Chapitre 8

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-"parce que ."
-"parce que quoi"j'hurle en arrêtant brusquement la voiture
-"parce que ma culotte est vivement trempée"crie t-elle en me faisant face
 
"Ma culotte est trempée" sont les seuls mots captés par mon esprit. Par simple reflexe mes yeux s'abaisse sur son jeans et je vois qu'elle tient ses cuisses fermement serrées. Et ses simples mots traversent mon corps et mon entrejambe devient subitement douloureux.

-"Tu viens de dire quoi" dis-je en oubliant le vouvoiement
-"tu as très bien entendu." dit elle en tournant sa tête vers la vitre

Depuis une semaine Je n'ai cessé de réfléchir à la saveur de ses lèvres douces et à son eau de Cologne. Et j'ai imaginé des choses pas très saines d'esprit. La masturbation a été une solution adéquate pendant cette semaine car toutes les autres filles n'ont pas pu me satisfaire. Cet envie que j'ai d'elle m'empêche de travailler librement. Au travail je ne pense qu'à être en elle et des érections que je croyais impossibles me tourmentent à présent. J'en ai assez de ses regards de loin, de son ton froid lorsqu'elle me sert au restaurant. J'aime plutôt la femme qui m'a embrassé.
Moi qui essaye de me calmer depuis son entrée dans la voiture car elle la remplit de son odeur. Ensuite maintenant elle m'annonce qu'elle est trempée. Comment vais-je faire maintenant pour résister?
Elle remarque enfin que je me suis arrêté devant chez elle.

-"Merci." puis elle saute du véhicule en courant jusqu'à chez elle

Je descends difficilement à mon tour à cause de mon érection naissant car je ne la laisserai aucune chance pour s'enfuir. Je cours et la rattrape devant chez elle. Je me tiens derrière elle et la domine de ma hauteur. Ses mains tremblent et elle ne peut ouvrir la porte.

-"Laisse moi t'aider Lyn" je murmure en appuyant mon érection entre ses magnifiques fesses.

Je m'abaisse et prends sa main et l'aide à entrer la clé dans la serrure

-"Tu vois Lyndia comme cette clé rentre dans cette serrure c'est ainsi que je veux m'enfoncer en toi."

J'appuie fortement mon érection entre ses fesses jusqu'à la faire trembler.

-"Arrête .. Christian." gémit-elle
-"T'es entrain de gémir mon nom dans la rue alors que c'était censé être ton lit."

Sa réspiration augmente et son sac tombe entre ses mains par terre. Je profite de ce temps pour la plaquer un peu plus sur la porte avec mon torse et me frotte entre ses fesses. Elle gémit doucement et ses deux mains se placent au dessus de sa tête. Mon érection augmente de volume entre ses fesses. À l'aide de mon pied droit, j'écarte un peu plus ses pieds et me trouve plus précisément entre ses deux fesses.

-"J'en meurs d'envie de te prendre là contre cette porte. Te baiser sauvagement pour te punir de vouloir me fuir instantanément."

Pour accompagner mes dires je fais de lents mouvements de va et vient entre ses fesses. Elle marmonne des choses incompréhensibles.

-"Chris....tian"
-"Oui poupée."dis je en continuant mes mouvements "tu veux toujours t'enfuir de moi"
-"Chris...tian."
-"Reponds moi Lyndia"
-"No..on.."
-"Tu sens comment tu me rends dur." dis je en lui donnant un coup de rein
-"o..oui."
-"Tes yeux sont d'un bleu si intense que j'adore me noyer dedans. Et j'aimerais ainsi me noyer en toi ."

Sa respiration s'accélère et pour couronner le tout, J'approche ma bouche de son oreille et lui chuchote d'une voix rauque:
-"Tu sais dans la voiture, tu as dit que t'étais vivement mouillée, j'aimerais vérifier."
-"Tu veux faire .. Oh putain" crie t-elle alors que ma main s'infiltre dans sa culotte qui est trempée. Mon érection redouble.
-"Tu es vachement mouillée Lyndia."

Elle n'arrive plus à parler. Ma main s'empare entièrement de son sexe qui n'est que rivière pour moi. Je le palpe pendant qu'elle essaie de contrôler les sons qui sortent de sa bouche.

-"Tu es si trempée Lyndia." je murmure  d'une voix tremblante

Ma main fait de lents mouvements sur son clitoris. J'élargis ses grandes lèvres pour tâter son trou.

-"Tu es mouillée pour qui Lyndia." repetai-je pendant que mes doigts caressent son point sensible
-"pour .. Toi.. Christ..ian.."elle halete "Christian."
-"Oui poupée"
-"Touche moi."
-"Mais je te touche ma belle."
-"Non..tu..me..tortures...la." gemit elle difficilement
-"Et tu veux que je te touche comment." declarai-je en parsemant son cou de baisers
-"je veux.."
-"Oui"
-"Que tes.....doigts soient... en moi."
-"et tu en veux combien."
-"Deux.."
-"et lesquels."
-"Peu..m'importe......Christian."

Comme ses desirs sont des ordres J'enfonce mon majeur et mon index en elle et à l'aide de mon pouce caresse son clitoris. Et j'intensifie mes va et vient au niveau de ses fesses et avec mon autre main libre tourne sa tête puis capture ses lèvres que j'ai tant rêvé pendant d'une semaine.



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