Poupée Russe [Tome 1]

Chapitre 6

Seul dans sa cellule Andreï observait les gardiens de prison qui lui jetait des regards effrayer ce qui l'amusait fortement.

Quand à son codétenus de cellules il savait que si il le regardait il trouverai un homme appuyer contre le mur en train de prier, il pouvait entendre ces prières silencieuses d’ici et sentait sa peur à plein nez, à la limite du dégoûtant.

Andreï n'avait qu'une hâte sortir en faisant un massacre, ça pulsait violemment dans ses veines accélérant son cœur dans sa poitrine, rien que d'imaginer ce qu’il avait fait la nuit précédente le rendait euphorique.

Un grondement sortit des profondeurs de sa poitrine et il entendit son voisin lâcher un glapissement de terreur lui faisant tourner la tête vers lui.

C’est en le regardant qu'il ce rendit compte qu’il avait faim alors il décida d’être «gentil » en cet instant car son ventre réclamait de la nourriture.

Se levant lentement et d’un air décontracté il s'approcha de l'homme qui au fur à mesure de son approche se collait au mur essayant de disparaitre dans celui-ci.

- Goliath Red, ravis de faire votre rencontre Dit il d'une voix chaleureuse.

Le jeune homme leva les yeux vers lui méfiant, et c’est d'une main tremblante qu’il s'empara de la sienne la serrant quelques secondes, avant de la lâcher pour se recroqueviller à nouveau contre le mur tout en soufflant d'une voix rêche.

- Calen McCall.

Andreï lui sourit gentillement.

- Et bien Caleb, sait tu quand est servi le repas ? Je meurt littéralement de faim !

- Je ne sais pas…

- Cesse de me regarder de la sorte petit, je ne te ferai rien, si tu veux je peu même te défendre. Tu m’a l’air frêle, tu n’as pas manger depuis un moment n’est-ce pas ? Demanda t-il en regardant le corps maigre de Caleb.

- Non… Ils... Ils m'en empêche Murmura celui-ci les larmes aux yeux.

Fronçant les sourcils, Andreï avait une idée du pourquoi il faisait endurée cela au garçon et bien-sûr les gardiens n'interviendrai Jamais puisque ils ne sont là que pour les empêcher de sortir non de mourir dedans. C’était d’un pathétisme incroyable.

Andreï était fou certes mais pas au point de faire mourir de faim un…

Enfaite si il l’était, il l'avait fait une fois mais n’en avait pas éprouver le moindre plaisir. À l’époque c’était sa première victime après son père donc il n'avait pas eu beaucoup d’expérience.

Fixant un instant le garçon, il lui sourit.

- Tu va pouvoir manger aujourd’hui Caleb McCall !

Une trentaine de minutes plus tard, les gardiens leurs avait ouvert la cellule et les avait fait sortir en direction de la salle commune, à son plus grand plaisir il avait été cinq pour lui et intérieurement Andreï savait qu’il aurait pu leurs ôté la vie avec une facilité déconcertante, à limite de l’ennui.

Entrant dans la salle commune il fit face à une foule de criminels tous plus pathétique les un que les autres.

- Caleb ? Appelait il son codétenus qui c’était déjà reculer contre un mur.