Chapitre XV :

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PRÉCÉDEMMENT :

Je suis sûr que c'est À CAUSE DE CE TATOUA/

Je plaque ma main sur sa bouche pour qu'elle se taise, tombant par la même occasion par la force de ma précipitation.

La porte s'ouvre subitement au même moment où je me retrouve au dessus de tutu, une main sur sa bouche.

Je crois que je n'aurai pas dû prendre autant d'élan. Je suis sûr que c'est À CAUSE DE CE TATOUA/

Je plaque ma main sur sa bouche pour qu'elle se taise, tombant par la même occasion par la force de ma précipitation.

La porte s'ouvre subitement au même moment où je me retrouve au dessus de tutu, une main sur sa bouche.

Je crois que je n'aurai pas dû prendre autant d'élan.

***

Je me frotte les yeux un long moment.

Je ne sais pas ce qu'il m'a pris de me laisser aller à mes émotions comme ça.

Déjà que je n'aime pas me faire prendre en pitié. Pour une fois, je ne comprends pas. Et elle qui me prends dans ses bras, la goutte de trop.

Mon père en a toujours eu pour mon intelligence, mais n'a jamais su voir à travers. J'ai appris à cacher mes sentiments, tel un petit-enfant parfait. Alors me laisser submerger comme ça, c'est vraiment bizarre.

Je pensais que j'avais passé ce stade-là, que j'avais tourné la page sur ma situation familial, sur la situation de maman.

Je reprends mon souffle un grand coup. Je suis toujours dans cette infirmierie. Il faudrait que j'en sorte avant que l'autre folle ne revienne pour me chercher à mon tour. J'espère que Tutu la retiendra assez longtemps pour que je me barre.

Je m'emmêle les cheveux. Je ne vais pas m'apitoyer sur mon sort, je déteste ça. J'ai juste eu un moment de faiblesse ça arrive à tout le monde.

Je me lève doucement et commence à ranger mes affaires. Le soleil commence à se coucher pour bientôt faire place à la nuit. Les couleurs sont très belle mais j'ai mieux à faire que rester assis ici à le regarder se coucher. J'ai des gens, qui pensant que je suis sûrement au bar, à rejoindre.

La porte s'ouvre d'un coup. Je me surprends à souffler de soulagement quand je vois que ce n'est pas cette folle d'infirmière.

C'est un élève que je ne connais pas. Il me salue et je fais de même par pure politesse.

Je refais mes lacées.

- Tu es nouveau ici ?

Pourquoi tous le monde me.pose la question ? S'ils ne me connaissent pas et ne m'ont jamais vu c'est évident que oui. Les gens utilisent tellement peu leur cerveau.

Le Tourment De Deux IdiotsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant