C'est déterminée qu'en cette belle journée je me levais. À mon plus grand bonheur et même si j'aurais aimé le voir avant de partir Vassili n'était pas là. Cependant un nouveau plateau m'attendis à côté de mon lit et c'est avec un léger sourire que je lu l'inscription gravée sur le morceau de papier.
« Bonne journée mon oiseau, sois prudente et s'il te plaît rejoins dès que tu finis la voiture qui t'attendra, je t'aime Vassili »
J'étais malgré tout étonnée, lui qui ne voulait absolument pas me laisser y retourner, ne pas le voir ce matin était donc plutôt inattendue. C'est sur ses dires qu'attrapant un fruit j'allais me laver.
Une demie heure plus tard, c'est lavée que je me vêtis simplement. Si j'étais un peu anxieuse le plaisir que j'avais de retourner exercer mon métier me remplissait de joie. Je devais l'avouer être collé nuit et jour à Vassili me combler de bonheur et il ne m'en fallait pas plus pour être heureuse. Néanmoins j'aimais mon travail plus que tout et je n'avais pas fait trois années d'études pour un simple diplôme rangé dans un tiroir. Laçant mes chaussures j'attrapais une veste et sortis. Évidemment je savais que Vassili avait prévu, des hommes pour m'amener et me ramener de l'hôpital, je m'y étais opposé lui disant que j'aimais m'y rendre à pied mais il était vrai aussi que la distance parcouru de mon appartement à l'hôpital était beaucoup plus réduite qu'à présent. Ce manoir était si grand, si loin, si terrifiant et si... emplit d'hommes de mains. Même si j'aimais éperdument Vassili je ne me voyais pas évoluer dans cet endroit. C'était si impersonnel. A l'image de son lui d'avant. Il faudrait que j'arrive à lui en parler un de ces jours mais que dire ? De toute façon là n'était pas le sujet et aujourd'hui la seule chose qui me tracasser était ces maudites douleurs au ventre. Depuis ce matin je n'avais rien eu mais je n'étais pas positive et je savais que ce n'était qu'une question de temps avant que celles-ci ne réapparaissent. J'étais infirmière et je n'étais même pas capable de diagnostiquer mon mal c'était un comble non ? Pourtant toutes les choses que j'avais proposé étaient de simples théorie puisque celle-ci n'était pas fondée sur les bonnes choses. Et puis après tout peut-être était-ce des réactions causé par le stress, un petit choc post-traumatique, cela était fortement possible avec tout ce qui s'était passé. Bien entendue j'irais tout de même confirmais mes dires, chez un de nos médecins.
-Nous vous attendrons ici à la fin de votre service madame.
-Merci Ivan, bonne journée.
C'est tout sourire alors que j'entrais dans l'hôpital par la porte de service ou venait tout juste de rentrer trois employés.
La journée se déroula bien commençant aux alentours de sept heures et demie je venais tout juste de terminer. Par chance mes services de nuit ne commencer que la semaine prochaine alors c'est tout sourire que même fatigué je me surpris à penser retrouver les bras de mon amant. Cependant je revins très vite à moi lorsque j'aperçus Vlad, un ami médecin à qui j'avais parler plutôt dans la journée de mes maux. M'ayant donner rendez-vous lorsque lui aussi finirait son service c'est-à-dire en même tant que moi je détournais les talons pour le suivre.
-Assis toi Elena.
Me dit il d'une voix doucereuse. Prenant place il me fit plusieurs test variées. Avant de finir par une prise de sang. Les résultats envoyés il appella un de ses collègues pour que les résultats sois apporté dans l'instant. A peine quelques minutes plus tard quelqu'un toqua à la porte. M'étant relevé j'attendais malgré moi avec une certaine angoisse les résultats de la prise. Après quelques banalités échangés Vlad examina les résultats. Scrutant son visage je me surpris à le voir sourire alors qu'il reposait la feuille sur son bureau.
-Elena tu es enceinte.
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MAFIA
RomanceDeux années qu'à nouveau, elle vivait, ou du moins essayer. Seulement comme on dit toute bonne chose a toujours une fin. C'est donc avec le retentissement d'un neuf millimètre que la vie d'Elena c'était à nouveau arrêter. Mais c'était elle réellem...