XXVI : La Moria... Super nom

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Alors que je dormais des images ce sont soudainement mise à danser devans mes yeux. Je revoyais les immenses lacs de mon pays au eaux cristaline, quand je jouais dedans avec ma mère et mon frère, je me souviens de la sensation du tissus qui me colait à la peau et mes cheveux gorger d'eau mettant des heures à sécher. Je me souviens des jeux avec mon frère au palais, quand nous fassions tourner en bourique tout le monde. Les années défilaient sous mes yeux à une telle vitesse que je n'arrivais pas à assimiler tout ce que mon cerveau créait, mais cela commençai à ralentir dès la première fois que le visage d'Urulóki arriva...

Je me souviens, la première fois que je l'ai vu j'avais peur de lui, ces trait ne m'inspirait pas confiance, mais il se rapprochait de moi chaque jour et mon pouvoir qui ne l'atteignait pas m'intriguait, je l'admirait pour cela il était fort, puissant et semblait fortement s'intéresser à moi. J'ai fait l'erreur de confondre cette admiration avec de l'amour, mais lui ne voyait en moi que mon titre, je suis Loreline Elerinna Emelire princesse d'Ekriviel, fille de la reine Orla Virani, à ce qu'il paraît j'ai hérité de la beauté dû à la lignée de ma mère mais j'ai également hérité de son pouvoirs, autant un don qu'une malédiction et tout ceci font de moi la potentielle héritière du trône, sauf si un tragique accident ne m'arrive... Je ne pensais pas que quelqu'un ayant l'air intriguant pouvais être aussi dure et malveillant.

Il était plus fort que moi, il me disait qu'il était gentil, que j'avais méritée les coups et moi comme une idiote je l'ai cru, c'est vrai pour moi il était un modèle, comment pouvait-il avoir tord ? Puis maman là découvert et elle m'a expliquer que non, je ne le méritais pas, que personne ne méritait ça... Et j'ai compris, j'ai compris parce que mon monde ne tournait pas autour de lui, mais autour de ma mère. Mais avant d'avoir pu faire quoi que ce soit elle est... Depuis je vis comme un robot, je n'avais envie de parler à personne et personne ne voulais me parler... Ensuite il y a eu Estë, elle m'a pousser à me reprendre en main.

Une lumière blanche envahi toute ma vision, elle me brûlait les yeux, mais j'étais incapable de la fermer ou de detourner le regard. Une femme assez grande en sortit, à cause de la lumière je n'arrivais pas à distinguée ses trait, mais elle était plutôt grande. Elle marchait dans ma direction avec une allure digne des plus grand souverin et posa une main réconfortante sur mon épaule avant de planter ses yeux dans les miens, je pouvais à présent voir à quoi ressemblait son visage, elle avait des cheveux de la même couleur que le ciel nocturne, une peau aussi pâle que la lune et ses yeux... Si on pensaient que mes yeux était beau, jamais personne n'avais vu ceux de cette femmes de la même couleurs que ses cheveux soyeux j'avais l'impression que le ciel avait déposer des étoiles dans son regard. Ma mère était belle jamais personne ne le niera, mais cette femme est magnifique, malgré tout, j'avais l'impression de la connaître, sa présence me disait quelque chose...:

- Ne te tourmente pas l'esprit ma petite, tu aura les réponses en temps voulu. Je suis là pour t'expliquer quelque chose par rapport à ton pouvoir.

J'étais totalement pendu à ses lèvres sa voix était aussi douce que rassurente, que pouvait-elle bien me dire sur mon pouvoir ? :

- Ce qui bloque tes pouvoirs Loreline, ce sont tes peurs. Ton pouvoirs est un accessoire, une aide qui t'es donner, une aide puissante, mais tu as tellement peur de t'en servir que tu l'utilise inconsciemment.

Malgré la douceur de sa voix, j'avais l'impression de me faire gronder, elle met sont beau visage à ma hauteur et caresse doucement ma joue en me regardant de manière maternelle :

- Je comprend que c'est loin d'être facile pour toi, mais tu n'es plus seul, tu es doté d'une force exceptionnelle. Il faut juste que tu crois en toi, tu es l'une des personnes les plus puissante qui peuple la terre du milieu alors... Ne doute pas de tes capacitée...

Depuis le début elle a garder sa main sur mon épaule, sa présence ma rassurait, à la fin elle pris délicatement l'une de mes mains dans la sienne et m'offrit un doux sourire avant de poser ses lèvres sur mon frond, je ferma les yeux à ce contacte rassurant. Mais quand je les ouvrit je me retrouvais à l'endroit où nous nous étions arrêté avec la communauté hier soir, le soleil ce levait à peine et quelques étoiles brillait encore dans le ciel, je les regardais doucement disparaître et l'idée de les voir réapparaître demain me fit sourire.

Je sortie ensuite de mon demi sommeille et je remarqua que j'étais étalé sur quelque chose de bien trop confortable pour être un rocher, observant ce qui m'entourais je fini par ramarquer une chevelure blonde ce qui me fit me relever en sursaut, mauvaise idée, le sang me remonta à la tête bien trop vite, me fessant tanguer quelques instants. Je ne m'en était pas rendus compte hier soir, mais j'étais telement fatiguee que je m'étais endormis sur l'épaule de Legolas, celui-ci d'ailleur me regarda avec un air moqueur, mais je n'arrivais pas à savoir si c'était dû à ma position pour dormir ou ma réaction :

- Alors tu n'arriva pas à te passer de moi ?

Je leva les yeux au ciel et lui répondit en souriant également, mais en détournant le regard :

- N'espère pas trop, tu es un bonne oreiller par contre.

On rit légèrement ensemble avant de réveiller les autres membres de la communauté et nous avons donc repris la route, enfin nous apprêtons à reprendre la route :

- Loreline vous êtes sûr de réussi à marcher ? Me demanda Gandalf

- J'en suis certaine, il suffit de mettre un pied devans l'autre ça ne doit pas être bien compliquer !

Depuis ma conversation avec la femme dans mon rêves je me sentais beaucoup mieux, nous avons donc repris notre route vers les mines... J'aurais aimée ne jamais entrée dans des mines de toutes ma vie, il fait noir et aucune lumière naturelle n'éclaire notre chemins, rien qu'à cette idée j'en tremble de peur... Je vis Gandalf discuter avec Frodon et décida de ne pas écouter leurs conversation qui était surment privée. Cepandant je marmonna pour moi :

- Pourquoi avoir appeller ces mines la Moria, sérieusement je le sens vraiment pas... ils auraient pas pu l'appeller... Je ne sais pas moi Viva ? Mais non, Moria à une sonorité bien trop lugubre à mon goût...

On fini par arrivée à destination, enfin, d'après Gimli...:

- Les murs de la Moria. Les portes des nains sont invisibles lorsqu'elles sont close.

Il y avait une grande parois rocheuse majestueuse et immensément haute, un léger passage nous laissait passer entre la pierre et le lac avant de s'agrandir pour nous laisser de l'espace pour circuler librement et que tout le monde respecte l'espace vitale de tout le monde :

- Oui Gimli. Et leur propres maître ne peuvent les trouver, ni les ouvrir quand leur secret en est oublié.

Super Gandalf, merci du soutiens mentale et émotionnelle. On aime toujours quand tu nous remonte le morale ça fait très plaisir... :

- Pourquoi cela ne me surprend-t-il pas ?

J'allais soupiré et m'accouder à la parois rocheuse quand mon derniers souvenir de passage secret dans la roche me reviens en mémoire, la chute qui à gaig très mal à mon égo. Ouais non, je vais me mettre autre part, je sens que ça va être long cette histoire...

Une voix d'or - Livre IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant