Chapitre 26

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Elle est peut être bien la toute première à qui je raconte mon passé. Et je ne le regrette pas. Je me sens vachement mieux de m'être confié à Lyndia. C'est bizarre de dire qu'enfant j'ai été eloigné de mes parents mais ça va maintenant je me sens mieux même si Parfois J'arrive à imaginer leur vie sans moi. Bref Je me suis ouvert à Lyndia dans le but de la motiver à me raconter la sienne même si pour l'instant elle ne le fera pas. Mais laissons le passé au passé, et revenons au présent avec la main de la jolie poupée sur ma bite soyeuse. Sa main caresse mon membre et mes yeux se ferment lentement. Ma queue grossit petit à petit dans sa paume. Ses lèvres se déposent dans mon cou. Ma bite est maintenant dure entre ses mains et je meurs d'envie de savoir si je vais avoir une pipe ou une masturbation.
À l'instant même où sa langue remonte sur toute ma longueur, j'ai su qu'elle allait me faire une pipe qui allait être dans l'histoire.
Sa langue tournoie autour de mon gland, sa main la caresse. C'est drôle de dire qu'avant elle pleurait pour mon enfance et que maintenant elle va me faire une pipe.

-"Lyndia."

Concentrée sur son travail, elle ne me répond pas. Lorsqu'elle l'enfonce entre ses lèvres le monde cesse de tourner autour de nous. Elle prend tout son temps pour me sucer.

-"Je t'en prie Lyn va plus vite."

Sans se faire prier, sa tête bouge plus rapidement sur ma queue, je me sens si bien ainsi. Des grognements de plaisir sortent de mes lévres. Ma main retient ses cheveux et l'oblige à aller de plus en plus vite.

-"Bordel Lyndia. Putain. Merde."

Je transpire de plus en plus Lorsqu'elle touche mes bourses. Je suis au paradis avec sa langue qui aspire mon gland. Doux Jesus c'est la meilleure pipe de toute ma vie. Je ressens que l'orgasme arrive alors j'enlève sa tête de ma tête. Relevant la tête elle suce son majeur et son index sous mes yeux.

-"Je veux jouir en toi."

Rapidement elle remonte sa robe et vient s'asseoir à califourchon sur moi. Sans plus attendre je capture ses lèvres. Elle répond avec voracité en ondulant sur mon penis dréssé. Je grogne dans sa bouche. Je peux sentir comment elle est mouillée car le liquide touche mon penis. Ma main touche son clitoris et j'ai droit à des gémissements de sa part. Ne pouvant plus me retenir je déchire sa culotte. Etonnée elle ne dit rien mais lorsqu'un doigt pénètre son antre trempée elle commence à gémir bruyamment.

-"Je veux te sentir."

Avec son aide, je m'enfonce petit à petit en elle. C'est une première qu'elle s'asseoit ainsi sur moi en érection. Elle prend son temps afin  de s'habituer avec toute ma longueur en elle. Et moi pendant de ce temps j'enlève la robe avec son soutien gorge. Mes mains massent ses seins parfaits. J'attrape un mammelon entre mes lèvres et titille l'autre entre mon pouce et mon index et c'est à ce moment précis qu'elle ondule. Nos cris se mélangent dans la voiture. Sa hanche danse sur mon sexe. Les cheveux jettés en arrière, elle retient mes deux mains sur ses seins.

-"Chris....tian.."

J'enlève mes mains de ses seins pour les placer sur sa hanche afin de l'aider dans ses mouvements. Ses mains se déposent sur mon siège. On bouge maintenant si fort que nos cris sont chargés de tremblements.

-"Bon sang."
-"Oh putain....Christian....."

Je me sens bien en la baisant ainsi. J'attrape sa tête et l'embrasse avec la même intensité que mes coups de reins.

-"J'adore tellement lorsque ta chatte enserre ma bite."

Elle ne fait que crier de plaisir. Toute bonne chose a une fin. Et je vois que son corps est secouée de spasmes violents. L'explosion gagne son être et sa tête tombe sur mon épaule. Un seul coup de rein et ma queue se gonfle en elle pour connaitre enfin le plaisir.
On reste ainsi sans bouger pendant deux bonnes minutes.

-"Je suis désolée pour ton enfance."
-"Tu n'y es pour rien du tout."
-"Si j'y suis pour quelque chose. Mes mots t'ont bléssé."
-"Mais tu viens de tout effacer avec ta pipe, je veux bien avoir une pipe ainsi tous les jours."
-"Éspèce de con."
-"Le con vient de te baiser sur la route dans sa voiture."

En mentionnant les mots route et voiture. Elle se lève rapidement sur moi pour enfiler sa robe. J'éclate de rire alors qu'elle me lance des regards noirs.

-"On vient de s'envoyer en l'air dans ta voiture et le pire sur une route. Et tu as déchiré ma culotte."
-"Je te signale que c'est toi qui m'as sauté dessus. Et puis je ne pouvais plus attendre que tu l'ecartes ou que tu l'enlèves."
-"Je voulais simplement t'aider à te sentir mieux."
-"Et tu y est arrivée. Je te remercie."

Elle me sourit. J'arrange mes vêtements puis on reprend la route.

-"Tu habites où."
-"Sur la route de stone canyon à bel air."
-"J'ai entendu dire que c'était un quartier des gens riches."
-"Malheureusemnt cela fait partie de mon présent. Je n'aurais même pas dû te dire où j'habitais."

Elle se tait et repose sa tête contre la vitre. Que suis je entrain de faire? Des questions sans réponses me trottent dans la tête. Mais j'essaie de rester indifférent face à la voix de ma conscience me disant de tout arrêter maintenant.

-"Christian pour répondre à ta question je ne sais pas ce qu'il y'a entre nous car je ne peux y mettre un nom là dessus. Je sais juste une chose c'est que tout roule entre nous et que nous baisons bien ensemble." me dit elle calmement

Je sens qu'il y'a un mais qui viendra tout de suite après.

-"Mais je sais aussi que peu importe ce qu'il se passe entre nous. Si l'un d'entre nous commence à avoir des sentiments pour l'autre faudra tout arrêter."
-"Que devrait-on arrêter."
-"Tout, c'est à dire la baise, de se parler, de se voir, de me ramener chez moi, de m'emmener chez toi, de se parler au téléphone."
-"Et pourquoi?"
-"Parce que je ne veux pas d'une relation normale."
-"En gros y'a autres choses. N'est ce pas?"
-"Oui et cela fait partie de mon passé."

D'accord je comprends maintenant que tout est en rapport avec son passé.

-"Christian, tu ressens quelque chose pour moi?"

Aucune idée. Voyant mon mutisme elle défait sa ceinture et s'apprête à descendre de la voiture.

-"Mais que fais tu?"
-"Si tu ne dis rien alors c'est oui et je me vois dans l'obligation de tout arrêter avant que cela n'aille plus loin." dit-elle bouleversée
-"T'es tarée ou quoi? Qui t'as dit que je ressentais des trucs pour toi?"
-"Excuse moi!"
-"Ça va. Reste calme, je ne ressens rien pour toi."

Ses yeux bleus sont en paix et j'attache encore sa ceinture. Puis redémarre. À vrai dire je suis confus. Je sais que si un beau jour il arrive que je ressens des trucs pour elle. Mieux vaut ne rien lui dire car sinon je risque de la perdre. Mais si on perd quelqu'un c'est que cette personne était à toi. Alors que pour Lyndia elle n'est même pas à moi. Je secoue ma tête pour enlever ses idées. Rien de cela n'arrivera parce que je ne ressentirai rien pour elle. Mais comment expliquer ma joie intense quand je la vois?
















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