Breakdown (Tome 1)©

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Aujourd'hui c'est mon jour de shopping, faut que je m'achète des trucs de New-York pour enfin me trouver une place et dire que je suis vraiment ici.
Je prend mon sac à main, descends les escaliers par deux, excitée d'aller dans les magasins de New-York, et hâte que je rencontre quelqu'un ou plutôt dire le président. J'arrive au dehors, ouvre les bras en accueillant le vent qui me souhaite la bienvenue.
L'air frais vient frapper mon doux visage ce qui me fait sourire avant d'arrêter un taxi, qui passait à l'heure exacte.

J'entre dans le magasin à grande enjambées, l'intérieur de celui-ci était agité, et immense. J'emprunte un couloir, qui me mène aux habits. Je promène tout en regardant les beaux vêtements.

Ça fait deux heures que je suis dans ce magasin, je m'apprête à sortir. J'ai acheté, essayé et après je paye à la caisse. Ça m'a prit du temps d'acheter parce que tout les habits de ce magasin illumine les yeux.

Je sors du magasin, tournant autour de moi, deux paquets à chaque main, je ne sais pas vraiment où je dois aller. Si je dois monter ou si je dois descendre.

Je marche lentement sur le trottoir, Claro avait raison, cette ville est vraiment étroite et plein de complications.

J'entre dans un magasin de téléphone, faut que j'ai un téléphone au cas quand j'ai besoin d'appeler quelqu'un. Mais quel quelqu'un ? La seule personne que je dois appeler, c'est ma mère. Je n'ai pas d'amis et aussi je n'ai pas de famille.
Mes yeux voyagent la table , exposée de beaux smartphones. Je choisis un IPhone et fais signe à un employé de venir.

-  Je prends l'IPhone x6 plus, dis-je en fixant mon nouveau téléphone.

- Ça coûte...

- Oui oui j'ai vu le prix donc je l'achète. Vous n'avez pas compris. Je le coupai-je

Il prend le téléphone pour l'emporter à la caisse. Je paye et sors enfin de ce fourneau. Les gens font comment pour travailler dans ce trou plein de chaleur. Pour réussir à la vie, on est prête à tout. À tout faire, pour avoir une vie meilleure.

J'arrive enfin dans mon chez moi, une heure à marcher, c'est grave dur. Je laisse tomber les paquets par terre et m'assis à mon tour sur le canapé. C'est une journée saccagée, je bascule la tête et prend une grande inspiration.

Paris, me manque déjà. Ma chambre où je passe la moitié de mon temps, quand je ne supporterais plus les remarques de mon père, je m'enferme dans la chambre. Sa mort m'a soulagé mais ça ne veut pas dire que je m'en réjoui.

Je ressens la même sensation quand je m'étais à peine installée à Paris. Ma mère ne voulait pas que je grandisse seule, au Mexique, donc elle avait décidé que je vienne vivre avec mon père, qui depuis lors, me servait d'un tourment.

Je monte dans ma chambre, la boîte de mon téléphone à la main. Je devrais appeler ma mère, en ce moment, je crois qu'elle s'inquiète. Je suis arrivée depuis hier dans l'après midi et elle n'a toujours pas reçu aucun de mes appels.
Je mets la carte SIM dans l'objet en suivant les instructions. J'allume le téléphone et attends que le réseau s'affiche là-haut sur l'écran.

J'ai déjà téléchargé plein d'applications que je rêvais d'en avoir depuis que j'ai le droit de posséder un téléphone.