Chapitre 20 : Propriété de la distributivité : La mise en évidence simple

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Kakashi : attend.

Naruto : est ce qu'il y a un problème ?

Il me regarde avec ses grands yeux bleus. Son regard est si perçant que je me sens captivé. Envahi par une pulsion incontrôlable, j'approche mon visage du sien et comme pour me libérer d'une envie que je refoulais depuis déjà un moment, je pose mes lèvres sur les siennes. Elles sont d'une infime douceur. Nous restons lèvres collées quelques secondes puis je me sépare de lui.

D'abord surpris, il m'adresse ensuite un sourire.

Naruto : une fois c'est une erreur, deux fois c'est un choix. Est-ce que vous allez encore dire que c'est une erreur ?

Kakashi : non, pas cette fois.

Je m'empare à nouveau de ses lèvres mais cette fois ci j'entrouvre légèrement les miennes et faufile ma langue dans sa bouche. Je ne sens aucune résistance de sa part, au contraire, lorsque ma langue touche la sienne, il l'entremêle et je peux sentir son corps frissonner de plaisir. Plus rien ne m'intéresse sauf ce baiser.

Nous échangeons un long baiser doux et tendre. Je commence à y mettre fin mais il m'attire en lui, refusant de me laisser arrêter. Notre baiser devient beaucoup plus fougueux et passionné tandis qu'une vague de chaleur se répand dans tout mon corps. À contre cœur, je me sépare de ses lèvres et je l'oblige à me regarder dans les yeux en levant sa tête.

Kakashi : je ne veux pas te forcer à faire quoi que ce soit dont tu n'aurais pas envie.

Je l'observe et attends de voir sa réaction mais il ne dit rien. Comme s'il me faisait languir et mettait ma patience à rude épreuve. Ce moment d'attente est une pure souffrance pour moi mais mon cœur se soulage quand il m'adresse un sourire.

Naruto : vous êtes vraiment très bavard ce soir, ne gâchez pas tout.

Je n'ai même pas le temps de réagir, qu'il m'embrasse aussitôt. Ayant perdu tout mon bon sens, je nous dirige vers la chambre avec mes lèvres toujours posées sur les siennes. Ses halètements, ses gémissements, tous les sons émanant de son corps m'excite encore plus. Tout comme moi, il en a envie. C'est la première fois que j'ai autant envie de quelqu'un.

Je ne sais par quel miracle, nous arrivons jusqu'au pied du lit. Il s'assied aussitôt dessus et malencontreusement nos lèvres finissent par se séparer. J'enlève mon sous pull et l'envoie voltiger derrière moi puis je pose un genou sur le lit. Nous sommes à présent tous deux l'un devant l'autre. Je soulève ma main et caresse délicatement sa joue puis approche son visage du mien pour goûter une fois de plus à ses lèvres. Ses mains se fondent sur mon torse, il joue avec mes tétons. Son geste m'envoie une sorte de courant électrique dans tout le corps. Avec une passion incroyable, je l'allonge doucement sur le dessus du lit pour mieux caresser de ma langue la ligne de son cou. Sa peau est chaude et son parfum m'ensorcelle. Je m'occupe de défaire son sweat puis le retire. Je lui enlève juste après son t-shirt. Son torse nu n'attend que je m'occupe de lui. J'enroule ma langue sur l'un de ses tétons, tendus par le désir. Je relève mon regard vers son visage pour observer sa réaction. Il se mord la lèvre comme pour s'empêcher de gémir, mais je vois parfaitement qu'il ne va pas tarder à prendre son pied. Mes doigts caressent son autre téton et le pince délicatement. Il n'en faut pas plus pour qu'il émet un mignon petit grognement appréciateur.

Mes doigts glissent jusqu'à son jeans que je déboutonne avec impatience puis lui retire. Je plonge ma main à l'intérieur de son boxer et au contact de ma peau sur son sexe, ses gémissements sont plus forts. Mon sexe palpite violemment face à sa réaction. Je sème de tendres baisers jusqu'à l'endroit de ma convoitise. Mes doigts ont déjà baissé son sous-vêtement à mi-jambe. Je souris contre sa peau quand je le sens le retirer avec empressement avec ses pieds.

Log xy = log x + log yOù les histoires vivent. Découvrez maintenant