Poupée Russe [Tome 1]

Chapitre 27

Les lèvres gonflées et les sens Enflammer, Mélissa observait Andreï disparaitre avec une jeune femme a la beauté délicate. Découvrant une jalousie violente en elle, écarquilla les yeux en secouant la tête complètement dérouté.

S’assayant en tailleur elle décida de continuer sa construction de château et y passa le reste de l’après midi, ce n’est que quand l'horloge sonna qu'elle vit qu’il ce faisait tard.

Ce soir là , Mélissa manga seule, c’est le cœur lourd qu’elle ne finissait son assiette et ce glissa sous l'eau chaude de la douche retrouvant ce blanc un peu rassurant. Laissant couler l’eau un moment espérant que l'homme apparaisse et ce glisse a ces côté elle du s'y résoudre et coupa l’eau une fois propre et sortit de la entourer seulement d'une serviette.

La laissant tomber sur le sol, Mélissa ce glissa sous les draps doux respirant l'odeur viril du sanguinaire criminel, se recroquevillant car priver de la chaleur de son corps le froid venait lui lécher la peau comme pour lui rappeler sa solitude en cet instant.

Elle avait espéré qu’il fut presser de la retrouver après ce baiser échanger avec elle mais du ce résoudre à penser qu’il devait être avec cette jeune femme au cheveux ensoleillé et à l’air apeurée.

Les larmes brouillant sa vue, elle se recroquevilla un peu plus, le cœur serrer sans vraiment savoir pourquoi cela la meurtrissait a ce point. Après tout elle n’était pas amoureuse de lui.

Quand elle ce réveilla le lendemain matin, toujours seule elle ce leva enfilant pour la première fois un pantalon, et un tee-shirt. Ceux-ci était blanc et rouge. Avant de ce diriger vers la salle a manger pour engloutir un petit déjeuner.

En arrivant elle vit la femme au cheveux ensoleillé et une autre avec les cheveux noir corbeau la fixant d'un air contrarié.
Ce fut celle au cheveux noir qui s’avança , bombant la poitrine l’air sur d'elle.

- Je suis navrée mais vous allez devoir partir.

- Q-quoi.. ?! S’étrangla t-elle.

- Le maître ne souhaite plus vous voir. Dit elle arrogante. Vous allez donc me suivre, je vais vous reconduire dehors.

- M- mais je ne connais pas l'endroit Dit elle appeurer.

- Ce n’est ni mon problème ni celui du maître Goliath. S’agaça la jeune femme.

- …d’accord souffla t-elle blesser.

Suivant la jeune femme avec la faim au ventre elle resta silencieuse. Celle-ci la ramena dehors après lui avoir donner un manteau chaud la laissant la dans la neige sans téléphone ni carte.

Complètement perdu et blesser, Mélissa tourna les talons et commença a avancer dans le vents glaciale.

Les larmes aux yeux elle affronta le froid, ne sachant pas combien de temps elle mit, elle finissa par atteindre une maison et demanda de l’aide a une charmante petite dame âgée qui accepta après avoir échangé en anglais.

Plusieurs heures s’écoulèrent avant qu'elle n'atteigne la ville. Plusieurs minutes de marche et elle finit par s'assoir sur un banc, complètement frigorifiée. Gelé, elle priait que la mort vienne l'emporter, après tout, la seule chose qui avait donner un tant soit peu de bonheur venait de la rejetée sans aucune raison apparente, la blessant au plus profond d’elle-même.

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