Une voix d'or - Livre I

VIII : Il s'en passe des choses en 500 ans...

Je rentra ensuite dans la chambre d'Arwen. Elle était spacieuse et lumineuse. Par réflexe on se mis toutes les deux en tailleur sur son lit :

- Tu es devenus vraiment belle Loreline... J'ai toujours adorée tes yeux.

- Merci, tu es très belle aussi...

Un sourire malicieux étira mes lèvres :

- Es-ce que la belle Arwen est amoureuse ?

Pas besoin de reponse, elle est devenus rouge pivoine à la fin de ma phrase. Je me pencha vers l'avant :

- C'est quiii ? Comment il s'appelle ? Tu le connais depuis longtemps ? Je l'es déjà vu ?

Elle ris face à mes questions. Elle pris un oreiller entre ses main et joua avec :

- Il s'appelle Aragorn... Tu ne le connais pas, c'est... Un humain...

Je me releva :

- Oh... Et que pense Elrond ? Quel âge il a ?

- Père n'approuve pas vraiment... Et il a un peu sang d'elfe dans les veines. Il peut vivre plus longtemps que les humains...

- Comment tu l'as rencontré ?

- Hé bien... Ses parents était des rodeurs et se sont fait attaquer par des gobelins. Ils ont demander à Elrond de l'élever. Il accepta, mais on ne c'est jamais vu ou croiser durant environs 50 ans... Et puis dès que je l'es vu je suis tombé amoureuse de lui...

Un sourire niait se desina sur les lèvres de mon amie. Je rigola et me pris l'oreiller dans la tête :

- Maiiiis !

- Et toi ? Quelqu'un a trouver la clef des cadenas de ton coeur ?

- J'y ai cru... Mais c'était simplement une grossière erreur. Bref, je t'en parlerais sûrement plus tard...

- D'accord. Tu as continuer de t'entraîner au combat ?

- Oui, au plus grand malheur de mon père !

- Ça te dis tu me montre comment tu t'es améliorée ?

- Si tu veux pourquoi pas...

Elle me pris par la main et on se retrouva comme deux gamine à courire en riant dans le bâtiment. Ce n'est clairement pas l'attitude d'une Dame et encore moins celle d'une princesse. Je tenais les deux pan de ma robe blanche et suivais Arwen.

On arriva en rigolant dans les jardins. On nous regardait étrangement, puis Arwen me tendis un arc et des flèches. Elle me pointa une cible en paille à environ 30 mètres. J'ocha la tête et en moins de 2 secondes la flèche était dans la mille :

- Tu sais que c'est pas agréable de tiré en robe ?

- Je sais... Legolas à légèrement décaler sa flèches à 200 mètres...

Elle me regardait avec un air de défis. Il est vrai que Legolas et moi étions toujours en compétition. Et ça depuis... Bha depuis toujours en faite... Donc si j'ai de quoi lui tennir tête c'est un très bon avantage pour moi.

J'enchaîne les flèches, toujours au centre de la cible. Je prennais plus le temps de me concentré à partir des 100 mètres. Quand viens le 170 mètres, ma robe me gênait beaucoup et avec le corset dans cette position, cela me lassèrent les côtés. Je tenta de tiré mais elle n'ateindrait jamais le mile.

Je déposais l'arc que m'a prêté Arwen sur le sol et m'assit par terre, rapidment regoind par mon amie :

- C'est incroyable ce que tu as fait. Certe tu n'as pas battus Legolas, mais je doute qu'il portait une robe à corset quand il est partie tiré sur une cible à 200 mètres.

- Effectivement...

...

J'ai l'impression d'avoir oublier quelque chose d'importants...

...

- Arwen..?

- Quoi ?

- On ne nous attend pas pour dîner ?

On se regarde brièvement avant de réaliser. ON EST EN RETARD! Elle se releva en vitesse et lisse sa robe avec sa main. J'en fis de même et on se remis à courire jusque dans la salle à manger. Parce que nous sommes VRAIMENT en retard...

On de mis à ralentir pour ne pas entré en trombe dans la salle. Une fois devans la porte nous entrons calmement, s'incliant respectueusement devans Galadriel, Elrond et ses deux fils.

Galadriel et Elrond m'on rendus leur salut alors qu'Elladan et Elrohir se sont figée :

- Arwen, Loreline. On se doutaient que vous seriez en retard. Vennez.

Arwen et moi nous assîmes à côté l'une de l'autre. Les jumaux me fixait :

- Loreline, comme la...

- ...Princesse d'Ekriviel ?

Les jumaux avaient tendance à complété leurs phrase et ce, depuis toujours. Je leurs souris :

- C'est bien mon prénom et mon titre oui. Mais si vous voulez êtres plus officiel ce serait Loreline Elerinna Elemire, princesse d'Ekriviel. Cela rallonge uniquement mon nom pour embêté tous le monde.

Les jumaux ce regardaient quelques secondes avant de se retourné vers moi :

- Alors là il n'y à aucun doute...

- ... C'est sûr que c'est elle.

Je leurs souris avant de commencer à manger. Vers la fin du repas, Elrond me demanda de le suivre dans son burreau. Je souris à Arwen et suivit son père.

Une fois arrivé dans la pièce, Elrond se mis au centre et ne dit rien pendant 1 minutes. Il était comme un second père pour moi. J'osais à peine respiré, quand il prit finalement la parole :

- Galadriel m'as parler de ce qu'il c'est passer dans ton royaume. Je suis sincèrement désoler pour la reine Orla. Elle m'a dit avoir vu quelques images dans ton esprit, je comprend pourquoi cela te coûterait d'en parler une seconde fois. Mais si jamais tu as besoin de parler je serais là. Tu peux restée ici le temps que tu le désir, mais pour le moment il t'es impossible de rentré chez toi. Le Mordor deviens de plus en plus dangereux jour après jour... C'est un miracle que tu soit arrivé jusqu'ici vivante et sans aucune égratignure.

Un mince sourire étira mes lèvres :

- Je suis du genre assez chanceuse c'est vrai. Mais... Qu'y a-t-il au Mordor ?

- Sauron c'est réveiller et cherche à se faire une armée. Il y a 50 ans l'anneaux unique c'est manifester. Galadriel à réussi à l'affaiblir, mais il reprend ses force petit à petit. Les orques se font de plus en plus nombreux sur la terres du milieu.

- Que c'est-il passer exactement il y a 50 ans ?

- Un Hobbit du nom de Bilbon à trouver l'anneau dans la caverne de Gollum alors qu'il fessait équipe avec des nains pour récupéré Erebor qui as été attaqué par un dragon du nom de Smaug. La dragon à finalement été tuer.

- Il faut que je parte pour que la terre du milieu n'en fasse qu'a ça tête. Je ne m'absenterais plus jamais aussi longtemps !

N'allez pas croire que je suis naïve et ignorante. Je pense deviner aisément que de nombreux mort on été à déploré. Mais je cherche toujours à voir le bon côté de chose, je suis généralement quelqu'un d'optimiste. Où alors j'essaye de l'être.