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-Mais je n'ai rien dis!

Lui dis je en essayant de récupérer mon téléphone.

-Je vous avez dit d'appeler....

-Vous m'avez dit d'appeler quelqu'un pour lui expliquer que je serais absente c'est ce que j'ai fais.

Lui dis je en lui coupant la parole. Je pensais fortement prendre un peu trop mes aises. Mais que voulez vous, mon impulsivité aimait apparement valser avec la mort. Tout en fronçant des sourcils, il m'assassina du regard.

-Je parlais d'un membre de votre famille!

Gronda t-il visiblement vraiment énervé. Mais qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire qui j'appelais tant que je ne révélais pas la vérité ?

-Je n'ai plus de famille, la seule chose qui compte pour moi est ce boulot monsieur Antonov.

Et c'était la vérité nous n'avions jamais été une grande famille la plupart de mes cousins et cousines m'étais inconnu la seule personne qui pour moi avait toujours compter été ma mère.

-Vous avez votre père.

Dit il sans détour. Cette phrase fut un électrochoc même si pour moi elle annoncé deux choses. La première me fit plaisir car je pouvais en conclure qu'il ne savait rien. La seconde était que maintenant je devais trouver un mensonge assez crédible pour qu'il ne se mette pas à fouiller plus loin.

-Vous savez que c'est très mal de fouiller dans la vie des gens monsieur Antonov.

Dis je en essayant de gagner du temps. Il sourit visiblement difficile à duper tout en s'approchant de moi. Son visage si proche du mien m'effrayait plus qu'il m'impressionner. Je déglutis en sentant à nouveau sa main sur ma joue. Je reculais en déblatérant mon mensonge.

-Je ne parle plus à mon père depuis longtemps.

Il se recula songeur puis m'en demanda plus.

-Et pour quelles raisons? Pour dire vrai Elena je n'ai pas étais surpris lorsque l'ont m'a annoncé votre véritable identité j'avais remarqué votre petite accent malgré tout je me demandais. Pourquoi après avoir perdue votre mère, et toutes mes condoléances pour elle, vous avez quittez votre père? Malheureusement j'aurais aimé le savoir mais je n'ai rien trouvé de plus le concernant.

Ces mots me frappèrent de plein fouet. J'avais était satisfaite ces deux années quand j'avais annoncer aux personnes les plus proches de moi c'est à dire mes collègues, que mes deux parents étaient morts dans un accident de voiture. Pas de questions et pas de réponses à donné voilà ce qui avait était bien. Et tout à coup j'étais face à des questions qui je pensais ne me saurait plus jamais posé.

J'étais vraiment bête

-Les disputes entre paternel sont courantes est ce une raison pour pinailler autant? Alors est ce que je pourrais me reposer maintenant je suis fatiguée.

Feignais je une main sur mon front. Je savais que ma mise en œuvre pour le virer ne serait que partie remise mais pour l'instant je n'avais qu'à espérer qu'il ne sois pas plus curieux. Quelques instants songeur puis c'est tout en me prévenant une nouvelle fois de ne rien tenter qu'il sortit. Sa présence se dissipa à la même allure que les effluves de son parfum. Malgré tout son odeur musquée était imprégnée dans cette chambre. Étais ce mon imagination? Où est ce que je devenais complètement folle? Posant lourdement ma tête contre cet oreiller je me relevais d'un bond sentant l'odeur encore plus imprégné. Lentement je portais une nouvelle fois le coussin jusqu'à mon nez et me surpris à apprécier l'odeur masculine qu'il renfermait.

L'enflure m'avait enfermé dans sa chambre.

J'étais dans son lit! Je rougis à ces pensées et inspirais. Il fallait que je me calme. Après tout ce n'est pas comme si je me trouvais dans le lit du plus grand mafieux de Russie. Je secouais de la tête en soupirant. Comment faisais je pour attirer tous les démons du monde? En me recouchant je repensais à notre conversation. J'espérais sincèrement qu'il ne cherchera pas plus loin, que ma captivité finirait bientôt et que je rentrerai enfin chez moi. Et c'est enveloppé de cette odeur si enivrante que je m'endormis sur ses draps.

MAFIAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant