Les Héritiers - Il est encore temps (Tome 2)

Chapitre 3 : Balade au clair de lune

Elle accourut à son lit, presque à se jeter sur lui, tellement elle était heureuse !
« Je suis tellement soulagée Chris, comme j'ai eu peur... » Fit Alicia en versant quelque larmes.
« Euh Aly, c'est qui cette femme ? Elle est ou maman ? » Demanda Chris un peu perdu. Alicia baissa la tête.
« On a remonter le temps Chris. » avoua-t-elle.
« Quoi ? Mais ou ? Pourquoi ? » Demanda-t-il ne comprenant pas.
« Et bien, on est revenu a l'époque de la scolarité de nos parents. » dit-elle.
« Mais pourquoi ? » redemanda Chris complètement perdu.
« Voldemort a massacrer tout le monde a Poudlard, plus aucuns de nos parents étaient en vie, on était coincés dans la salle de Gryffondor, et je n'ai trouvé que cette solution pour nous sortir de la. » expliqua Aly.
« Morts... » Répéta Chris dubitatif.
« Oui... mais on va changer ca, c'est aussi pour ca qu'on est la ! D'ailleurs je vais t'expliquer... » Fit-elle en prenant une chaise pour s'asseoir. Elle lui expliqua ce qu'il devait dire au cas ou on lui poserait des questions, l'as mise en garde du fait d'appeler ses parents par leurs prénoms, car personne à part Dumbledore, et ses parents, ne savaient toute l'histoire.
« Wow » fit Chris à la fin récit. « ca va être chaud ! Surtout quand tu pense, James n'a pas connu du tout ses parents, ca va être dur, et Mel aussi... pfiou » s'exclama Chris. Aly le regardait des étoiles dans les yeux, il le remarqua. « Viens la... » Dit-il en se poussant comme il pouvait, laissant de la place libre a coté de lui. La jeune fille se glissa dans le lit, et se blottit contre son petit ami.
« J'ai eu si peur Chris, il faut qu'on change les choses, il le faut, ca ne peut pas se finir comme ca, toute ces années a vivre comme des reclus, pour finir assassiner a la barbare ! Je ne le permettrais pas ! » Dit-elle.
« On va y arriver, tu as prit la bonne décision mon ange, merci de m'avoir sauver, je t'aime... » Lui dit-il. Ces deux simples petit mot, lui firent exploser le cœur en millions de papillon ! Elle l'embrassa tendrement.
« Moi aussi je t'aime... »

« Pourquoi tu as changer mon prénom ? » demanda James.
« parce que tu portes le prénom du père de Harry, et il n'est absolument pas bête, cela lui aurais mis la puce a l'oreille. » expliqua Hermione. Ils étaient tous dans la salle commune.
« En tout cas, quand on voit mes parents, ont à du mal à croire qu'il finiront ensemble ! » pesta Katy. Hermione sourit.
« Je te rappelle, que pour Drago et moi s'était pareil, et maintenant, regarde ou on en est ! » argumenta Hermione.
« Oui tu as raison... » Consentit Katy « mais quand même quel sale caractère ! » Fit-elle vivement. Aly rentrât, leur donna des nouvelles de Chris, et les héritiers partirent se coucher. Drago n'était pas la, Hermione commençait a s'inquiéter. Elle entrât dans sa chambre, et se mit à la fenêtre. De la, elle apercevait une partie du parc, et du lac. Soudain, Drago lui apparut devant les yeux, sur un balai, elle sursauta.

« Tu peux me dire ou tu étais, je me faisais du soucis ! » s'exclama-t-elle.
« Excuse moi j'ai oublié de te prévenir, j'étais sortit m'aérer un peu. » lui dit-il. « J'ai quelques chose à te montrer, viens... » Dit-il.
« Drago, je sais pas si... » S'étais bien connu, Hermione Granger avait une sainte horreur des balais, et détestait le vide ! En gros, elle avait peur !
« Viens, mon amour, tu ne risque rien, je te le jure, viens... » Insista-t-il en tendant sa main.
« Drago, j'ai affreusement peur du vide, on ne pourrait pas aller voire a pied ? » demanda-t-elle craintive. Drago sourit.
« Et bien ? Et le courage Gryffondorien alors ? Il est parti danser la Polka ? » Fit-il sur un air moqueur, elle bouda. « Aller viens, tu ne risque rien, je te tiendrais tu ne me fait pas confiance ? » demanda-t-il.
« Bien sur que si ! » répliqua-t-elle vivement.
« Alors viens... » Dit-il sa main toujours tendue. Elle agrippa sa main, un peu hésitante, puis monta sur le rebord de la fenêtre, et avec l'aide de son chéri, elle monta sur le balai, s'agrippant de toutes ses forces au manche tremblante de la tête aux pieds. Il passa un bras autour de sa petite taille, pour la tenir serrée contre lui, et de l'autre, il maintenait le manche. Il posa sa tête blonde sur l'épaule de la jeune fille, au creux de son cou.
« Prête ? » demanda-t-il.
« Non... » Répondit Hermione avant de se sentir s'élever dans les airs.

Ils s'éloignèrent de la fenêtre, pour survoler doucement le lac, puis le parc, évoluant dans les nuages de la nuit, au clair de lune.
« Détend toi mon ange, je te tiens, il ne t'arrivera rien. » lui dit-il.
« Plus facile à dire qu'à faire... » Murmura-t-elle en déglutissant. Ils volaient, doucement, tranquillement, Hermione se détendit un tout petit peu, se sentant en sécurité. Le petit vent d'octobre lui fouettait délicatement le visage, et s'engouffrait dans ses cheveux ondulés.
« Je voulais te montrer la nuit dans toute sa splendeur, et rien de telle que de voyager parmi les nuages, de plus en compagnie de la plus merveilleuse des déesses. » lui susurra-t-il à l'oreille. Elle sourit. Si elle aurait pu, elle l'aurait embrassé, mais elle n'osait bouger. Au bout d'une heure et demi de vol dans le ciel étoilé, ils revinrent à la chambre d'Hermione. Drago entrât à son tour par la fenêtre, et déposa son balai contre le mur. Il s'approcha d'elle et l'enlaça, pour finir par l'embrasser tendrement. Ils s'arrêtèrent, et il la fixa un moment.

« L'autre jour, je t'ai fait une promesse Hermione, et ce n'était pas des paroles en l'air... » Commença-t-il. Hermione était intriguée. Puis, elle comprit, lorsqu'il se mit a genou, elle se souvint et repensa.
« Je te promet de te demander ta main, dés qu'on sera de retour » avait-il dit. Il sortit un écrin de sa poche, et l'ouvrit.
« Hermione, tu es la femme de ma vie, aujourd'hui je le sais, tu compte plus que tout au monde pour moi, je t'aime, et je veux passer ma vie à tes cotés, avec nos enfants... Hermione, me ferait tu l'honneur, et le bonheur de devenir ma femme ? » demanda-t-il. Les yeux pleins de larmes de joies, souriant, elle répondit.
« Oui, je veux devenir ta femme Drago » dit-elle des émotions plein la gorge. Il lui passa la bague de fiançailles au doigt, et se releva. Elle lui sauta au cou pour l'embrasser passionnément.
« Je t'aime... » Lui murmura-t-il contre ses lèvres gonflées de plaisir et de désir. Il l'attira jusqu'au lit, ou ils terminèrent la nuit, pleine d'amour et de promesse d'avenir non formulées...