OS épouvantard - James

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J'avais dis que j'écrirais des petits OS avec les épouvantard. Voici le premier.

Cela faisait un mois que jétais arrivé à poudlard et je m'étais fais pas mal d'amis. Des ennemis également. Mais je restais tout le temps avec les maraudeurs, qui mavait pris sous leurs ailes. Nous nous dirigions vers le cours de défenses contre les forces du mal, je m'installé à coter de Remus et nous attendons le professeur qui arrive quelques minutes plus tard.

-Bonjours jeune gens, s'exclame-t-il d'une voix forte. Aujourd'hui, nous allons apprendre à nous défendre contre les épouvantard. Levez-vous et sortez votre baguette.

Nous nous exécutons tous sans dire un mot. Le professeur nous explique comment combattre l'épouvantard et qu'elle formule magique il faut prononcer. Nous nous mettons en ligne. Pendant qu'un élève essayait de combattre ses peurs devant l'épouvantard, les autres chercher ce qui leur faisait le plus peur. Il ny avait pas mal délève devant moi donc javais le temps de réfléchir. En fait, je ne savais pas de quoi javais peur, j'avais déjà combattu au coter de mon père et je n'avais jamais eu peur. J'avais une grande force d'esprit. Je vis Remus passé. Sa plus grande était la pleine lune. Il m'avait expliqué son petit problème de fourrure, comme disait James, il y a une semaine. Je lui avais assuré que ça ne changerait rien entre lui et moi et que j'étais une animagus. Je le regardé avec appréhension mais il leva sa baguette et réussis. Je le félicitai quand il passa à coter de moi et me mis à réfléchir de nouveau. Mon tour arriva et je n'étais pas prête du tout. Je ne savais pas ce qui me faisais peur. L'épouvantard me regarda et se mis à tourner un petit moment avant d'apparaitre sous les traits d'un bel homme imposant et musclé. Je le reconnu aussitôt, c'était Godric Gryffondor, mon ancêtre. Jétais stupéfaite, je ne mis attendais pas du tout. Mon ancêtre épouvantard se mis à parler dune voix froide et méchante.

-Comment oses-tu porter les couleurs de ma maison ? Tu nen es pas digne. Tu n'as pas de courage, pas de force. Regarde-toi ? Tu nes pas ma descendante, je ne te considère pas comme tel.

Jétais tétanisés. Je lâchai ma baguette et les larmes se mit à couler. Je n'entendais pas les ricanements des serpentard, ni mes amis qui me rassurais, ni le professeur qui me demandais si jallais bien. D'un coup, je fis demi-tour et partis de la salle. Je couru jusqu'au terrain de quidditch. Je m'installai dans les plus hauts gradins et me mis à pleurer de plus belle. Voilà ce qu'était ma plus grande peur, que mon ancêtre me trouve indigne de lui et qu'il ne soit pas fier de moi. Je ne comprends pas pourquoi jen ai peur.

-Ange, calme-toi.

Remus s'installa à coter de moi et me pris dans ses bras pour me bercer.

-Ne tinquiète pas, ce nétais qu'un épouvantard ! Me rassura Sirius en s'asseyant de lautre coter et en me frottant le dos doucement.

-J'ai honte, leur avouai-je.

-Tu nas pas à avoir honte, me dis James en s'accroupissant face à moi. Gryffondor était un grand sorcier en son temps et avoir peur de ce qu'il pense est normal, surtout que tu es sa descendante.

-Et je peux tassurer qu'il serai fier de toi, continua Remus.

-Oui, approuva Sirius. Tu es la plus courageuse de tous les gryffondor.

Mes amis réussirent à me calmer et à me consoler.

Je subis les moqueries des serpentard et des filles, jalouse de mon amitié avec les maraudeurs, toute l'année. Le professeur de DCFM m'avait pris en cour particulier pour pouvoir affronter ma peur. Jai vraiment eu du mal au début mais maintenant j'étais plus confiante et j'arrivais à me mettre en tête que ce n'étais pas mon ancêtre mais un épouvantard. J'arrivais à faire abstraction des moqueries et à me concentrer sur les examens de BUSE qui arrivait bien vite à mon gout.

Je sortais de l'épreuve pratique de DCFM satisfaite de moi. Cétait la dernière épreuve. Je me dirigeais dans la cour quand une bande de serpentard venait vers moi. Je les regardais stupéfaite. Ils c'étaient déguisé en Godric Gryffondor et se moquais de moi. Avec le stress des examens accumulés, ce fut la goute d'eau qui fit déborder le vase et je sortis ma baguette, leur lança un sort, sans prononcer la formule et ils se retrouvèrent projeté contre le mur. Je rangeai ma baguette et parti en direction du terrain de quidditch, mon endroit préféré. Assise sur les plus hauts gradins, je me mis à pleurer. J'ai subi les moquerie la tête haute toute l'année et jai stressé comme une malade avec les examens. Alors, jévacue tout ça.

-Ange, ne les laisse pas t'atteindre comme ça, dit James en sasseyant à coter de moi. Je suis sûr que ton ancêtre serais fier de toi.

-Merci James, pleurés-je de plus en plus. Mais... Mais jai subi... leur moquerie... toute l'année... sans rien dire et... et avec le stress des examens... je dois évacuer tout ça.

James me pris dans ses bras et me berça en me réconfortant avec des mots doux. Je me calmais petit à petit. J'étais bien dans les bras de James. Je me sentais rassuré, en sécurité, j'avais l'impression que rien ne pouvait m'atteindre. Je regardai James et le trouva magnifique avec ses lunettes rondes qui cacher de beaux yeux noisette, ses cheveux en bataille et son beau sourire sincère. Mon cœur s'emballa quand nos yeux se croisèrent. Je crois que je suis en train de tomber sous le charme de James Potter. Je toussotai gêner et demanda à James avec un grand sourire.

-Tu as toujours ton vif dor ?

-Oui, me répond-il surpris.

-Je te mets une raclé ?

-Alors ça ma belle, impossible, rigolait-il.

Nous nous dirigeons vers les vestiaires pour nous changer, prendre nos balais et nous allons jouer au quidditch.

Maraudeurs : Préférences et imaginesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant