C'est avec un mal de crâne que je me relevais. En ouvrant les yeux je pu malheuresement apercevoir que tout ce qui c'était produit n'était malheureusement pas un cauchemar. La réalité me frapper de plein fouet. Je m'étais réellement faite enlevé par la mafia. J'étais donc à présent captive du chef de la mafia russe. Je retombais lourdement sur le lit.
-Pourquoi!
Soufflais- je dans une plainte en fermant avec force mes yeux. J'avais retrouvé une vie si tranquille depuis deux ans pourquoi est ce que le sort s'acharnait à me faire vivre un enfer! La vie était vraiment injuste. Me levant alors comme une folle furieuse je fondis sur ce balcon que je n'avais même pas admiré hier soir. La vue était réelemment renversante même si la hauteur était effrayante. Est ce qu'il y avait quelque chose qui n'étais pas terrifiant ici? Comment cela pourrait en être autrement lorsque le propriétaire était le diable. Au souvenir de sa personne mon coeur s'accelera. Je ne savais toujours pas ce qu'il m'attendait ici. Mais dans tous les cas il fallait que je partes d'ici au plus vite. Il ne manquerait plus qu'il découvre ma véritable identité et cette fois ci je ne donnais pas chère de ma peau pour lui avoir mentis.
-Avez vous bien dormis mademoiselle Russo?
Mon sang se glaça aux paroles de l'homme que je reconnaitrais entre mille.
Dio mio
Faites que je sois en plein rêve. Il n'avait pas pu découvrir cela aussi vite. Mes mains crispés sur la rambarde je me retournais lentement en entendant ces pas s'approcher.
-Croyiez vous réelemment me duper Elena?
Mon prénom dans sa bouche sonnait comme une promesse. Je m'insultais intérieurement de frissonner face à lui. Si je n'étais pas la vierge que j'étais je dirais que cette tension qui se trouvait entre nous était du à une simple attirance sexuelle.
C'est pas vraiment le moment de fantasmer..
Je secouais ma tête pour chasser ces pensées innoportunes. Il se rapprocha encore plus, toujours son regard arrimé au mien.
-Je..
-Vous?
Je ne savais pas quoi dire pour être exact. Je devais savoir ce qu'il avait découvert. Si ça se trouve il ne connaissait simplement que mon ancienne identité, ce qui était très probable.
-Nous avons tous des secrets monsieur Antonov.
Dis je feignant une assurance que je n'avais pas. Arquant un sourcil il m'attrapa violemment le menton. Je fus surprise par son changement d'attitude et ma peur ne dit que s'accroître. J'étais vraiment pathétique.
-Pas avec moi mais chaque chose en son temps. Le petit déjeuner est servis tous les jours à 9 heures soyez à l'heure, j'ai horreur des retardataires.
Ne comprenant pas toute cette mascarade je ne pu m'empecher de répliquer.
-Vous avez horreur de bien des choses monsieur.
Je cru voir un semblant de sourire se former sur son visage impassible. Il se détourna pour sortir de la chambre mais à nouveau je l'interpellais.
-Je ne viendrai pas, je veux rentrer chez moi.
En quelques pas il se trouvait à nouveau face à moi. Mais malheuresement pour moi cette fois ci il semblait que je l'avais réellement mis en colère.
-Je pourrais vous tuer pour cet affront mademoiselle Russo alors si vous ne voulez pas finir avec une balle entre les deux yeux vous allez faire ce que je vous dis.
Ces menaces me firent tresaillirent. J'étais si terrifiée qu'il les mette à éxécution que je perdis tout à coup tout mon aplomb. Pendant un instant il sembla regretter ces paroles puis en quelques secondes il avait quitté la pièce en claquant la porte. Dans le même instant je repris difficilment ma respiration que j'avais sans le vouloir couper. Me laissant aller contre la baie vitrée je me mise à pleurer. Qu'avais je fais pour mériter tout ça? Je m'allongeais au sol repensant au peu de souvenirs heureux que j'avais eu dans ma vie. Non en effet je n'avais pas étais gaté mais j'étais sur que je pouvais me rattraper. En choissisant ce pays j'avais eu un bon pressentiment. Je savais qu'ici je serais enfin heureuse. Eh bien la prochaine fois penser à m'assomer lorsque j'écouterai mon instinct..
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MAFIA
RomanceDeux années qu'à nouveau, elle vivait, ou du moins essayer. Seulement comme on dit toute bonne chose a toujours une fin. C'est donc avec le retentissement d'un neuf millimètre que la vie d'Elena c'était à nouveau arrêter. Mais c'était elle réellem...