Poupée Russe [Tome 1]

Chapitre 11

Un sourire complètement fou apparues sur les  lèvres de Andreï alors qu’il observait le cerveau sortant de la cervelle du garde nommé Sacha. Il est vrai qu'au début il avait voulu lui briser la nuque mais quand il avait vue la terreur inscrit sur son visage, une envie particulière violente de voir son sang avait bouillie dans ses veines et malgré la demande de Damas qui était venu le chercher avec Igor, il avait commencer a lui fracasser la tête à l’aide de ses poings.

C’est comme emporter par une pure folie qu’il avait juste observer la cervelle explosée sous ses coups, en savourant le bruit du crâne ce briser ainsi que les hurle déchirant du gardiens sans défense. C’était une des trois victimes qui était passer sous ses points, il avait été plus gentil avec les autres car ils l’avaient plutôt bien traiter et avait agis avec méfiance. De l’intelligence avait il penser a ce moment là.

Il les avait assommer après leurs avoir briser deux trois os qui était réparable. Plusieurs mois sans marcher et sans pouvoir utiliser ses bras n’était pas chère payer pour avoir eu le poste de gardien vis-à-vis de lui.

Il ne pouvait pas dire de même du sort de ce pauvre petit Sacha. Un homme pathétique avec un visage trop banale , de plus ce fou avait osé parler a ses collègues de la belle jeune femme au yeux sombre, Mélissa… La douce jeune femme ne méritait pas que l’on parle d'elle comme d'une chose a foutre, il les avait tous puni comme il pensait devoir le faire.

Il n’en avait pas terminée bien-sûr car il avait bien l'intention de tuer d’autre personne mais en cet instant il devait reprendre un peu conscience il le savait car le bruit de la sonnerie d'urgence résonnait, et si ils le trouvait il devrait tous les massacré.
Cela ne l'aurai pas déranger mais Mélissa avait déjà assez peur de lui, et Kélio risquerait de lui passer un sacré savon.

Il avait hâte de voir Kélio, de lui proposer une petite sortit.
Suffit ! Il fallait qu’il reprenne un peu d'esprit avant que tout dérape.
Fixant quelque instants le visage a demi écrasé de Sacha, Andreï pris de grande respiration, savourant odeur du sang et de la mort. Son amie de toujours.

Souriant, il ce releva après avoir essuyer ses mains sur son pantalon orange, il devrait changer d'habit aussi pour revenir a son jean et sa chemise, il aimait être présentable. Son image d’homme implacable était une image qu’il affectionnait particulièrement.

C’est son père qui le lui avait d'ailleurs enseigner.

Se tournant vers Damas et Igor ainsi que les dix autres personnes de leurs équipes ils leurs fit un hochement de tête.

- Nous pouvons y aller, dit il d’une voix rauque par l'effort et l’adrénaline qui coulait dans ses veines.

- Tu va pas nous faire d’autre crise de démence ? Demanda Igor sur ses gardes en jetant un regard sur le corps du garde.
Andreï jeta un regard de nouveau vers sa victime.

- Je ne pense pas, sauf si un de vous a l'envie que j’en ai une ? Demanda t’il en gloussant.

- Ça va aller, Dit Damas avec un air entre la peur et la méfiance.
Andreï ne pu s'empêcher de rire pendant une bonne dizaine de minutes alors qu’ils empruntait les couloirs de la prison sans aucune difficulté.

- Comment a tu fait ? Demanda t’il une fois sa crise de rire terminer.

- J’ai fait diversion en faisant exploser un des murs de la prison côté est, tout les gardes on du être réquisitionné, sauf les tiens étant donner qui tu ai mais je doute qu’ils ce sont douter que c’est pour faire diversion, ils le verrons que quand ils auront récupérer leurs prisonnier. Et autant dire que le côté est il y en a pas mal. Lui expliqua Damas d'un air fière.


- Je comprends pourquoi Kélio t’aime bien finalement. Souria t-il en coin avant de le dépasser et avant que les hommes ne s’en rendent compte il brisa la nuque d'un garde qui passait par là.

Ses réflexes était excellent, il n'avait pas perdu la main en trois semaines mais il trouva qu’il allait pas assez vite. C’est sur cette réflexion qu’il continua son chemin alors que Damas et les autres fixaient le corps comme perturber.

Mais une seule chose retenait entièrement l'esprit de Andreï. La jeune femme au regard sombre.
Il voulait lui reparler, lui avouer que ses paroles était emplis d’un mensonge que lui-même avait inventé pour la faire fuir et qu’il avait espéré au plus profond de lui que cela soit le cas mais qu’à présent il ne le voulait plus.

Il avait honte de dire mais il voulait connaître la raison de sa tristesse, la jeune femme au jambes aussi gracile et blanche qu’un ange. Il aurait voulu être suffisamment raisonnable et avoir suffisamment de bonté en lui pour laisser tranquille cette jeune femme, mais c’était au dessus de ses forces.

Elle avait eu le courage de ce confronté à lui alors même qu’il avait massacré une cinquantaine d'hommes a main nues quelques jours avant.

Andreï sentit l'envie de caresser le visage de Mélissa pour effacer les larmes qu’il devinaient avoir été nombreuses à couler, c’était complètement fou, seul un taré pouvait vouloir un truc pareil.

Et il l’était.

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