Chapitre XX :

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PRÉCÉDEMMENT :

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PRÉCÉDEMMENT :

Je n'ai pas le temps de tergiverser qu'il me plante une aiguille dans le cou.

- Fais de beaux rêves !

- Que faites-vous ? Se préoccupe mon géniteur en restant les bras croisés.

Ma vision s'obscurcit jusqu'à devenir noir.

- Je le prépare à sa visite dans son passé. Comme vous dîtes, il est grand temps qu'il s'en souvienne.

- Il n'est pas/

Ce sont les derniers mots qui me parviennent à l'oreille avant que je tombe dans l'inconscient.

..........

- Si vous ne vous arrêtez pas je vous jure que je vous tuerais !!

Le gros barbue me regarde de haut en bas comme si je lui sortais la blague de l'année.

- Je vous tuerais faites-moi confiance. Répétais-je avec plus de conviction.

Il me pousse pour avancer. Je décide de me mettre à compter.

- 1

Il me tient fermement le bras, ne montrant pas le moindre signe de peur.

- 2

Sans attendre le trois, je le surprends en me faufilant derrière lui. A la vue de son dos je me dis que j'ai réussi mais le problème et qu'il ne m'a pas lâché le bras, au contraire il l'a refermé un peu plus sa poigne malgré son bras en contorsion. Je lui déboite d'un coup sec son épaule mais il ne scille pas. Le seul bruit qu'on entend est son os qui a craqué. Quand je pense avoir pris l'avantage, il me fait un croche-patte qui me fait glisser au sol. Il en profite pour se mettre au dessus de moi et me bloque de son bras valide.

- AH ESPÈCE DE MERDE ENLÈVE T'ES SALE PATTES !! M'énerve-je en essayant de me débattre assez frustrer du fin mot de l'histoire.

Il se contente de me relever de son bras valide.

- Tu sais qui je suis au moins ? Demandais-je frustré.

Il me lance un regard noir. J'en connais un qui n'a pas apprécier la surprise. Il ouvre une porte épaisse en la poussant par le pieds avec brutalité puis me balance dans la pièce comme un vulgaire torchon. Je me retrouve sur une moquette.

- TU VAS LE REGRETTER ! Criais-je.

Je me précipite vers lui mais il ferme la porte laissant une odeur de neuf m'envahir.

Au lieu de perdre mon énergie inutilement à crier et à taper sur la porte, je fais le tour des lieux dans une pièce dénué de fenêtre. Ma seule source de lumière étant celle du couloir sous la porte.

Le Tourment De Deux IdiotsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant