Poupée Russe [Tome 1]

Chapitre 21

Entendant la jeune femme déglutir bruyamment a la fin de ses paroles, Andreï ne pu s’empêcher de glousser. Il est vrai que ce qu’il avait était réel mais la réaction de  la jeune femme était vraiment drôle pour lui.
Le vole dura une bonne partie de la journée et de la nuit, ce qui lui permit  de clôturer de nombreux dossiers ainsi que de comment a élaboré un plant vis-à-vis de la future évasion de Kélio. Le faire évadé était très simple, ce qui ne l’était en revanche c’est que personne n'apprenne que c’était grâce a lui ce qui compliquait vraisemblablement énormément la tâche qui lui avait été confiée.

Passant un main dans ses cheveux pour la cinquantième fois où moins, il releva les yeux et s’adoucit quand il vit Mélissa endormie, la bouche entre ouverte laissant apercevoir ses dents blanches et lisse… Andreï ce surpris alors a ce demander de que ça ferai que de sentir celle-ci sur sa peau la marquant. Il sentit alors le désir de ce sentir marquer par la jeune femme autant qu’il voulut la marquer. Cela le perturbant énormément, après tout il n'avait jamais ressenti le besoin ni le l'envie d'avoir des rapports avec les femmes. Il en avait eu bien-sûr, cinq au total mais cela s’arrêtait ainsi car le seul désir réellement encré en lui était l'envie de tuer qui coulait ainsi dans ses veines depuis ses quinze ans.
- Monsieur ? Chuchota un des hommes de bord.

- Hum ?

- Nous allons bientôt atterrir, voulez vous quelque chose en particulier ?

- Non c’est bon, tu peu disposer merci.

- Bien monsieur.

Restant silencieux, il continua alors a observer la jeune femme pendant un moment et ceux même quand l'avion fut poser ordonnant qu’une voiture viennent les chercher. Quand il fut prévenu il prit alors plaisir a prendre Mélissa dans ses bras. Celle-ci était si légère que c’était limite inquiétant, il l’obligerait a manger plus, elle devrai rattraper les kilos perdu voir en prendre plus.

Fermant les yeux en respirant l’odeur de pomme et de cannelle que la jeune femme dégageait il s'en imprégna longuement avant de rentrer dans la voiture disposer pour eux.
Resserrant sa prise sur le corps au courbes gracieuses, Andreï ce tourna vers son chauffeur en lui ordonnant de les conduire au domaine immédiatement.

Andreï savait qu'une fois la bas, la jeune femme ne pourrai plus du tout s'enfuir, quand il l'avait laisser quelques heures plus tôt dans l’hôtel, son garde lui avait informé qu'elle avait chercher une façon de sortir mais en vain car il avait eu choisit la chambre d'hôtel beaucoup trop haut pour sortir par les fenêtres, elle avait alors essayer de rouler le garde mais celui-ci avait compris que si il la perdait ce serai au prix de sa vie donc lui avait fait retourner dans la chambre.

Observant les cils ombragé sur ses joue délicate, il sentit son cœur s’accélérer dans sa poitrine en imaginant être arrivé trop tard la chercher. Il avait bien fait au final et a présent elle était la et a lui, pour rien au monde il la laisserai.

Il était peut-être temps de dire a la jeune femme ce qu’il attendait d'elle réellement mais même lui ne savait trop ce qu’il attendait.
Mordant sa lèvre jusqu’à sang, il sentit ce goût de fer envahir sa bouche alors que son regard était tourner vers Mélissa. Plus particulièrement ses douce lèvres pulpeuses dont la couleur était d'un rouge délicat, beaucoup plus proche du sang mais dont la douceur ne pouvait égalisé.

Ne pouvant plus ce retenir, Andreï ce pencha et effleura ces lèvres d'une douce caresse sans jamais vraiment les toucher.

Ce fut comme un coup du tonnerre en lui, comme si il venait à l'instant de recevoir une giclée d’adrénaline dans tout le corps, et ceux encore plus puissant que quand il torturait et tuait a main nues.

Retenant un grondement sourd, il déglutit difficilement tout en serrant les dents. Dieu comment allait il faire pour ne pas lui faire du mal, si un seul contact avec elle le rendait aussi fou que quand il devenait sanguinaire.

- Monsieur ? Nous somme arriver. Lui informa son chauffeur le coupant dans ses pensées qui prenait un tournant bien trop dangereux pour lui et pour elle.

- Bien, merci Franck, informer Rolz de mon arrivée au domaine, dite lui de le contacter vers vingt heure sans faute.

- A vos ordres monsieur.

- Que personne ne me dérange est-ce comprit ? Et que personne ne parle a Mélissa ou ne la regarde sous peine de mourir.

- Bien monsieur.

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