Chapitre 34

10.7K 505 51
                                    

Chargeant son revolver, Andreï le glissa dans son jean avant de remettre son tee-shirt en place de façon à le cacher, il avait dit a Kélio qu’il ne prendrai pas d’armes a la main pas qui n’en cacherai pas, de plus si une envie pressante de meurtre à l’encontre de Jonas ce faisait ressentir il saisira alors cette chance.

Sortant de sa voiture il descendit laissant le vent glacial s’engouffrer dans son long manteau sombre.

Laissant ses yeux glisser sur le paysage, Andreï vit un homme brun, le regard charbon avec a ses côtés un homme grassouillet qui transpirait a grosse goute.

S’avançant en premier vers les deux hommes, il comprit que Jonas était celui au regard sombre.

-Jonas Berg Dit celui-ci d’une voix calme.

-Où est elle ? Demanda-t-il impatient de la revoir.

L’homme détourna le regard vers le grassouillet.

-Elle se repose dans une des chambres d’amis, voulez vous boire quelques chose ? Demanda t-il.

-Montrer moi la chambre.

Ce Jonas cachait quelques chose, sinon pourquoi l’autre avait l’air terrifier ? Perplexe il suivit Jonas sans se soucier de Kélio a ses côtés. Silencieux il entra dans l’immense bâtiment , les mur étaient ornée de dragons plus magnifique les un que les autres.

-Voici la chambre dit Jonas après un long silence.

-Entrant dans celle-ci il croisa le regard de la douce Mélissa et se sentit ce détendre d’un coup.

-Laissez nous. Ordonna t-il.
Une fois seul, il observa la jeune femme se lever du lit avec un air méfiant avant de venir jusqu’à elle d’une démarche chaloupée. Une fois en face d’elle il observa chaque détails de son magnifique visage, un bleu ornait sa mâchoire du côté droit. Il ce promit alors de faire payer celui qui avait lever la main sur elle.

Levant la sienne, il vint caresser sa joue avant qu’elle ne le repousse violemment reculant et butant sur le lit par la même occasion.

-Qu’y a-t-il ? Demanda t-il perdu.

-Tu m’a jeter dehors comme une vulgaire poupée ! Dit elle les yeux embuée de larmes .

-Jamais je n’ai fait chose pareil Mélissa, c’est cette femme qui a voulu te le faire croire.

-Comment je peux en être sûr ? Demanda t-elle en larme.

Sentant que c’était la pression qui redescendait, Andreï décida de s’en emparé. D’un mouvement il se saisissa de sa mâchoire en faisant attention à sa blessure et captura ses lèvres d’un baiser qui ce voulait sauvage.

Dansant avec elle, il caressait sa langue de sa la sienne savourant son goût sucré et la douceur de ses lèvres rose. Attrapant sa nuque il se rapprocha d’elle jusqu’que leurs corps se touches de part en part puis libéra sa bouche de la sienne.

-Parce que tu es à moi moya kukla. Dit il d’une voix rauque par le désir qu’elle lui inspirait.

Silencieuse elle attapa son tee-shirt, avant de poser sa tête contre son torse et de fermer les yeux, a cette vision Andreï se sentit comme heureux et c’était une sensation inconnu pour lui.

-Va prendre une douche ma douce, je vais aller dire deux mots a Jonas et puis on rentrera à la maison compris ? Dit il en la détachant de lui après quelques minutes.

Il la vit alors hocher la tête et déposa un doux baiser avant de la laisser dans la chambre serein.

Une erreur qui lui fut en quelques sorte fatale car au moment où Mélissa laissait tomber ses derniers vêtements au sol pour pénétré la douche luxueuse elle entendit le bruit d’une porte se fermer à clef.

Tournant la tête en pensant que c’était Andreï qui était revenu elle se figea quand elle vit son violeur. Se précipitant elle couru jusqu’à la porte de la salle de bain pour tenté de la fermer, mais l’homme donna un coup tellement violent a celle-ci qu’elle lui frappa le front la faisant tomber sur le carlage avant.

-Enfin seuls ma petite salope. Jonas m’avait donner l’autorisation et il est hors de question que je ne te prenne pas ! Grogna t-il en la saisissant pas les cheveux.

-Lâchez moi ! Commença t-elle a crié.

-Ferme ta ‘tain de gueule de pute ! ( Il la souleva pour la balancer sur le lit avant de grimper sur elle alors qu’elle se débattait en hurlant. ) JE T’AI DIT DE LA FEMER ! Hurla t-il a son tour avant de la frapper jusqu’à qu’elle perde conscience.

Le reste fut un troue noir béant de douleur qui lui brûlait la chaire a vif.

************************************

DEUX NOUVEAU POSTE
TOUT LES
MERCREDIS ET DIMANCHES

************************************

Instagram : ___hope_winter___

N'hésitez pas à laisser un commentaire et a voté, ça aide et ça ❄️ motive ❄️
❄️♥️❄️

Poupée Russe [Tome 1] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant