Poupée Russe [Tome 1]

Chapitre 22

Ouvrant les yeux, Mélissa du s'y reprendre a plusieurs reprises avant de comprendre ou elle ce trouvait ou du moins deviner un minimum. Autour d'elle ce dressait un décor assez dérangeant, ce n’était plus l'avion et elle ce détestait de s’être endormie la dedans car tout autour d'elle était a présent blanc.

Tout était blanc, des murs au plafond, du tapis au meuble, même le lit était entièrement blanc, rien n’était oublier. La seule chose qui n’était pas entièrement blanche était elle.
Revêtue d'une tenue rouge elle contrastait violemment avec le décor. Se levant lentement elle descendit du lit et sentit son sang ce glacer quand quelque chose de glacer effleura son pied.

Baissant les yeux elle vit une chaîne entouré sa cheville l’empêchant a priori de s’enfuir. Prise de panique elle commença a tirer violemment dessus de manière convulsive en lâchant des petits gémissements de terreur.

Elle ne sut trop bien combien de temps c’était écoulé car aucune fenêtre n’était apparente la rendant complètement dépendante de celui qui l'avait enchaîné.

Celui-ci fit son apparition quelque heures plus tard, de noir vêtu il était plus sombre que jamais. Quand il vit sa cheville blesser a cause de ses efforts pour s’enfuir son regard s'assombrit et il ce dirigea vers elle.

Essayant de reculer du mieux qu'elle put, Mélissa laissait ses larmes couler d'elles même. Andreï ne l’avait jamais sauver, il ce l'avait appropriée comme un vulgaire objet de convoitise.
L'attrapant par sa cheville libre il l'avait tirer vers lui d'un geste sec, pour saisir sa cheville libre , l'observant longtemps avant de sortir d’une de ses poches une clef et d’ouvrir sa chaîne, la libérant.

Sans parler il l’attrapa et la souleva sans difficulté. Tremblante Mélissa priait tout les dieux possible de la sauver de cet enfer, son nouvel enfer.
La posant sur le lit, Andreï ce redressa, et resta la planter face a elle silencieux avant qu’il ne saisisse son menton pour l'obliger à le regarder .

- Ne te fait plus de mal ainsi Mélissa. Je ne t’ai pas attacher pour te retrouver dans cet état.

- Pourquoi alors… Murmura t-elle.

- Pour te protéger Moya kukla, peu de personnes ne sont au courant de ta venue, et il est hors de question de te mettre en danger. Je n'avais pas l’intention de te faire peur sache le.

- Vous ne m'avez jamais sauver Dit elle les larmes aux yeux.

- Que dit tu ?

- Vous êtes aussi monstrueux que l’était mon père et mon fiancée.

- Oh Mélissa… Dit il d'un air amusé en caressant son visage doucement. Je n’ai jamais prétendu être le contraire… Je suis bien pire que ce as quoi tu as eu à faire.

Elle le regarda ce redresser quelque instants avant de commencer a retiré sa chemise noire tout en l'observant. Figer, Mélissa ce dit qu’elle allait ce faire violer et qu'elle ne pourrait jamais échapper à ça.

- Ne me regarde pas ainsi Moya kukla , je n’ai pas l'intention de te forcer. Cesse de t'imaginer les pires scénarios. Maintenant lève toi et suit moi.

Attrapant sa main, il la tira jusqu’à une salle de bain tout aussi blanche avant de continuer a ce dévêtir devant elle sans aucun scrupule. Une fois entièrement nu, il se tourna vers elle, ce qui la fit détourner le regard sur le mur.

Sentant les mains d’Andreï sur des épaules elle sentit celle-ci détacher les attaches de sa robe pourpre la faisant tomber sur le sol. A présent a demi nue devant l'homme, elle ce sentit plus que vulnérable et complètement terrorisé.

- On va juste prendre une douche, manger et en suite dormir ma douce. Rien d’inquiétant rassure toi dit il d'une voix douce.

Lui retirant la dernière barrières, elle ce retrouva complément nue devant lui. Ce faisant tirer vers la douche, elle ce retrouva rapidement trempée.
L'eau chaude sur son corps la détendant quelque peu.

- Tu es magnifique Mélissa. Jamais une femme n'avait été plus belle que tu l’es aujourd’hui. Murmura l’homme dans son dos entourant ses hanches de ses mains pour venir ce coller contre elle.

Commençant à respirer de manière éradique, Mélissa sentit la crise d’angoisse pointer le bout de son nez. C’était comme si cet homme brisait toutes les barrières qu’elle avait irriguée durant toute sa vie la rendant complètement vulnérable en sa présence.

- Tu as peur ? Demanda t-il d’une voix rauque.

- Non… je suis terrifier. Répondit elle honnêtement.

************************************

NOUVEAU POSTE
TOUT LES JOURS

************************************

Instagram : ___hope_winter___

N'hésitez pas à laisser un commentaire et a voté, ça aide et ça ❄️ motive ❄️
❄️♥️❄️