Chapitre 27

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Nous sommes en face d'un palais. Waw la maison est grandiose. L'endroit est calme et serein. Aucun bruit ne plane au dessus de nos têtes. Sur les escaliers des fleurs l'ornent et en les montant à première vu on apercoit une immense piscine. On est au milieu de nul part. En plein forêt et j'adore L'endroit.

 En plein forêt et j'adore L'endroit

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-"C'est magnifique Christian."
-"Tu trouves."
-" Oui et je trouve aussi que tu es sur le point de me kidnapper dans cette maison au milieu de nulle part."
-"Oui et personne ne te trouvera ici."

Nos lèvres s'effleurent et il attrape ma main pour m'entrainer devant une grande porte en vitre. Je suis à peu près sûre qu'il a choisi cette maison parce qu'au fond il aime se sentir toujours seul. Il ouvre la porte et nous pénétrons directement dans une pièce que je suppose être un salon. L'endroit respire la joie de vivre, le calme, la sérénité. Il ne resemble vraiment pas à quelqu'un qui a souffert petit, il est si radieux, souriant. Mais derrière ce masque se cachait un petit garcon brisé. Et je m'en voudrais toujours d'avoir pu le juger. Il est comphrensif et la femme qu'il aura sera très chanceuse de l'avoir. Je cesse de divaguer et me concentre sur son salon. Il est simple mais radieux

-"Mets toi à l'aise je vais te chercher quelque chose à boire

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-"Mets toi à l'aise je vais te chercher quelque chose à boire."
-"Attends, cette maison t'appartient?"
-"Aucune idée."

Puis il s'en va en souriant. Éspèce de con. Il me mets dans le doute avec sa réponse. Je me surprends à aimer cette maison. C'est si paisible et si beau. Le tableau d'en face m'attire, je m'approche pour l'observer de près. Mes doigts le touche en même temps que le souffle qui s'abbat sur mon cou. Je ferme les yeux pour mieux apprecier ce moment.

-"Tiens c'est un whisky."
-"Merci."

Je me retourne pour mieux lui faire face. Un sourire éclaire son visage. Personne n'oserait imaginer que derrière ce visage parfait se cachait un enfant brisé par les mots de sa famille. J'aimerais tant savoir s'il a des sequelles de son enfance. Je ne veux même pas imaginer son visage déformé par la tristesse à 7 ans. Moi je l'ai jugé en ne sachant rien sur sa vie. Peut-être qu'il a besoin d'amour, une femme dans sa vie. Mais moi je ne peux rien lui donner seulement du sexe. Et je m'en veux pour cela

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