Chapitre XIII :

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Précédemment :

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- Je suis sûr que c'est À CAUSE DE CE TATOUA/

Logan se jette sur moi d'un coup et me bloque la bouche. Nous tombons en arrière sous l'effet de l'élan. Je percute le lit de plein fouet me retrouvant entre le lit et Logan.

Je rougis de plus belle pensant à milles choses à la seconde.

La porte s'ouvre au même moment.

Ah ?

............

Le temps de cligner des yeux, Logan est debout. Je me redresse aussi sous le lourd regard de l'infirmière.

- BORDEL DE CHIOTTE DE TOILETTES VOUS ÊTES DANS MON INFIRMERIE ! VOUS VOULEZ MOURIR OU QUOI ?

Elle nous regarde tour à tour puis frappe dans la porte pour extérioriser sa colère.

Le bruit n'est pas celui auquel on devrait s'attendre car au lieu de faire : PAM BOUM, ça à fait : PAM BOUM AYE !

À mon grand étonnamment la personne derrière qui s'est pris la porte est ma camarade de classe toute tremblotante.

Quand l'infirmière l'aperçoit, elle lui lance le pire des regards puis se retourne à nouveau vers nous.

Je cherche logan du regard, mais celui-ci est trop concentré dans une réflexion intérieur.

Ce qui est honorable, c'est que peu importe la situation, il a toujours sa mine décontracté collé au visage.

Je souris face à son comportement, il ne changera donc jamais.

Je n'ai pas remarqué tout de suite, mais pendant que je regardais Logan, l'infirmière en avait profité pour fouiller dans l'armoire à pharmacie. Elle en sort une boîte et s'avance vers Logan.

Son regard veut clairement dire : assis-toi où je finis de te tuer.

Celui-ci paraît perplexe et décontenancé mais commence à s'exécuter.

- BON, TU VAS T'ACTIVER OUI !! Cria l'infirmière impatiente. SI TES ICI, C'EST POUR UNE BONNE RAISON, ALORS TU VAS POSER TON CUL SUR CE LIT ET PLUS VITE QUE ÇA !!

Je me demande si elle n'était pas dans l'armée avant. Je m'assois moi aussi par la force de sa persuasion.

Il s'exécute sans dire un mot et elle lui retire sa chemise.
Ça aussi ça sent le vécu. Néanmoins Logan ne parait pas très confiant.

J'avais oublié un détail.

Je détourne les yeux de ses abdos.

Si je ne veux pas tomber amoureuse, il faut que j'arrive à résister.
Mais pourquoi je me complique la vie pour des futilités ?

Je me tourne vers lui et fixe ses abdos avec une grande concentration.
Ce ne sont que des.... OH BORDEL, IL A BOUGÉ !

Je me cache les yeux.

Le Tourment De Deux IdiotsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant