Chapitre 31: James/Amy

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Chapitre James

Je n'aime pas ce médecin. Je le dirai à Am'. Je suis sûr qu'il ne voulait pas lui parler de ça. Il a cherché ses mots, il cherchait ce qu'il pouvait dire à la place de ce qu'il avait prévu. J'avais gâché son plan. Je le trouve proche d'Amy, un peu trop d'ailleurs. N'aurait-il pas développé des sentiments pour elle ? Ses paroles et ses gestes prouvent qu'il a déployé quelque chose pour elle. Le fait qu'il lui est lancé un regard noir quand je lui avais parlé de l'homme de l'Oasis, en disait long sur ce qu'il éprouvait. Cela faisait dix minutes qu'on avait pris la route.
-Je ne l'aime pas ton médecin, -dis-je le plus naturellement du monde-.
-Pourquoi ?
-Tu as vu comment il est avec toi ? Je crois qu'il t'aime plus que bien.
-Tu sais, il m'a vue dans mes pires moments et je peux te dire que je n'étais vraiment pas belle à voir. Mais si ça peut te rassurer, je ferais attention.
-Merci.
-Au fait, des hommes doivent venir chez moi pour mes vingt minutes de plaisir. Je parle d'oxygène, hein!

Elle se mit à rire et à rire.
-Tu viens dormir chez moi, -lui dis-je-

Elle ne rigolait plus.
-Tu es sûr ?
-Oui. Ça te pose un problème ?
-Aucun, -me dit elle en m'embrassant sur la joue-.

On arriva au pied de mon immeuble. La peur rentra dans mon corps. Présenter mon chez moi à une femme et surtout à elle officialisait encore plus la chose. Et si elle me trouvait trop bordélique ? C'était possible, sa maison était hyper bien rangée.

Je ne m'étais pas rendu compte mais j'étais en train d'enclencher le bouton pour que l'ascenseur monte au troisième étage. Un silence régnait. Je ne savais pas quoi dire. Les portes de l'habitacle s'ouvrèrent et je m'engouffrai en premier dans le couloir sombre.
-Les lumières sont en pannes.

Elle ne répondit pas. Je lui pris la main et nous avançâmes dans le corridor lugubre. Je mis la clé dans la serrure et fis trois tours. La porte s'ouvrit. Je récupérai la clé et entrai dans mon appartement. Je refermais la porte derrière Amy. J'allumai les lumières. Elle alla dans le salon où elle déposa son sac à main. J'épais chacun de ses faits et gestes. Elle regardait tout autour d'elle. Ensuite, elle prit un cadre photo qu'elle regarda. C'était une image de Benjamin et moi. La première fois qu'il m'a emmené en boîte de nuit. Elle sourit à la vue de nos têtes.
-Tu n'as qu'une photo ? -demanda t-elle surprise-
-Oui, je n'ai aucune image de famille pour des raisons que tu connais et je n'ai pas de photographie d'ami parce qu'à part Benjamin, je n'en ai pas.

On dirait que je suis un grand associal, ce qui est un peu vrai, mais disons que mes parents n'ont rien fait pour que je ne le sois pas. On n'a pas d'ami quand on suit les cours par correspondance.

Elle reposa le cadre et enleva ses chaussures. Je la regardais faire. Elle faisait tout avec sensualité. Elle lécha sa lèvre supérieure, ce qui me mit au bord du précipice et du supplice.
-Tu veux boire ?
-Je veux bien de ...
-Du thé ?
-De l'eau, s'il te plaît.

Je rentrai dans la cuisine et elle me suivit. Je lui servis un verre que je lui tendis.
-Si tu veux prendre une douche, ne te gêne pas.

Elle le prit et le but d'une traite puis elle bailla.
-Tu es fatigué ?
-Il est deux heures du mat', je suis exténuée.
-Très bien, je te passe un tee-shirt pour dormir.
-N'oublie pas d'y mettre ton parfum dessus.

Je rougis lamentablement et parti dans ma chambre suivi par elle. Je regardai dans mon armoire quelque chose de long et de potable. Je sortis un haut gris chiné à col V.
-Tiens.
-Merci.

Elle me fit un baiser sur la bouche.
-J'aimerai qu'on parle de se qui s'est passé aux toilettes,- me dit-elle.-
-Je t'écoute.

Je sais que je ne vais pas apprécier mais elle aura raison. Je me suis fait des films et j'ai surtout vu que je lui avais fait mal. Malgré tout, elle m'a accompagné à l'hôpital et à accepter de dormir à la maison comme si de rien n'était. Je pense qu'elle était trop inquiète et trop en colère pour dire quelque chose. Elle a surement préféré réfléchir.

Je m'assis sur le lit en face d'elle qui était debout.
-Je peux me changer avant s'il te plaît.
-Vas-y, fait.

Je pensais qu'elle allait se changer dans la salle de bain. Mais elle remonta sa robe devant moi. Je détournai mon regard d'elle.
-Je te gêne ? -dit-elle d'une voix ensomeillée-
-Non mais tu es beaucoup à l'aise avec ton corps.
-Pas du tout. La seule chose que j'aime chez moi, ce sont mes yeux ... Je crois que j'ai pris l'habitude de me déshabiller à l'hôpital. Là_bas, tu n'as pas d'intimité. Mais en plus, je suis crevée et ce n'est pas comme si tu ne m'avais jamais vu comme ça...
-Tu te déshabilles partout alors ?, -dis-je en riant.-
-Non, quand même pas. Je te fais vraiment peur, alors ?

Je hochai timidement la tête.

Je la sentis se rapprocher de moi. Je regardais toujours par terre. Je vis ses jambes dans mon champ de vision. Elle me prit mes mains dans les siennes et me fit caresser son corps. Je relevai la tête pour voir le parcours de ces dernières. Elle décrivit des cercles sur son ventre avec nos mains, puis les fit descendre le long de son bassin crochetant sa culotte au passage. Cette dernière ne s'abaissa que d'un centimètre. Amy plaça ma main droite dans le bas de son dos, alors que ma gauche remontait vers son ventre. Sa main qui guidait toujours la mienne, me fit traverser son soutien-gorge noir entre ses deux seins. Un frisson parcourut alors nos deux corps. Nos mains continuèrent leur montée, elles arrivèrent sur son cou, sur ses lèvres et dans ses cheveux à présent courts. Avec ma main dans son dos, je l'obligeai à s'asseoir sur mes genoux fasse à moi. De ma main gauche, je lui tirai les cheveux en arrière et je lui baisai le ventre, remontant au fur et à mesure. Arrivé à la baleine de son balconnet, je lui léchai la démarcation qu'elle avait entre ses deux seins. Elle émis un soupir. Je couvrais la peau de son cou de tendre et doux baisé. Quand j'arrivai à ses lèvres, je l'embrassai avec force. Elle répondit de la même manière. À bout de souffle, on décolla nos lèvres mais on lia nos fronts. On reprit nos respirations.

Quand elle se leva, un vide se créa en moi. Quand je la vis réapparaître, elle avait mon tee-shirt. Il lui arrivait à mi-cuisse et on pouvait voir bien plus que la naissance de sa poitrine si elle n'avait pas de soutien-gorge. Je le regardai et sourits Elle s'assit sur le bord du lit.
-Tu m'expliques pourquoi tu m'as hurlé dessus ?
-Quand je t'ai appelé, tu avais l'air distante et pressée. J'ai entendu de la musique de fond puis la voix d'un homme qui te proposait vingt minutes de plaisir. Alors j'ai cru que comme je t'avais repoussé samedi, tu étais parti chez Luke pour te faire ... enfin tu vois quoi.
-Je ne sais pas quoi dire. Je trouve ça mignon le fait que tu sois possessif mais je suis outré de ce que tu penses de moi ! Baiser avec Luke parce que tu m'as repoussé samedi, merci ! Tu penses sérieusement ça de moi ?! -elle éleva la voix puis soupira- Et puis, je ne t'en veux pas pour samedi, je sais que tu en avais envie, l'intérieur de ton caleçon a parlé tout seul.
-Je suis désolé mais j'arrivai pas à réfléchir, j'étais tellement en colère...Comprends-moi, je me demande ce que tu fais avec moi ?

Les mots étaient sortis de ma bouche tout seul. Cette question cogitait dans ma tête sans jamais trouver de réponse. Mon angoisse était qu'elle trouve quelqu'un de mieux et de plus jeunes. Ce n'était pas difficile.

Face à ma question, elle écarquilla les yeux. Je repris pour qu'elle oublie cette interrogation.
-Pour ce qui est de mon caleçon, je suis désolé... c'est vraiment gênant mais quand tu es à côté...
-Tu te demandes sérieusement ce que je fais avec toi ?
-Ou... oui.
-Oh James... Je t'aime. Ne le comprends-tu donc pas ? C'est moi qui ai de la chance de t'avoir. -elle me sourit tendrement-. Pour ton désir, tu n'es pas obligé de tout contrôler. Je sais que tu as des envies comme moi.
-Je sais mais tu as seize ans !
-Et si j'en avais vingt-deux ?
-Tu m'aurais déjà sauté dessus.
-Ahaha. Je te rassure, on a tous les deux peurs pour notre première fois. On peut continuer à jouer comme on fait, en attendant.

Plus compréhensive qu'elle, ça n'existe pas. Je viens de me rendre compte à quel point elle m'aime.  Je pense ne pas la mériter, je n'ai rien fait pour. Ma mère m'a toujours dit « Pour gagner l'amour d'une femme, il faut le mériter. Le coup de foudre et le grand amour n'existent pas ». J'avais fini par y croire et pourtant elle était là, en face de moi. Après toutes les horreurs que je lui ai dites à l'Oasis, elle a eu peur pour moi quand on s'est frappé avec ce con de « chéri ». Elle m'a pardonné.

-Pourquoi tu as les cheveux courts ?
-Tu veux quelles versions ? La vérité ou l'officielle pour le lycée ?
-Les deux.
-Parce que j'en avais marre d'avoir du vomi dans les cheveux et parce que je me sens plus libre. Maintenant à toi de trouver la vérité.
-Je te connais Amylidia Worth... Je sais quelles sont les versions.

Je l'embrassai.
-Je suis désolé, mon cœur, mais je suis crevé, -me dit-elle-
-Eh bien, mets-toi dans le lit j'arrive.

Chapitre Amy

Je m'engouffrai sous les couettes. Le lit était froid, j'eus une sensation désagréable. Je me blottis dans les couvertures. Mon petit ami revint, seulement vêtu d'un boxer. En me voyant, il me dit :
-Tu as froid ?
-Je suis gelé !
-J'arrive.

Il éteignit la lumière et se mit à son tour sous les couvertures. Il me tira vers lui et colla son torse contre mon dos.
-La chaleur humaine... Il n'y a rien de mieux pour se réchauffait, -me dit-il-.

Il commença à entourer mon corps de ses bras mais :
-Attends, -lui dis-je-

Je me retourna. Nous étions face à face. Je mis ma tête dans son cou et lui, la sienne dans mes cheveux.
-Tu m'accorderas une danse un jour ? -me demanda t-il -
-Pas qu'une, je peux te l'assurer.

Je le sentis sourire et je m'endormis dans ses bras

***

Pour la première fois depuis longtemps, je me réveille à onze heures du matin. Je ressens enfin le bonheur d'une nuit complète qui plus est, avec son chéri. Ce dernier est absent du lit et de la chambre. Je m'étirai, sorti de dessous des couvertures, me leva du lit et passa une main dans mes cheveux. Je ne m'habitue toujours pas à leur longueur.

J'ouvris la porte de la chambre et une lumière aveuglante vint me frapper en plein visage. Je mis une main devant mes yeux, le temps de m'habituer à cette brutale clarté.
Quand ce fut fait, j'allai dans le salon et j'aperçus James dans la cuisine. Il était en train de faire cuire quelque chose à la poêle. Il était devant sa table à induction. J'avançai à pas feutrés jusqu'à lui et j'entourai son corps de mes bras et je posai ma tête sur son dos. Je sentis son cœur battre dans mon crâne et ses muscles se tendre au contact de ma peau. Je fermai les yeux pour profiter de cet instant. J'entendais son souffle saccadé. Je laissai mon imagination m'emmener loin de cette cuisine avec mon copain.

Un crépitement me fit revenir à la réalité. Je me décrochai de lui et me positionnai de façon à ce qu'il puisse me voir.
-Bien dormi, marmotte ? -dit-il en souriant-
-Tu ne peux pas savoir à quel point. Je n'ai pas dormi neuf heures d'affilées depuis je ne sais pas combien de temps !
-Neuf heures ?! Tu as dormi plus d'une journée entière !
-Tu veux dire qu'on est vendredi ?

Il hocha la tête, je me précipitai dans le salon, pris mon sac, l'ouvris et sortis mon téléphone. Je le déverrouilla et dit :
-James Brav vous allez passer un sal quart d'heure

Je l'entendis rire comme un enfant pris en flagrant délit. Je pris un chewing-gum qui se trouvait dans mon sac et le mis dans ma bouche. Je rentrai dans la cuisine et refermai la porte de cette dernière, derrière moi. Il me regarda, mis ses mains sur mon bassin et me colla contre lui. Je ne mettais pas rendu compte à quel point le tee-shirt qu'il m'avait prêté, était aussi échancré. Il perdit son regard dans mon décolleté.
-Si je le passe avec toi, ça me va.

Il essaya de m'embrasser mais j'esquivai. Il grogna et réessaya. Mais j'esquivai toujours. Je jetai mon chewing-gum dans la poubelle.
-Je suis désolé mais c'était trop tentant, maintenant laisse-moi t'embrasser, -me dit-il-

Je le poussai et le plaquai contre la porte. Il ouvrit la bouche pour dire quelque chose mais je le fis taire en l'embrassant. Il remonta mon tee-shirt pour mettre ses mains sur la peau de mes hanches. Je soupirai. Il esquissa un sourire. Il jouait avec moi et avait l'air de prendre un malin plaisir à me faire gémir. Je lui déposai un baiser sur sa clavicule. Il se retint de gémir. Ça en devenait un jeu interdit mais attrayant.

Je continuai ma descente de baisers. J'étais à présent à genoux devant lui.  Je suivis la descente de ses poils vers son pubis. Arrivé à la limite de son caleçon, il se retint plus et gémit fortement. Ce qui me fit sourire. Je baissai légèrement son boxer pour faire un dernier baisé à la limite. Il me regarda et comprit que je voulais mettre au bord du précipice. Il me releva et m'embrassa. Il décolla légèrement ses lèvres des miennes et me murmura:
-Tu as un magnifique décolleté.

Je savais qu'il me le disait pour me déstabiliser mais je rougis ostensiblement. Il eut un rire. Tout est jeu de séduction avec lui. Il continua de m'embrasser. Il alla dans mon cou, puis remonta à nouveau tee-shirt pour embrasser mon ventre. Ayant la bouche de libre et mes couleurs parties, je lui dis
-Attention, ça durcit.

Il se releva et on regarda son caleçon qui avait bien durci. Il devint couleur tomate mais me serra contre lui à mon grand étonnement. Je sentis son érection contre mon ventre. Il me chuchota dans l'oreille :
-Tu sais ce qu'il te reste à faire, si tu veux me mettre au supplice.

Je hochai la tête. Était-il sérieux ? Voulait-il réellement une gâterie dans sa cuisine ? Ou était-ce une stratégie pour me déstabiliser ?
Je descendis sur mes genoux tout en laissant mes mains descendre sur son torse. Je fis quelques bisous sur son V du sport et pris son boxer entre mes dents et commençai à le descendre lentement, il allait tomber quand :
-Arrête, je peux pas, -dit James visiblement gêné-

Je remontai son caleçon d'un coup sec en même temps que je me relevais. Je le regardai avec un énorme sourire sur mes lèvres. J'étais contente de gagner.
-Tu savais depuis le début que je te demanderais d'arrêter.
-J'imaginais que oui.
-Tu serais allé jusqu'au bout ?!
-Tu ne le sauras jamais. Je vais prendre une douche.
-Je peux te rejoindre ?, -dit-il en riant.-
-Si tu veux mais je te préviens que je serais nue.

Il déglutit. J'étais fière de moi.
Des gamins, voilà ce que nous étions. On jouait...
Je partis donc à la douche.

***

Quand je sortis de la salle de bain, la table était mise, le repas fait. Je sentis une bonne odeur, la senteur de mon plat préféré.
-James ?
-Oui, Amy ?
-Me dit pas que tu as fait du poulet au curry avec du riz ?, -dis-je sur un ton qui semblait être du dégoût.-
-Tu n'aimes pas ça ?
-Et toi ?
-J'aime ça mais je voulais t'impressionner. Je suis un piètre cuisinier et je voulais faire un plat un peu élaboré.
-Tu es adorable ! C'est mon plat préféré !
-C'est vrai ?, -demanda t-il le sourire aux lèvres en sortant de la cuisine.-
-Malheureusement, oui.
-Pourquoi malheureusement ?
-Quand il y a ce plat à manger, je ne suis plus moi-même.

Je m'approchai de lui d'un pas assuré et avec une lueur d'envie dans les yeux. Il déglutit et je partis dans la cuisine sentir la bonne odeur et piquer un peu de nourriture.

***
-Je vais atteindre l'orgasme culinaire, si je continue, -dis-je après avoir fini mon assiette.-
-Ce ne sera pas ton dernier et je ne parle pas que cuisine.
-On s'avance un peu, Monsieur Brav. J'aimerais voir ça et conclure par moi-même.
-Ne t'inquiète pas, on conclura tous les deux.

On se mit à rire. Il devenait de moins en moins timide. Je ne voulais en aucun cas le changer mais j'avais plutôt l'impression qu'il se « libérait ».
-Je t'aime, lui dis-je. Je déposai un léger baiser sur ses lèvres.

Mon portable sonna, je vis le nom et décrochai :
-Allô, Choucroute ?

Les yeux de James s'écarquillèrent.
-Salut, ça te dit une virée shopping ?
-Aujourd'hui ?
-Oui ! Oh fait,  tu es rentrée avec un homme.
-Comment tu le sais ?
-Je disais ça pour plaisanter. Mais maintenant, je le sais !!!!
-Je me suis faites avoir ! Tu es vraiment chiante !
-Alors, déviergée ?
-Non mais ça va pas !
-Fais pas ta prude.
-Pff.. on se dit dans une heure devant les portes A ?
-Très bien. Fais un bisous langoureux à ton Apollon.
-A toute Rory !

Je raccrochai. Elle avait le don de m'exaspérer. C'était incroyable. Je me retournai vers James :
-Désolé c'était Rory, elle veut qu'on fasse une après-midi shopping.
-Tu me laisses tout seul ?
-Je voudrais bien te prendre mais tu sais bien que tu te ferais remarquer. Si tu veux ce soir on va à l'Oasis et je t'accorde toutes mes danses.
-Ça me va. Je vais te ramener chez toi.
-Je peux garder ton tee-shirt, j'ai la flemme de mettre ma robe ?
-Okay, mon ange.

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Note de l'auteur:
Je voulais publier avant mais je me suis pris deux fous-rires d'une heure ... --" ... Désolé ^^
J'espère que ce chapitre vous a plu.
Commentez, votez ^^
Merci beaucoup de faire vivre ma fiction !!! <3

Et si c'était lui ? (relation prof/élève)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant