Chapitre 7

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Une semaine venait de passer depuis que ses parents l'avait « remis » dans le droit chemin, une semaine… dont trois jours ou elle avait démissionné, son petit ami lui avait demandé de lui donner toute l'argent qu’elle avait durement gagné et elle avait cédé, du moins une partie car elle avait cacher deux mille euros au cas où, dans une partie de la maison sans qu’il n’en connaisse l'existence.

Tout en priant qu’il ne la trouve jamais. Elle savait qu’il ne lui restait que peu de temps avant celui-ci ne la demande en mariage, demande qu'elle ne pouvait accepter car elle savait plus que tout que si elle faisait ça elle risquait de perdre tout ce qui lui restait du peu de liberté qui lui restait et au grand jamais elle ne pouvait accepter ça.

De plus ce regard de glace l’avait complètement chambouler au point e frissonner quand elle croisait un regard un peu trop bleu avant de sentir une déception la prendre au tripes quand elle voyait que ce n’était pas lui.

Qui était cet homme ? Mais surtout pourquoi il avait tuer tout ses gens ? Pourquoi avait il eu de la compassion pour elle ?

Cet homme, elle ne comprenait pas pourquoi il restait a ce point ancré dans son esprit ai point de rêver de lui la nuit, ce réveillant en sueur tremblante de la tête au pied, la gorge serrée.

Relevant les yeux de la table qu'elle fixait depuis une bonne heure Mélissa fut prise d’une envie de liberté pur et dure.

C’est alors qu’elle décida de pas réfléchir plus longtemps, prit ses clefs et son manteau ainsi que se gants, claquant la porte derrière elle avant de descendre d'un pas précipiter dehors, faisant face a une fine averse elle respira un grand coup.

Elle avait cinq heure devant elle, et elle n'avait pas envie de les passer a regarder la télé ou a fixer le vide, tout avait été fait, les tâches ménagères et même le repas de ce soir elle n'aurait qu’à tout réchauffer, ce qui lui offrait beaucoup de possibilités.
Sortant rapidement avec aucune idée de ce qu’elle voulait faire elle parcourue les rues sans bute, juste avec l'envie de sentir l’air frais sur son visage.

Une heure plus tard elle ce retrouvait dans une boîte de nuit avec des gens qui dansait dans tout les sens, la musique lui vrillant les tympans, faisant vibrer son corps tout entier. C’est le cœur battant qu'elle s'approcha du bar pour commander de la vodka pour les boires cul sec les un après les autres.

Son esprit n’était plus vraiment là, seule la musique qui parcourait son corps était un réconfort, sa vie pathétique était plus qu'un tourbillon parmi d'autres, tout ce qu’elle savait en cet instant c’était qu’elle était libre, le corps souple comme une panthère.

Une panthère qui était en réalité la proie de plusieurs autres hommes qui venait ce frotter a elle comme des chattes en chaleur lui donnant l'impression d'exister pour la première fois.

Elle croisa alors une fois de plus un regard un peu trop bleu et dans une confusion total de son cerveau commença une chasse sexuelle entre elle et le jeune homme. Pourtant la partie encore rationnelle lui disait d’arrêter, que c’était n’importe quoi, qu’elle valait mieux que le premier pauvre type venue mais c’était plus fort qu’elle. La femme emprisonner avait besoin de cette liberté en cet instant.

C’est pourquoi elle accepta les mains un peu trop moite sur son corps en sueur. La tête tournant elle acceptait les baisers mouiller dans son cou, gémissant sans grande conviction.

Était-ce l’alcool qui la faisant ressentir un mince plaisir ? Sûrement car quand le jeune homme la pénétra d’un coup de rein elle sentit qu’une vive brûlure écartelant ses chaires a vif. Non aucune excitation ne l'avait prise et cet homme qui la baisait en cet instant n’en avait rien a faire, lâchant des son rauque, gémissant son prénom.

Le dégoût d'elle-même était si fort qu’elle crue qu’elle ce mettrait a vomir mais rien. Elle encaissa jusqu’à qu'il jouisse en elle d'un râle.

Elle se laissa alors tomber le long du mur les larmes coulant sur son visage alors que l'homme se rhabillait la laissant la sur le sol en moquette d’une des salles VIP.

- Que tu es pathétique Mélissa ce murmura t’elle d'une voix briser.

Assise la dans un bar , aillant baiser avec un inconnu et sans protection, elle avait juste perdue la tête. Elle n’était rien, elle ne l'avait jamais été… jusqu’à qu'il l’a regarde avec ce regard… C’est ça pensa t-elle soudainement… Son regard remplis de compassion… personne ne l'avait regarder ainsi parce qu’elle n'avait jamais été personne pour les autres alors que face a cet homme elle avait été quelqu’un et ceux pour la première fois de sa vie…

Peu importe ce qu’il était et ce qu’il avait fait. Il l'avait regarder comme personne, la regardant comme une personne et non comme une chose, un objet que l’on pouvait utiliser a son bon vouloir.

Passant sa main droite sur ses joues pour faire disparaitre les larmes sur ses joues, elle remonta son pantalon gris et remis en place son tee-shirt blanc après avoir rattaché son soutien gorge.

C'est d'une main tremblante dans ses cheveux qu'elle les remis en place avant de quitter la boîte d'un pas rapide pour rentrer chez elle.

Quand elle rentra dans l'appartement, elle ce précipita vers la chambre qu’elle partageait avec Carlos et sortit une valise qu'elle commença a remplir de manière frénétique, jetant un regard a l'heure de son téléphone.
Plus qu'une trentaine de minutes avant qu’il ne termine son travail.

Fermant la valise elle enleva ses habits pour ce vêtir des siens qu’elle avait cacher pour pas qu’il ne les jette aussi et s'habilla d’une robe verte et d'un collant marron, passant un grand manteau noire sur ses épaules le laissant retomber contre ses mollets.

Tirant sa valise jusqu’à l’entrée elle ouvrit la porte puis courras jusqu’à sa cachette et récupérer les milles cinq cents dollars qui était dans l'enveloppe et sortit en jetant les clefs sur le sol, elle sortit alors précipitamment et ce dirigea vers l’escalier portant sa valise a bout de bras, s'arrêtant brutalement vers la porte quand elle entendit la voix de son petit ami en train de discuter avec une voisine et un voisin.


- Putain cassez vous grogna t-elle tout bas alors qu’il continuait à parler.

Ce ne fut que dix minutes plus tard qu’il entra dans l'ascenseur, lui permettant de sortir de sa cachette, passant devant ses voisins étonné.

Leurs faisant un sourire figer elle ce contenta de faire rouler sa valise pour sortir au plus vite de l'immeuble.
Ce dirigeant vers la grande rue, elle siffla un taxi qui s’arrêta et monta dedans ordonnant de démarrer quand elle vit Carlos sortir de l'immeuble en hurlant son prénom.
Mais c’était trop tard, elle avait décider d’être quelqu'un souria t-elle alors que son cœur pulsait dans sa poitrine.

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Je n'ai pas eu le temps de relire les faute au moment où je poste le chapitre, il sera normalement vérifié plus tard et quand ce sera le cas cette phrase disparaîtra 😉

Poupée Russe [Tome 1] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant