils ne me pensaient pas dangereuse, bref, dans tous les cas je suis loin de ses porte je suis libre ! Enfin si je veux aller à Fondcombe je dois me rendre vers le Nord-ouest ! Donc... C'est partie...

J'ai galoper une dizaine de jours, j'ai croisée quelques Orques mais par groupe variant de trois à six. Puis un jour, j'ai vu des Orques apparaître, mais ils étaient bien plus nombreux, c'est vrai qu'il doit y en avoir plus de ce côté du pays, mais je n'en connais pas la raison... Je vais essayer de m'informer au prochain village que je croise. Enfin, il ne faut pas que j'oublie qu'une dizaine d'orques son derrière moi, pensant être discret...

Je sortie rapidement mon arc en me mettant debout sur mes étrier, fessant un tour de 180° avec mon buste et commença à tiré, visant la tête. Ils tombent un par un comme des poupées de chiffon, je me suis lancée un défi personnelle, tous les toucher entre les deux yeux. Pour l'instant un sans faute ! Il m'en manque un seul, malheureusement il vient de prendre la fuite voyant tout ses copain mort. Bon je ne pourrais pas l'avoir entre les deux yeux... Donc je lui tire une flèche à l'arrière du crâne. Il tombe instantanément avec ces semblables.

Je range donc calment mon arc et me remet normalement sur Étoile de Jais qui n'avais pas bronché, j'arrive à apercevoir un village au loin, je vais donc dans cette direction, ralentissant petit à petit, je vérifiai d'avoir bien mis ma capuche, cachant mes yeux de couleurs anormal le mieux possible, mes oreilles sont bien cacher par ma capuche tout comme mes cheveux, cependant une mèche argenté c'est échapper de ma coiffure et était visible, mais du moments qu'on ne vois pas mes oreilles pointue tout va bien. Il faut aussi que je fasse attention à ne pas parler, très attention... Je ne voudrais pas envoûter quelqu'un par inadvertance... Pour signaler au Hommes que je n'ai nullement l'envie de leurs adresser la parole, j'ai pris un tissus de couleurs noir que je ramenai jusqu'à mon nez, ne laissant pratiquement aucun centimètre de mon visage visible.

Arrivé devants le village, je descendis souplement de ma jument. La tenant près de moi, au début les passant m'on lancer de drôle de regard, il est vrai que c'est un peu mal vu de voir une femme ce balader armée... Hum... Je n'y avait pas pensé et en plus personne ne peut déterminer les traits de mon visage, tout ce qu'ils savent sur moi est la couleurs de mes cheveux, aussi blanc que la lune. Ce n'est pas grave, de toute façon si on me cherche des ennuies je les défonces donc bon je n'ai aucune raison de m'en faire.

Je trouvai une auberge et m'installa tout au fond, toute seule pour écouter les conversations. Avec un peu de chance certains vont discuter des infos des années précédentes. Je mis cependant un certain temps à tilter que... Bha ce sont des humains. Pas des elfes... Ils ne parlent donc pas en elfique... Je me disait aussi que ça ne voulais rien dire... Hum... On va dire que rien ne c'est passer ok ? Que j'ai tout de suite mis mon cerveau en langage commun...

Bref ! Pour la plupart, ils ne racontent rien de vraiment intéressant... J'intrigue quelques personnes, mais sans plus, tant mieux, ils ne connaissent pas mon prénom donc je suis la fille au cheveux d'argent. La gentille aubergiste viens souvent me voir pour savoir si je voudrais quelque chose, mais j'essaye d'être la plus aimable possible sans ouvrir ma bouche, je ne voudrais pas paraître méchante non plus.

Soudain j'entendis parler de quelque chose. Une allusion à un certain "Smaug" et aussi à "Thorin Écu-de-Chêne" cela me dit vaguement quelque chose. La première chose à laquelle j'ai pensé était la montagne solitaire et Erebor, on y trouvait de l'or comme du sable dans le désert au Sud du pays. J'ai eu l'occasion d'y aller une fois quand j'étais toute petite, c'était magnifique, son architecture était époustouflante, sophistiquée mais surtout l'endroit était immense.

Mais je n'ai pu y retourné car il y à environ 490 ans mon père à refusée que quiconque entre ou ne sorte d'Ekriviel. Il disait que c'était trop dangereux, mais pourquoi, je n'en sais rien. Puis ma mère est morte... Ensuite ma mère est morte... Depuis ce jour rien n'es pareils. Le royaume entier à changer...

- Vous êtes sûr de ne rien vouloir mademoiselle ?

J'allais refuser avant de finalement ouvrir la bouche et dit tout doucement :

- Seulement de l'eau s'il vous plais.

- Je vous apporte ça tout de suite.

Une fois que l'aubergiste fut partie avec un sourire, j'effleurai avec mes doigts mon cou, l'endroit où se trouve mes cordes vocale. Je n'en suis pas sûr mais... Je pense avoir utiliser mon pouvoirs, je n'en suis pas certaine... Maman disait que pour contrôlé mon pouvoir je devais faire confiance à mon subconscient, que quand j'aurais confiance en moi je pourrais le contrôler à ma guise. Mais je n'y arrive pas... Autant mes aptitudes au combat ne me fond pas défaut, autant quand il s'agit de prendre la parole j'ai l'impression d'être une petite chose fragile qui risque de ce brisé à tous moments... La gentille dame revient avec un verre remplie d'eau :

- Voilà, si vous voulez autre chose appeler moi.

- Merci...

Elle repartis comme elle est venus, je bu tranquillement de l'eau, un homme, forgeron je dirais lui demande mon identité, elle répond ne pas me connaître, mais lui annonça que j'avais une voix incroyable, comme du cristal. Ok, il faut que je parte d'ici en vitesse. Il ne faut pas que je reste trop longtemps. Je fini rapidement mon eau sans non plus paraître suspecte que je ne lui suis déjà et sortie aussi rapidement que possible de l'auberge, repris ma jument et partie du village. Bon, je pense que je ne vais pas faire mon enquête toute seule, mais plutôt demander au seigneur Elrond des informations, ce serait plus pratique... Et moins dangereux pour moi et mon identité.

 Et moins dangereux pour moi et mon identité

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Chapitre corriger

Une voix d'or - Livre IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant