Un hôpital.
Un médecin légèrement fou.
Des parents désespérés.
Une équation idéale pour mettre au monde des personnes quelques peu atypiques dans le plus grand secret.
Sans tout cela Logan Willensia, un homme au charme troublant n'aurait jamais renc...
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Précédemment :
Je me recouche ayant la tête qui tourne.
- Ne pas se moquer d'Ewen. Je note.
C'est quand même bancal cette histoire. Il ne m'a pas tout dit.
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Les pleures d'un enfant me réveille en sursaut.
- MAMAAAAN ! Crit l'enfant au sol en pleurant non loin de moi.
Je le regarde plus énervée que compatissant.
Faites le taire bon sang !
Ce sont quand les passants me contourne que je réalise où je suis et qui je suis.
En même temps vu la dégaine que je me coltine, je me demande ce qu'elle a bien pu faire pour se retrouver à la rue.
Une dame s'approche de l'enfant et vient le relever. Elle lui essuie le genou et caresse ses joues rondes.
Je me masse les tempes. Bon, récapitulant, je suis dans le corps de Tutu sans aucun moyen de la contacter, avec plus de bruits que si j'étais au cirque et pour couronner le tout j'ai une dégaine à faire peur.
C'est pire ou meilleure que ce que je viens de quitter ?
- Penelope ?
J'essaie de chercher la voix qui m'appelle.
Ne me dites pas que...
- Penelope ?
Cette tête de con de Marc agite le bras dans tous les sens, dans sa vieille voiture.
Je m'approche de lui.
Mais qu'est-ce qu'elle a encore fait ? Et pourquoi cette tête de con est là? Je croyais qu'ils n'étaient plus amis.
Elle a toujours le don de me donner des migraines.
Arriver devant lui, je me rends compte qu'il est plus grand. Ou plutôt Tutu est plus petite que moi.
- Tu as pu parler à Logan ? Demande-t-il.
Tu lui parles actuellement face de merde.
- Non.
- Ah! Tu veux que je te ramène?
Je souris. Enfin il sert à quelque chose !
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Sur le chemin, il ouvre toutes les fenêtres de sa voiture.
- Je ne sais pas dans quoi tu t'es encore fourrée mais tu pourrais faire un minimum d'effort. Dit-il en jetant un coup d'oeil à mes habits.
