27 novembre 2014.
Centre équestre.
Je lui explique le pourquoi du comment elle est là.— Et du coup avec mes économies j'ai voulu l'acheter, finis-je.
— Tu as bien fait, elle est magnifique et vous avez une belle complicité ! Sourit-il.
— Oui, souris-je de même, dis, tu m'aides à monter ?
— Oui.
— Anna, tu peux aller chercher son filet s'il te plaît ?
— Ouais ! Dit-elle souriante.
Le temps qu'Anna aille chercher le filet Niall me demande :
— Mais, tu ne vas pas monter là ?
— Si, pourquoi ? Elle a besoin de se défouler un peu. Je ne vais pas monter longtemps ne t'inquiète pas.
— Mais tu es folle ! Tu n'as pas de selle ! Non descends tout de suite, tu vas te blesser.
— Niall... Ce n'est pas la première fois que je le fais.
— Mais tu es folle ma parole ! Non, non, non, je ne veux pas que tu te blesses.
— Niall, ris-je, cela s'appelle "monter à cru", dis-je en explosant de rire.
— Ah, c'est exprès ? Je me sens bête là...
— Tu ne pouvais pas savoir !
Au même moment, Anna arrive. Elle met le filet à Meadow qui se laisse faire. Je commence à marcher au pas et je pars directement au galop.
POINT DE VUE DE NIALL.
— Ce n'est pas dangereux ? Demandé-je à Anna.
— Bah on va dire que non, mais on ne peut pas vraiment dire ça, parce que l'équitation est un sport à risque donc voilà, mais ne t'inquiètes pas hein, elle se débrouille très bien.
— Je vois ça !Je la prends en photo quand elle fait du galop, je m'écris d'un seul coup.
— Lou ! Elle est folle mon dieu.
— Non mais trouillard quoi ! Dit-elle en riant, moi aussi, je fais ça.
— Non c'est mort, je ne ferais jamais ça moi.
Elle a lâché les rênes et tendu les bras aux extrémités de son corps. Elle sourit, elle est vraiment heureuse. Les mouvements de son corps sont en harmonie avec ceux de Meadow. C'est vraiment très beau à voir. Elle arrête et revient vers nous au petit galop. « C'est bien ma puce. », a-t-elle dit en se penchant sur son encolure, la caressant. Meadow tourne sa tête vers sa cuisse et lui donne un coup de tête doux. Elle descend de Meadow et vient se mettre dans mes bras. Je suis adossé à la barrière. Je la serre dans mes bras, ça m'a tellement manqué. C'était parfait jusqu'à ce que... Meadow grogne et nous sépare avec sa tête.
— Bah sympa toi, t'es chiante hein, dis-je.
— Tu es sérieux là ? Dit Lou.
— Bah faut dire la vérité, rit-il.
— Je t'embrasse et toi tu dis que je suis chiante ?
— Euh... Mais ce n'est pas à toi que ça s'adressait...
— Ouais ouais.
— C'est vrai, c'est à Meadow...
— C'est ça, va.
— Oh... Merci Meadow hein. Bon allez, viens m'embrasser maintenant.
— Non j'ai plus envie.
— Allez viens.
— No...
Meadow donne un coup de tête dans le dos de Lou, ce qui la fait tombée sur moi.
— Lâche-moi, dit-elle lorsque je la prends à nouveau dans mes bras.
— Non, souris-je.
— Si.
— Embrasse-moi alors.
— Non en fait je suis bien ici.
— Faut savoir hein, au fait, merci Meadow.
— Je savais que tu t'adressais à Meadow.
— Quoi ?
— Oui, je voulais te faire marcher.
— Tu n'es pas possible comme fille hein, mais je t'aime comme ça.
— J'espère bien.
— Vous êtes trop mignon... Dit Anna.
— Merci, dis-je.
— Ouais, mais il est à moi ! Dit Lou lui tirant la langue.
— T'inquiète ! Je préfère Harry !
— Eh ? On lui arrange un coup ? Me demande-t-elle.
— Quoi ?! Mais non ! Explose de rire Anna.
— On verra, ris-je, donc je suis à toi ?
— Ah bah oui, c'est évident.
— Tu es à moi.
Je l'embrasse puis elle me fait faire le tour du centre équestre et on rentre. Nous sommes arrivés, Lou fait à manger. Je me mets derrière elle en la prenant par la taille. Elle se retourne et je la soulève pour l'asseoir sur le comptoir de la cuisine et qu'elle soit à ma hauteur.
— Tu m'as tellement manqué, dis-je.
— Le pire c'est que ça ne fait que trois mois et tu repars encore cinq mois...
— On est ensemble pendant une semaine au moins, dis-je.
— Oui, mon dieu, c'est parfait.
— J'ai tout fait pour venir.
POINT DE VUE DE LOU.
On va dans la chambre après avoir mangé, et je choisis un film que je mets dans le lecteur DVD. J'allume la télé et rejoins Niall qui s'est déjà mis en caleçon dans le lit. Il se met ensuite à califourchon sur moi et m'embrasse. Je sais ce qu'il veut, mais je ne peux pas...
— Niall... Pas ce soir, désolé mon cœur... Même pas cette semaine...
Dis-je en montrant le bas de mon ventre pour signifier mes menstruations. Je ne peux pas me dénuder, il remarquerait.
— Hum, je comprends...
— Tu ne m'en veux pas de te faire attendre huit mois ?
— Non, je vais tenir, sourit-il. C'est juste bête que ça tombe cette semaine. Mais ça fait moins d'un mois que tu as eu tes dernières règles, non ?
— Euh, non, après ça peut jouer à quelques jours près des fois, tu sais.
— D'accord.
— Je peux quand même aller dans tes bras ? Et avoir des câlins et bisous ?
— Bien sûr ! Viens là, ma chérie.
Je me faufile dans ses bras, c'est bien. Je me sens en sécurité sans ses bras. Toute la soirée, nous sommes restés comme ça et on parle après avoir fini le film qui n'était pas très long, on parle de ce que nous avons fait, etc. Je lui ai raconté les sorties qu'on a fait avec les filles et quelques moments avec Meadow. Ensuite, il m'a dit qu'il avait fait quelques soirées avec les garçons, qu'il avait revu une amie à lui, Barbara Palvin, cette fille à l'air gentille.
POINT DE VUE DE NIALL.
— N'empêche que tu m'a manqué ! Tu ne peux pas savoir à quel point, le soir, je pleurais dès fois en fait... Ouais... Bon... Ce n'est pas très viril hein, mais c'est parce que je t'aime. Et aussi, Lou ? Tu dors mon cœur ? Ah bah ouais, tu dors.
J'éteins la lumière et la serre dans mes bras en lui caressant les cheveux, puis je m'endors peu de temps après.
28 novembre.
J'ouvre les yeux et une perfection me regarde en me caressant les cheveux.
— Hello, ma princesse.
— Ça va mon cœur ? Tu as bien dormi ?
— La question ne se pose même pas ! Souris-je.
Lou me regarde tout en me caressant les cheveux.
— J'aime bien quand tu fais ça, souris-je.
— Je le ferais plus souvent alors, sourit-elle aussi.
— Oui.
Elle me regarde toujours, je la prends dans mes bras et me mets en position semi-assise pour la positionner sur mes cuisses, elle replie ses jambes pour se mettre à genoux sur moi et pose ses bras sur mes épaules, puis je l'embrasse. Elle me fait retomber sur le lit et on se regarde pendant un long moment.
— Eh ? Dis-je.
— Quoi ?
— Non, laisse.
— Non, dis-moi.
— Non c'est bon...
— Dis-moi, s'il te plaît...
Je la regarde dans les yeux et je lui réponds d'une traite.
— Je veux être papa.
— Tu veux être papa ?
Je hoche la tête pour confirmer. Elle rougit, ça réaction est trop mignonne.
— Tu es conscient que ça va demander beaucoup d'attention ?
Je ris et mis ma main sur mon front.
— Attends. Je ne suis pas inconscient, je le sais ça, si je te le dis, c'est que je veux vraiment un bébé, et je suis sérieux Lou. On se débrouillera, les tournées seront avec des pauses et vous pourrez venir. En plus, on en fera moins souvent, donc on aura une vie de famille.
— D'accord.
— Tu veux ?!
— On en a déjà parlé, et je t'avais dit que j'aimerais bien oui, mais après ta tournée.
— Olala, je suis trop content ! Ça va être une bonne journée ça, je sens ! Dommage encore une fois que tu aies tes règles, on aurait gagné cinq mois, et puis on aurait pu passer du bon temps aussi, ris-je à la fin.
Elle rit et m'embrasse. Mon téléphone retentit. Je décroche en voyant le nom de Zayn s'afficher.
— Allô ? Non non, t'inquiètes. Vas-y. Non, tu es sérieux là ? Putain, il fait chier ! Ouais bah à demain...
Lou me regarde d'un regard interrogateur.
— Zayn vient de me dire que je dois prendre un avion ce soir parce qu'une interview a été déplacée à demain soir à cause d'un imprévu... Et avec le décalage, il faut que je parte ce soir...
— Oh non... Je veux que tu restes...
— Je voudrais bien, mais le management n'en fait qu'à sa tête. Il ne nous prévient pas.
— Je sais bien...
— Bon... On passe notre dernier jour ensemble avant cinq longs mois, donc je t'emmène quelque part !
— Où ça ?
— Surprise !
— Oh ! Tu sais que je suis curieuse pourtant !
— Je sais, mais tant pis ! Va te préparer.
— De suite chef !
Elle va se préparer puis je la rejoins peu de temps après pour me préparer en même temps, et prendre moins de temps.
— Euh tu fais quoi ? Dit-elle en se cachant le corps d'une serviette.
— Bah je viens. Pourquoi tu caches ton corps ?
— Bah... Je voulais te faire une surprise de comment, j'allais m'habiller.
— Ah... Bah, je vais dans celle du bas alors ! Souris-je.
Je pars donc en bas.
POINT DE VUE DE LOU.
Ouf ! Il n'a rien remarqué. Bon. Je prends un simple jean noir, légèrement troué sur les cuisses, et un pull blanc avec imprimé "#SELFIE" en noir dessus. Avec mon pull, il ne va pas s'en apercevoir, du moins, j'espère ! Je descends donc et rejoins Niall dans la salle de bain, il se rase.
— Fais-moi un bisou, dit-il.
— Ah non ! Rêve ! Enlève ta mousse avant !
— Gnagnagna !
— Non mais oh ! On ne tire pas la langue, effronté.
— Tu le fais aussi, effrontée !
Nous partons dans un fou rire puis il se rince et je l'embrasse. Ensuite, on monte dans la voiture et on part.
— Dis donc, tu es jolie !
— Merci mon amour.
— De rien ma chérie.
On roule pendant plusieurs minutes puis nous sommes arrivés.
— On est où ?
— Oh, tais-toi, tu poses trop de questions ! Attends, tourne-toi.
Je me tourne donc et je sens un bout de tissu sur mes yeux, il me met un bandeau.
— Je ne vois rien.
— C'est le but, bêtasse !
— Niall ? Niall, tu es où ?!
— Je suis là, oh. Je prenais un truc dans la voiture.
— Eh non mais tiens moi la main, guide-moi, sinon je pleure hein.
— Chochotte, mais je ne suis pas fou non plus hein, allez viens.
— Mais c'est bizarre le sol, là, non ?
— Tais-toi ! Tu es pénible, olala.
— Niall, tu m'emmènes où, là ?
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Vie parfaite ? Non.
Fiksi PenggemarUne jeune étudiante, fan du célèbre boyband intitulé "One Direction", se rend à leur concert qui a lieu à Paris. Là-bas, elle y rencontre Niall Horan, membre de celui-ci, où l'amitié se lie directement. Mais tout ne se passera pas comme ils l'imagin...