Les seuls mots qu'il m'avait prononcer après m'avoir ordonné d'aller me laver était que j'étais, je cite « absolument magnifique » . J'avouais avoir légèrement rougie. Eh bien oui mafieux ou pas il était lui aussi incroyablement beau alors oubliant quelques secondes son côté criminel je m'étais laissé aller à ce compliment reçu d'un homme égalant les Dieux. Mais j'avais rapidement déchanter lorsqu'il ne m'avez même pas accorder un regard pendant tout le trajet. Je ne savais pourquoi mais je le sentais tiraillé et malgré ma peur irrépressible à son encontre je ne pouvais m'empêcher de resssentir quelques chose d'étrange pour lui. Était ce de l'affection? Mais pourquoi grand Dieu ressentirai-je de l'affection pour cet homme bourru. Néanmoins cela était possible j'avais toujours eu de l'affection pour chaque chat errant que je croisais. Peut être le considérais je lui aussi comme une âme perdue? La berline s'arrêta alors qu'elle fit face à une villa pratiquement aussi grande que celle de mon ravisseur. L'entrée était bondée de monde mais rapidement je pus remarqué que ces hommes de pouvoirs n'avaient rien de sympathique. Le chauffeur m'ouvris rapidement la porte et alors que je sortis j'eus la surprise de voir Vassili fondre sur moi. Sans que je ne comprenne il m'attrapa la taille et me colla à lui. Je ne pouvais mentir ce contact était plaisant. La chaleur de son corps m'émoustillais et les effluves de son parfum me détendais. À cet instant j'étais bien et je savais que dans cet enclos remplis de lion il ne m'arriverai rien. Je soufflais de soulagement en le sentant resserrer sa prise lorsque nous nous nous mîmes à avancer. Malheureusement le cauchemar débuta lorsqu'il se détacha de moi dès l'entrée. Je le vis alors s'avancer vers un petit groupe d'hommes ou quelques femmes trophées régnaient à leur côtés. J'eus l'immédiate envie de faire demi tour. Mais je savais que je n'arriverai pas à m'enfuir. C'est donc résignée que j'avançais vers le bar. Des coupes de champagnes trônait de part et d'autres. J'attrapais alors un serveur qui semblait presser et lui commandais un petit remontant.
-Tout de suite madame.
Me répondit il d'un russe parfait. J'avais appris le Russe en arrivant ici évidemment j'avais quelques bases mais mon langage s'était amélioré en commençant à travailler. J'ai toujours aimé les langues sauf l'anglais allez savoir pourquoi. Il était donc facile pour moi de changer de pays je n'avais qu'à réviser un dictionnaire de langue pendant quelques heures pour en apprendre la moitié. Malgré tout j'étais contente de n'avoir jamais perdu mon accent italien. Dans mes songes je ne vis pas tout de suite le verre de vodka se posait devant moi. Avant même que le serveur n'ait le temps de partir je le vidais en lui redemandant la même chose. Je n'appréciais pas tellement la vodka mais ce que je savais était qu'avec ça j'arriverai enfin à me détendre. Comprenez moi j'était enfermé dans une salle emplie des criminels les plus dangereux du monde.
Assise sur la chaise du bar je sirotais mon troisième verre commençant réellement à avoir la tête qui tournait. Mais c'est alors qu'un homme s'assit à mes côtés. Ne reconnaissant pas le parfum si particulier de mon mafieux je tournais rapidement la tête.
-Bonsoir mademoiselle Russo, c'est un honneur de vous rencontrez.
Des traits fins, une barbe de quelques jours, un corps athlétique mais bizarrement semblable à celui de mon ravisseur. Je confirmais ma théorie lorsque je me mis à détailler son visage.
-Vous êtes son frère.
-En effet, je me présente Rafael Antonov.
Il me prit la main et me la baisa. Au contraire de son frère lui semblait plus gentleman et plus sympathique néanmoins je ne ressentis tout de même pas les papillons que j'avais lorsque Vassili s'approcher de moi. Je soufflais en retournant vers mon verre. Je ne pouvais tout de même pas développer des sentiments pour ce monstre!
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MAFIA
RomanceDeux années qu'à nouveau, elle vivait, ou du moins essayer. Seulement comme on dit toute bonne chose a toujours une fin. C'est donc avec le retentissement d'un neuf millimètre que la vie d'Elena c'était à nouveau arrêter. Mais c'était elle réellem...