MAFIA

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Point de vue de Vassili

-À demain.

Dis je rapidement à mon chauffeur. J'étais enfin rentré et j'avouais que la présence de la jeune femme m'avais manqué durant cette journée. Si d'habitude j'aimais recevoir mes cargaisons habituelles, aujourd'hui les kilos de coc ne m'avaient pas excité.
Alors que j'entrais dans la propriété c'est complètement affolé qu'un de mes gardes vint à ma rencontre.

-Que se passe t-il Anton?

Demandais je pas le moins du monde intéressé. Tout en l'écoutant brièvement je continuais d'avancer jusqu'à ma chambre où j'espérais la retrouver. Malheureusement le destin n'était pas toujours avec moi et c'est sur les derniers mots de mon employé que je butais sur cette marche d'escalier.

-Répète.

Ordonnais je alors d'une voix qui inspirait maintenant la terreur.

-Mademoiselle Russo est partit monsieur.

Le regard noir et ma mâchoire qui tressauta lui fit ravaler son audace. D'un pas décidé j'explosais la porte de ma chambre. Si elle était vraiment partit elle aurait emporter...

-BORDEL!

Criais je en fracassant un des nombreux fauteuils de cette chambre. Alors que j'allais incendier ce larbin je fus stoppé par un morceau de papier sur le lit. Rapidement je le pris dans mes mains. Ce fut le cœur serré que je reconnu son écriture.

Vassili
J'espère que tu arrivera un jour à me pardonner. Sache que ce n'est pas de mon bon vouloir que je suis partis. Il y a certaines choses qui nous dépasse tous les deux et même si je sais que tu ne risques rien je ne veux pas te mettre en danger. Sache que les démons qui me poursuivent sont redoutables et même si je sais que tu aurais pu m'aider ce sont les miens. Je te remercie pour tout Vassili et s'il te plaît ne me recherche pas. Encore une chose, je t'aime de tout mon cœur et ça ne l'oublie jamais.

Elena

Mes mains froissèrent automatiquement la lettre. Les yeux qui me piquèrent alors me donnais l'envie de me frapper. Depuis quand étais je devenue aussi faible? Elena m'avait trahit et elle était partit. Elle avait rompu ma confiance mais malgré ça je savais. Je savais que par tous les moyens j'essaierais de la retrouver. Et même si sa fuite me révulser, les raisons de sa cavale me poussait à l'inquiétude. Cette femme avait des problèmes, ma femme, et l'amour que je ressentais pour elle avait fait de ses ennuies les miens. Rageusement je fourrais ses écrits dans ma poche et sortit de notre chambre.

-Bloque lui l'accès à tout, aéroports, gare, port et même les autoroutes si il le faut mais je ne veux pas qu'elle sorte du PAYS!

Hurlais je en claquant la porte de mon bureau. La haine qui m'habitais alors me brouillais les yeux et c'est rageusement que j'envoyais valser le tout nouveau service de verre en Crystal.