Chapitre 15 - Le fraisier

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Nous étions installés dans un petit restaurant local qui était spécialisé dans les gaufres et les sandwichs. J'avais quasiment terminé ma gaufre qui était fourrée avec du chocolat. Assez original. Quant à Wade, il devait en être à sa troisième.

On avait tenter de se changer des idées en parlant que de films et d'anecdotes assez marrante de notre vie. Il avait éclaté de rire quand je lui avais raconter l'histoire du baby-trotteur. Sur le moment je décida de le prendre en photo. Une photo que je garderais juste pour moi, tout comme celle de M.Stark que j'avais pris faussement discrètement.

Ayant terminé notre encas, nous décidons de nous promener. Il ne fallait pas se mentir, j'étais encore loin de chez moi. J'espérais que rien ne se passe car je n'avais pas pensé à prendre mon costume. Honte à moi.

«Imagine on découvre un monde parallèle au notre mais étroitement lié. Comme dans Stranger Thing. Un monde où tout serait à l'envers. dis-je.
- Les chaussons en poissons morts. C'était sûr. Ça vient d'un rêve que j'avais fait. C'était dégueulasse.
- Pas terrible en effet.
- T'imaginerais quoi dans ce monde à l'envers, toi ?
- Je pensais à quelque chose de totalement absurde. Comme des auto-tamponeuses sur des autoroutes ou encore des super-héros aux pouvoirs absurde à tout les coins de rue. Je suis sûr que quelqu'un a déjà imaginé ça.
- Bonjour, je m'appelle Michel, et je suis capable d'arrêter le temps en éteingnant ma montre Gucci.

À ces mots, j'explosa de rire. Je riais tellement que mes yeux en devenaient humide et que j'étais obligé de m'arrêter dans ma marche.

- HAHAHAHA !! OUHou... Olala... C'est débile... Hahaha !
- Ou encore, être capable d'être invisible lorsque personne nous regarde.
- Mais... C'est pour ça qu'on trouve pas Charlie. riais-je. Personne ne le trouve, donc il est invisible.
- C'est ça !

Nous étions deux à rire comme des hyènes au milieu de la route. Les gens nous regardaient très mal, surtout parce que Wade avait encore et toujours son costume qu'il avait lavé et séché le matin même.

- Ou encore... continua t-il difficilement. La capacité de réussir tout les tours de lotos mais en contrepartie, tu perds tout les papiers.
- Oh mon dieu, c'est sûr, ça existe ça !
- Faudrait que je demande à Domino, une nana dans mon groupe, de faire tout ces tickets. Je suis sûr qu'elle ne les perdra pas ! Elle pourrait les cacher bien au chaud dans ses cheveux !

Nous avions continuer à rire pendant un très long moment. Tellement qu'on en venait à avoir mal au ventre. Je m'étais même étouffé en buvant dans ma bouteille d'eau. Wade dû m'aider pour éviter que je me noie tout seul sur la terre ferme.

Au bout d'un moment, nous étions calmer et le soir avait fait son entrée.

- Et pot de sucre ? Vient on se prend une chambre d'hôtel pour cette nuit.
- D'accord. J'ai encore plein de sujets débile à aborder.
- Très bien. Vient, on va se prend un truc pas trop mal, il doit bien y en avoir dans le coin. J'espère juste que la personne ne sera pas à l'accueil ne sera pas le même genre de personne que là où j'étais juste avant. Enfin, il y a 5 ans. Une vieille dame qui sentait le mort à chaque fois qu'elle parlait. Je suis sûr qu'il a des cadavres dans son garage et même qu'elle fabrique des dentiers avec de vrais mâchoire.
- Immonde.»

______________

Nous étions entré dans la chambre en question. Je retira ma veste pour la suspendre sur un porte manteau après avoir retiré mes chaussures et mis les chaussons proposer par l'hôtel. De simple chaussons blanc tout comme la literie entière. La pièce était banale, mais bien entretenu et la fenêtre était plutôt grande. Il y avait à côté, une armoire en bois vernie et foncé avec une petite lampe suspendue au mur. Mais une chose me surpris. Le lit. C'était un lit double. J'aurais dû fortement m'en douter.

The Phone (Spideypool)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant