Point de vue de Vassili
Les mots « se maudire » n'étaient clairement pas assez forts pour décrire comment je me sentais à l'instant présent. Depuis la première fois où mon regard s'était posé sur elle j'en avais eu envie.
La posséder, la chérir, la faire mienne
J'avais essayé de toutes mes forces de taire ces émotions incontrôlables et nouvelles qui m'avaient assaillis. Mais je m'étais rapidement rendue à l'évidence. Cette femme m'avais rendue totalement fou et le coup de foudre qui m'avais frapper était irrévocable.
J'aimais cette femme.
Et qu'est-ce que je me fichais de savoir que nous ne connaissions depuis à peine un mois. Mes sentiments étaient là et je savais d'avance que plus jamais je ne pourrais vivre sans elle à mes côtés. Puis enfin cela c'était produit et même s'il avait été dans des conditions catastrophiques cela dû à mon comportement colérique nous l'avions fais. Scellé cette passion dévorante. Elle avait était mienne et malgré mes nombreuses aventures je pouvais décemment vous dire que cela n'avais jamais était aussi bon de toute ma vie. J'étais totalement fou de cette femme malheureusement j'étais un monstre et même si celui ci s'apaisait lorsque je me trouvais à ses côtés. Lorsque je sentais qu'elle s'éloignait je n'arrivais plus à me contrôler. Il revenait au galop à mon plus grand désarroi. Mais comment aurais je pu savoir que cette divine créature qui s'était donnée à moi n'avait jamais goûté le corps d'un homme? Ne vous méprenez pas j'étais conquis de savoir que j'avais étais le premier et sans aucun doute le dernier. Mais d'un autre côté j'étais en colère. Pourquoi ne m'avait elle rien dit? Si j'avais su, j'aurais pu être plus doux ou bien nous n'aurions fait que de simples préliminaires. Mais encore une fois tout avait dérapé lorsqu'elle c'était éloigné. Perdant tout contrôle je m'étais à nouveau jeter sur elle. Mais lorsque j'avais sentis ses larmes sur mes mains j'avais compris. Compris que faire du mal à cette femme était la dernière chose que je voulais. Compris que ses larmes me fendais autant le cœur qu'elles lui fendait. Compris que je voulais protéger et adorer cette femme. Mais encore une fois j'avais tout gâché. A la minute où elle avait quitter la chambre je voulais m'excuser. Mes lorsque j'avais entendue ses reniflements je m'étais brutalement écarté. Moi qui voulais la protéger j'étais une nouvelle fois le sujet de ses maux.
Avalant mon troisième verre, c'est les yeux sombres que j'accueillis mon second.
-Fais vite Nikolai.
-C'était simplement pour te dire que nous avons retrouvés la cargaison qui avait était volé.
-Et ou est Koustenov?
Demandais je sans grand entrain.
-Retenue sur les lieux, que devons nous faire ?
-Restez tous la bas, je viendrai plus tard.
Dis je en me servant un quatrième verre.
-Merde!
N'y tenant plus j'envoyais valser mon verre dans la cheminée avant de sortir de ce foutue bureau.
Vilaine habitude.
Rapidement j'atteignis sa chambre. Sans prendre la peine de toquer j'entrais discrètement. Je la vis alors allongée sur son lit, endormie. Ses traces de pleurs sur ses joues me contractèrent le cœur. Lorsque je m'assis je pu apercevoir qu'elle n'avait pratiquement rien touché au plateau de nourriture qu'une des cuisinières lui avait apporter plus tôt. Remontant le drap sur son petit corps je lui embrassais le front murmurant un silencieux pardon. Papillonnant des yeux je vis à peine quelques secondes plus tard ses deux iris me fixer. Sans réellement le mériter je déposais lentement ma main sur sa joue. Je la vis fermer les yeux puis souffler. Contre toute attente elle déposa sa main sur la mienne.
-Pardonne moi.
Dis je le moins froidement possible. Même si cette femme était à présent dans mon cœur je n'arrivais pas à être un autre que celui que j'étais depuis toutes ses années. Et Dieu sait à quel point j'étais sincère. J'espérais réellement qu'elle y croyait aussi.
-Ne fais plus jamais ça.
Dit elle en refermant les yeux. Un baiser sur son front et c'est sûr cela que je m'endormis près d'elle.
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MAFIA
RomanceDeux années qu'à nouveau, elle vivait, ou du moins essayer. Seulement comme on dit toute bonne chose a toujours une fin. C'est donc avec le retentissement d'un neuf millimètre que la vie d'Elena c'était à nouveau arrêter. Mais c'était elle réellem...