Poupée Russe [Tome 1]

Chapitre 19

Assis dans sa voiture,  Andreï demanda à son chauffeur de s’arrêter pour l’entendre ici. Face a lui ce dressait la fameuse demeure du fameux Richard Kent, l'homme le plus pathétique qu’il n’ai jamais rencontrer, celui-ci était pire que son père et il fallait être fort pour l’être.

Marchant d’un pas calme, Andreï sentit les tremblements dans son corps commencer a ce faire sentir. Son sang commençant à pulser plus fortement dans ses veines.

Son torse tremblait, sa folie était en train de reprendre le dessus sur le peu de raison qu’il lui restait mais il devait ce contrôler, il devait passer une leçons à Richard Kent et non le tuer sinon kukla lui en voudra.

Elle était si belle quand elle souriait et c’était tout ce qu’il l’importait en cet instant.

Appuyant sur le bouton de l'immense portail, il entendit le bip résonner avant que la voix grave du géniteur résonne a son tour.

Il dit alors d'une voix froide après que Richard ai demander qui était la.

-          J’ai des informations sur Mélissa Kent.

Quelque seconde passèrent avant que le bruit du portail s'ouvrant résonne. Il entra alors dans la demeure et ce dirigea d'un pas rapide jusqu’à la maison et entra dans celle-ci dans difficulté subissant le regard noir de Maria Kent.

Faisant fit de celui-ci il la poussa violemment et continua jusqu’au salon puis ce planta devant Richard et Carlos qui dès qu’il le virent blêmir.

-          Tu es folle Maria !? S’écria le Mari d’un air étrangler.

-          Elle ne l’ai pas rassurer vous Richard ( Souria t-il en allant s'assoir sur le canapé. ) Pouvez vous m'apportez un verre d'alcool Maria ? Attention à ne pas faire n'importe quoi, cet endroit est entouré de mes hommes Mentit il en souriant a la femme.

-          Oui… Grinça t’elle des dents en disparaissant dans ce qu’il devinait être là cuisine.

Tournant son regard vers les deux hommes, Andreï sentit un rire frénétique sortit d’entre ses lèvres et il ne le retint pas, en savourant la pâleur des hommes.

-          Vous savez pourquoi je suis là n’est-ce pas ?

-          Qu'avez-vous fait de Mélissa ? Dit son père d'une voix qui ce voulait sûr.

-          Voyons Richard ce n’est pas comme ça que l’on parle a un homme qui peut vous massacré d’un clin d’œil. Souria t-il en saisissant le verre que Maria lui tendait. Merci Maria, vous êtes adorable, une vrai petite chienne.

La femme ce figea en le regardant le regard écarquiller puis ce tournant vers son mari l’air en colère.

-          Ça ne sert a rien Maria, votre mari ne vous défendra pas face a moi. Personne ne le ferai au risque de mourir.

-          Qui êtes vous bon sang ?! S’énerva t-elle.

-          Vous savez Carlos, si j’étais arriver et que j'avais vue Mélissa en bonne état et comme d'habitude c’est-à-dire triste je ne vous en aurai pas voulu plus que ça étant donner votre QI si peu développée… Mais ce que j’ai vue était vraiment inhumain et ce même pour moi.

-          De quoi il parle Richard ? Demanda Maria interloquée.

-          Votre mari et gendre ne vous on pas dit ? ( Il fut étonner, et compris que celle-ci était pas si mauvaise que ça) Carlos a enchaîné Mélissa et la laissait pratiquement mourir de faim ainsi que couvert de bleu et d'hématomes.

La mère écarquilla des yeux en ce tournant vers son mari, il vit alors le masque de cette mère qui ce devait être parfaite ce briser quelque peu et il comprit que c’était juste une femme stupide qui est tomber amoureuse d’un manipulateur toxique qui avait déteint sur elle. Elle était pathétique.

-          Vous êtes tous pathétique ici. Vous en particulier Maria. En tant que mère vous auriez du protéger votre fille et votre fils, vous êtes une mère des plus grotesque qu’il met été donner de rencontrer !

Il se leva alors en faisant craquer son cou et ses poignets.

-          Il est temps de subir les conséquences de vos actes.

Le premier coup raisonna dans la pièce alors que les hurlements de Maria raisonnait. Le corps de Carlos tombant lourdement sur le sol complément sonner alors qu’il saisissait le bras de Richard, le brisant d'un geste sec avant de ce tourner vers sa mère avec un sourire fou.

-   De la part de Mélissa. Dit il avec de lever son poing faisant attention à contrôler sa force, faisant exploser la pommette refaite de la femme.

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