XII : De grande aventure pour un petit homme

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Arwen et moi galopions depuis un moments, deux jours pour être précis. La lune vennait de ce lever, puis on entendis des cris. On se regarda à peine une seconde qu'on se mit d'accord pour allez vers les cris d'agonie.

On tomba sur Aragorna accompagner de quatres Hobbit. Enfin, Arwen avait trouvé Aragorn et moi les hobbit. Un était au sol et semblait s'être pris un coup d'épée dans l'épaule. Sans réfléchir plus, je retira mon collier et fredonna un air. Ma voix chantée est beaucoup plus puissante que ma voix parlée. Arwen le soignait rapidement comme possible et moi je l'apaisais, j'essaye de calmer la douleur. Après une discution, Arwen et Aragorn on décidés qu'elle et moi amèneront le Hobbit blesser à Fondcombe alors que lui amènerait les autres avec lui.

Je monta à cheval et restais le plus proche possible d'Arwen pour que mon chant atteigne toujours le petit homme. Les Nazgul nous poursuivaient et ont fini par arrivé dans une rivière alors que le soleil c'était lever. Arwen récita un texte elfique et la rivière chassa les Nazgul. On retourna à Fondcombe, malgré mon chant le pauvre Hobbit gémissait quand même de douleur.

Des guérisseurs on immédiatement pris le semi-homme en charge, mais je restais près d'eux. Je voyais que chanter en elfique ne marchait pas très bien sur lui, alors j'ai essayer la seule autre langue que je connais. La langue commune. Étonnamment cela semblait plutôt bien fonctionner.

Le voir ce détendre m'appaisa ainsi que les guérisseurs avec moi. Quand ils ont fini leurs travaillent ils m'ont remerciée et son partit aller informé Elrond de leurs avancée, je restais avec le petit Hobbit. Il semblait apaisé. J'avais l'impression d'avoir un enfant en face de moi. Il a l'air si petit et si fragile là maintenant. Dès fois, je trouve que le monde est cruel. Le porteur de l'anneaux, c'est lui. Ce pauvre Hobbit à un poids incommensurable sur les épaules, ses frêles petite épaules... Cela ne doit pas être simple. Je peux comprendre un minimum ce qu'il vit, il tiens entre ses main le destin de ce monde. Et moi je suis capable de modifier ce destin à ma guise avec un simple mot.

Mais pourquoi ? Pourquoi c'est lui qui porte cet anneaux ? Pourquoi c'est moi qui ai de la magie dans sa voix ? Pourquoi nous et pas quelqu'un d'autre ? C'est vrai, j'ai abandonnée mon peuple, je suis égoïste. Moi j'ai perdus ma mère, mais eux en on aussi perdus. Ma mère était plus que la reine d'Ekriviel, elle était l'âme et le coeur du royaume. Du beau royaume...

La porte s'ouvre, coupant court mes pensées quelque peu mélancolique. Je reconnu immédiatement Elrond, je le salua d'un hochement de tête et il me répondit de la même manière. On se mis ensuite à observer le Hobbit dans son someil, je ne voudrais pas le déranger en parlant. Il a l'air tellement calme par rapport à tout à l'heure...

Je fini quand même par remettre mon collier et chuchotte à Elrond :

- Vous vouliez me parler ?

- Effectivement Loreline. Suit moi, je vais demander à Arwen de le surveiller. Attend moi dans mon burreau.

Je lui signifia mon accord et partis en direction du bureau du seigneur Elrond. Je me dirigeas vers le balcon, la vu de Fondcombe à toujours été époustouflante. C'était tout de même assez différent des paysages que l'on peut trouver dans mon royaumes. Il y a des casacades et des forêt mais... Les deux lieux sont très différent l'un de l'autre :

- Tout va bien Loreline ?

- Oui... Je suppose...

Le seigneur Elrond se mit à mes côté. J'avais toujours les yeux river vers le paysage :

- Très bien. Je vais reformuler la question. Vous sentez vous bien princesse Loreline ?

- Je...

Je ferma les yeux. Je vais bien oui, mais la princesse d'Ekriviel, la moi que j'essaye de cacher. Je suis envahie par les remords, comment je peux encore me regarder dans la glasse alors que j'ai lâchement fuis mon pays..? Je laissa échappé un soupire :

- Je me sens mal. J'ai l'impression d'avoir trahi mon devoir. Ce qui es vrai, j'ai fuis mes responsabilitées sans un regard en arrière. Je n'ai pensée qu'a moi. Mais... Qui en a réellement quelques chose à faire que je sois partie ? Es-ce que quelqu'un a besoin de moi là bas ? Je me sens inutile partout où je vais...

- Ne sois pas si dure avec toi même Loreline. Peut-être que ton destin n'était pas là bas ? Peut-être que tu as simplement été amenée ici avec de l'avance ? Mais crois moi Loreline, si d'autres personnes avaient ton pouvoir ils n'auraient pas peur de l'utiliser. Toi tu ne pense pas à contrôler le monde, alors que tu pourrais très bien le faire.

Que pouvais-je répondre à cela ? En quoi je pourrais être utile ? Je reporta mon regard vers le paysage quand je vis un homme avec un barbe. Il me sembalit le connaître... :

- Qui es-ce ?

- Mithrandir est arrivée. Tu pourras lui poser tes question.

Je fronca légèrement les sourcils. Je sais que je l'ai déjà vu. Mais où..?

Je suivit Elrond pour accueillir Mithrandir. Ils se saluent chaleureusement, je préfère rester derrière, le temps au moins que je me souvienne de qui est cet homme. Peine perdus, lui semblait me reconnaître :

- Princesse Loreline, je suis heureux de vous voir depuis tous ce temps. La dernière fois vous aviez à peine 20 ans.

Mais oui ! Bien sûr ! C'est lui qui nous a fournit les feux d'artifices. On les avaient allumer dans les jardins. Tous le monde avaient paniquer, il y avait moi, Arwen, Legolas, Elladan, Elrohir et aussi mon frère ce jour là...

- Je suis très heureuse de vous revoir.

On alla ensuite tous les trois au chevet du petit homme pour voir si il allait mieux.

Une voix d'or - Livre IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant