Les Héritiers - Il est encore temps (Tome 2)

Chapitre 15 : Soirée tranquille à Poudlard

« ca va ? » demandât Sirius a une jeune fille, qui venait de se ramasser, durant un exercice du cours de Sirius.
« Oui, oui » fit la jeune fille en se relevant vivement.
« Aller, on réessaye » s'exclama-t-il. Les deux élèves se remirent en place sur l'estrade, sous les yeux des autres élèves présents.
« REDUCTO ! » s'exclama l'adversaire, une fois de plus, la jeune fille fut expulsée au bout de la pièce, s'écrasant contre le mur, ou Aly avait fait apparaître un matelas de justesse !
« Je crois qu'il va vous falloir plus d'entraînement que les autres pour être a niveau miss Fisher ! » s'exclama Sirius. Sarah rougit de la tête au pied et comme à son habitude, elle baissa la tête.
« Ne soyez pas gênée, ce n'est pas un reproche, vous aurez juste l'honneur d'avoir des heures supplémentaires de cours avec le plus beau professeur de l'école ! » fit Sirius histoire de la détendre, mais ce fut tout le contraire, elle en rougit encore plus. Sirius se mordit la lèvre, décidément, cette fille l'intriguait vraiment. Il continua son cours, en essayant de garder contenance, car cette fille avait réussi à le toucher, et il était bien décider à lui faire prendre confiance en elle.

« Le plus beau professeur, et modeste en plus de ca ! » s'exclamait Harry en riant à la fin de cours.
« Oh ca va, j'essayais juste de la mettre a l'aise, cette jeune fille ne parle jamais a personne, et lorsqu'on s'adresse a elle, elle baisse toujours la tête et rougit, elle m'intrigue » avoua Sirius.
« Fait attention le tombeur, c'est une élève ! » s'exclama Harry, un regard complice avec Ron, qui faisait tout pour ne pas éclater de rire.
« Harry ! » s'exclama Sirius indigné.
« Ok, j'ai comprit, je me tais, a plus » fit Harry de plus en plus hilare, en sortant de la classe. Sirius secoua la tête, et soupira un petit sourire en coin.
« C'est bien ton fils James ! » murmura-t-il.

James et Elfy se baladaient dans le parc, le froid mordant de novembre avait fait son apparition, ils étaient tout deux emmitouflés dans une veste bien chaude, une écharpe autour du cou.
« Tu sais James, plus je passe du temps avec toi, et plus j'ai l'impression que tu me connais par cœur, alors que moi, je ne connaît rien de toi » s'exclama-t-elle soudainement. James ne répondit pas.
« Je sais que tu viens du futur, comme tes camarades, et je ne sais pas qui vous êtes réellement, mais j'ai le sentiments que dans ton époque, nous nous connaissons, je me trompe ? » demanda-t-elle. Il la regarda un instant.
« En effet, dans mon époque, on se connaît, tu as deviné » dit-il avec un petit sourire crispé. « Mais je ne peux rien dire de plus désolé Elfy » termina-t-il.
« Je sais, je comprends. En tout cas je t'apprécie beaucoup James, tu es quelqu'un de gentil, aimable, et attentionné » fit-elle.
« Merci beaucoup, et toi tu es très jolie, charmante, et très douce, d'une gentillesse incroyable » dit-il. Ils s'étaient arrêtés, et se fixaient.
« J'ai l'impression que la tu parle a l'autre moi, est ce que... je... il s'est passé... » Elle n'eu pas le temps de finir, il avait posé un doigt sur sa bouche.
« Pas de question, s'il te plait, je ne peux rien te dire c'est déjà assez dure... » Murmura-t-il. Elfy était très troublée par ce regard, et ne pouvait détacher ses jolis yeux mauves de son regard si pénétrant. James quand a lui, devait se faire violence pour ne pas l'embrasser sur le champ. Si elle continuait à le regarder ainsi, il ne résisterait pas longtemps... aussi, il coupa le contact visuel.
« Viens, rentrons, ca va être l'heure du dîner. » fit-il en lui prenant la main, qu'il ne lâcha qu'une fois devant la grande salle. Malheureusement, Katy les avait vus, mais elle ne dit rien, passant a coté d'eux, en les ignorants royalement, et alla s'installer a la table auprès de ses amis. James, remarquant ca, soupira, et secoua la tête, et alla à son tour s'installer afin de manger. Les discussions allaient bon train, et Katy était très proche de Seamus, qui la draguait maladroitement, mais ca la faisait rire, elle était attendrie.

« Il faut faire quelque chose Mione, elle ne doit pas se laisser avoir ! » s'exclama Drago.
« Ne t'en fait pas pour elle » répondit Hermione. Ils étaient dans leurs lits, et étaient censé dormir, mais un sujet assez épineux avait été mis sur le tapis.
« Mais, imagine, quand elle va rentrer a son époque ! On ne peut pas la laisser faire ! » S'exclama-t-il a nouveau.
« C'est sa vie Drago, et puis je suis convaincue que même si elle sort avec Seamus, Katy ne restera pas avec lui... elle n'est pas du genre a rester avec quelqu'un qu'elle n'aime pas... » Fit-elle.
« Et comment tu peux savoir si elle l'aimes ou pas ? » fit Drago.
« parce que elle est amoureuse de James voyons ! » fit Hermione tellement ca paraissait évident.
« Oui mais... » Il ne put finir sa phrase, que sa future femme, s'était jetée sur ses lèvres.
« Assez parler, maintenant, passons par la pratique... » Murmura-t-elle contre ses lèvres, il sourit, et l'attira a lui, vivement, laissant échapper un hoquet de surprise a la jeune fille.
« Et possessif en plus de ca messire ! » s'exclama-t-elle sensuellement.
« Non, pas possessif, mais tu es tellement irrésistible, que je ne peux me contrôler...et arrêtes de faire ca, ou je te saute dessus ! » s'exclama-t-il en murmurant, tout en contemplant son visage, ou on pouvait voire qu'Hermione se mordait la lèvres inférieur, chose qui éveillait en Drago tout ses sens !
« Vraiment ? » demanda-t-elle levant un sourcil en signe de défi, tout en continuant à se mordre la lèvre.
« Oh toi ! » fit-il avant de l'attirer sous lui, en dessous des couvertures...

De l'autre coté du château, une rouquine était assise dans un des fauteuils de sa salle commune, et écrivait dans un livre, ce qui semblait être un journal. Elle profitait qu'il n'y ai, personne dans la salle, hormis son frère qui jouait aux échecs, avec le garçons dont elle est amoureuse, tout deux en face d'elle. De temps a autre, elle s'arrêtait dans son écriture, fixant les deux joueurs concentrés, plus particulièrement, le brun a lunettes. Elle se surprenait a penser a lui, et elle, étroitement enlacé, faisant des choses, pas très catholiques ! Elle rougit instantanément, à ces pensées, et reprit ses esprits. Fatiguée, elle referma son journal, et se leva.
« Je vais dormir, bonne nuit les garçons. » dit-elle.
« Bonne nuit ! » répondirent-ils en chœur. Elle monta à son dortoir et les garçons partirent dans le leur, après que Ron ai littéralement écrasé Harry aux échecs, comme d'habitude !