Chronique de Lahna :Marié par mon père quand ma vertu me perd

Partie sans titre 46

Moi :allo ?

Elle : oui qui est-ce ?

Moi : On ma dit que vous étiez psychologue ??

Elle : ( rire ) ah non plutôt psychothérapeute

Moi : Ah t’es …… vous enfin vous êtes la cousine de Karima c’est sa ?

Elle : Oui c’est exacte ! Je suppose que tu es Lahna .

Moi : Vous savez qui je suis ?

Elle : Karima ma beaucoup parlée de toi

Moi : ah bon ?
Elle : oui seriez-vous libre pour boire un café demain ?

Comme sa nous pourrions faire plus ample connaissance !
Je répondis par la positive et nous convînmes d’un rendez vous . Après avoir écrit mes coordonnés la psychothérapeute raccrocha . Le lendemains je la rejoignis devant le lieu ou nous avions fixé le rendez vous .

C’était une femme d’une quarantaine d’années brune assez jolie . Cela m’avait intrigué de remarquer qu’elle était plutôt vielle pour être la cousine à Karima . Celle-ci m’avait expliqué qu’elle était une amie très proche de la famille mais que pour mon amie elle étaient cousine .

A peine nos boissons posée devant nous qu’elle commença à parler . Elle me posa différente question . Exemple pourquoi j’avais tenue à la voire . Qu’elle était mon but .

Ce que je voulais changer . Puis après on à commencé à parler de tout et de rien . Elle marquée parfois quelques mots que j’emploierais sur son bloc note . Parfois elle les soulignaient plusieurs fois .

A la fin du rendez vous je me rendis compte que j’avais parlée de tout sauf d’Elias . Un moment la psychothérapeute qui s’appelait Zara me dit alors

Elle : Lahna aujourd’hui nous avons appris à faire connaissance et c’est très bien ! Mais la prochaine fois ce ne sera pas pareille ! Tu viendra chez moi mon cabinet et la bas et on essayera d’analyser certaine choses ! D’accord ?
Moi : oui …. Combien je vous dois ??
Zara sourie et de très jolie fossettes se creusèrent sur ses joues .

Elle : Karima avait décidée de payer pour toi à toute tes séances . Mais quand j’ai vue ce qu’elle était prête a faire je me suis dit que je te prendrais comme patiente pour l’aider et gratuitement ! Car Fait on payer un amis ? Non je ne pense pas .

Elle se leva et s’en alla . Les jours qui suivirent mon état c’était plutôt détérioré car du jour au lendemains je ne pus pleurer . Il m’était devenus quasiment impossible de verser une seule larme .

La seul chose qui avant m’aider un peu à dégager l’angoisse et la tristesse de mon corps , et bien je n’y avais plus accès . C’est la que j’ai commencé à perdre pied . Le désespoir m’avait volé toute mon énergie.

J’étais toujours pale toujours très fatigué toujours dans un autre monde la douleur avait atteint un tel niveau que je ne la sentais même plus . Elias avait radicalement changé de comportement avec moi . Il était devenus particulièrement calme et patient . Presque fraternel .

A chaque une de mes crises (concernant l’ordre ou le ménage ) je le reconnais il avait tenté de réaliser ce que je demandais et de me calmer . Mais cela ne suffisait pas je voulais plus que cette sorte de bienveillance qu’il semblait m’offrir.

Donner de l’amitié ( en quelque sorte ) à qui veut l’amour c’est donner du pain à qui meurt de soif . Cela ne me suffisais pas . Je mourrais de soif et lui ne comblait pas mon manque. Ce manque qui me rongeait de l’intérieur .