Chapitre 11: Fraternité caché

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Le lendemain :

Pdv Armin:

Il est 6h40, la pluie continue à tomber, T/P était endormi dans mes bras, elle était belle, elle était un ange. Je pris un instant pour l'observer, lorsqu'elle se repose elle est tellement adorable, ma Belle au bois dormant.
Elle commence petit à petit à se réveiller, au chaud dans mes bras et dans le lit.

T/p: Bonjour Armin, bien dormi. Me dit-elle à moitié éveillé

Armin: Bonjour T/p, j'ai bien dormi cette nuit. Tu n'as pas faim ?

T/p: Un peu

Armin: je vais aller préparer le petit-déjeuner.

Je descends vers la cuisine pour préparer le petit-déjeuner, elle elle s'habille. Je prépare des pancakes avec du sirop d'érable, et du café au lait. Elle descendit sans que je m'en
aperçois.

T/p: Hmm sa sent bon !!

Armin: Merci.

Je mangeais avec elle, on discutaient de tout et de rien. Finalement la pluie s'arrêta, elle prit sa veste et elle allait rentrer chez elle. Je me sentais attristé, je voulais qu'on passe un peu plus de temps elle et moi. Je l'accompagne vers le seuil de la porte.

T/p: Merci pour tout ce que tu as fait hier et aujourd'hui, tu es une personne vraiment adorable.

Puis elle m'embrassa sur la joue. Je me mettais à rougir de plus en plus fort.

Armin: Ne t'inquiète pas TP, ce n'est rien, reviens quand tu veux tu es chez toi ici. Elle me fait signe de la main puis elle s'en alla.

Quelques minutes plus tard:

Pdv de T/p:
Je me mettais en direction de chez moi, je décidé d'emprunter un raccourci, qui se situe à 6 ou 7 minutes d'ici à pied. Je me mettais en route vers mon raccourci, jusqu'à ce qu'une voix pesante m'interrompu dans la petite ruelle.

... : Ça fait longtemps que je ne t'ai pas vu toi.

Je me retourna et je vis que c'était Cécile.

T/p: qu'est-ce que tu me veux encore?

Cécile : alors c'est comme ça qu'on parle à une ancienne amie, j'ai l'impression que tu ne te souviens toujours pas de moi.

T/p: tu peux arrêter, t'es la meuf qui m'a jeté de l'eau c'est sa.

Cécile : Je te parle de bien avant, mais tu es trop bête pour t'en souvenir, alors comme ça madame s'enfuit de notre ancien collège pour vivre dans un lycée d'exception. Tu n'as pas ta place dans ce lycée, tes anciens amis te manque n'est-ce pas ? Je me suis renseignée sur ton ancien collège, les élèves étaient amical là bas? Tant d'humiliations, d'insultes, et de souffrance que tu aies pu endurer !

Elle continuer à me regarder, à me fixer.

Cécile : Et en plus de tout ça, j'ai fait quelques petites recherches sur la famille T/n. Un vrai salaud ton père, une vraie garce ta mère, on fait un enfant sur le coup. J'ai toujours dit qu'on ne fait pas de gosses quand on sait pas les éduquer. Ta mère elle t'a eu, ton père s'est barré. Tu n'est que le fruit d'un hasard, d'une erreur, une exception , tu ne devais jamais naître dans ce monde, preuve que tu n'es qu'une erreur, une futile faute de l'univers. Tu n'as pas ta place ici dans ce monde.

T/p: tu sais traite moi de tous les noms, de toutes les insultes, ça n'a pas d'importance je ne t'écouterait pas, et je m'en fiche de se que tu me racontes, maintenant j'ai des amis si tu veux savoir, alors soit tu vas la fermer, ou soit je vais te la faire fermé tu comprends. Et puis de toute manière je réponds pas à de la merde.

Cécile me regarda encore une fois un bon moment , elle se retourna et s'en alla. Je me demande ce qu'elle me cherche ? Cette peste.

Pdv de Cécile :
Je t'assure qu'elle va me le payer, si vraiment elle croit que j'ai pas oublié ce qu'elle m'a fait. Cette peste, je vais l'étrangler, je vais littéralement la détruire , personne ne se souviendra d'elle. Je reçois un message sur mon téléphone.

Rei: GROUILLE TOI !!!

Qu'est-ce qu'il me veut encore cet enfoiré. Je trouve sa voiture stationnée au coin de la rue, je m' y dirige. Je rentre dans la voiture.

Rei: on avait dit 10h35 il est 10h37, tu vas m'expliquer en cinq minutes ce que tu as fait.

Cécile : tu t'es pris pour qui maintenant, allez ramène-moi à la maison.

Rei: je me suis pris pour qui ? tout ça c'est ta faute, c'est la tienne, si on est dans cette situation. Je voulais jamais déménagé, je voulais jamais partir d'où on été. Mademoiselle se plaignait de l'endroit où on vivait, et papa lui, il cède à tes caprices.

Cécile : de un tu n'es pas mon frère, et de deux tu ne seras jamais de ma famille, si maman a décidé de se remarier avec ton père c'est son problème, pas le mien, ton père il bon qu'à me payé ce que je veux.

Rei: tu n'es qu'une sale petite... tu m'as toujours pas expliqué ce que tu as fait et tu as maintenant moins de 5 minutes pour me le dire.

Cécile : je suis parti régler compte à une ancienne amie, à une fille qui m'a fait quitter le collège, qui m'a comment dire humilier une fois.

Rei: et ben franchement elle a bien fait, je ne te croit sûrement pas.

Cécile : j'aimerais bien te dire fermer ta gueule et d'aller te faire voir, mais bon cette petite peste de T/p...

Rei: De qui ?

Cécile : T/p T/n, une vrai petite peste, je suis allé règlé son problème, je l'exterminerai jusq....

Rei: TA GUEULE !!!

Cécile : Qu'est ce que t'a enco...

Rei: J'AI DIT DE FERMER TA GUEULE !!! Il prit Cécile par le col de la chemise.

Rei: NE T'AVISE PAS DE LA TOUCHER, DE LUI PARLER, NI MÊME DE LUI FAIRe QUOIQUE SE SOIT, C'EST BIEN CLAIR !!!

Rei démarra et se calma en même temps. Après 5 minutes Cécile entama la discussion.

Cécile : j'ai l'impression qu'elle te plaît pas mal cette fille.

Rei: écoute il y a un mec dans ma classe qui n'arrête pas de lui tourner autour, et j'ai l'impression que même elle, elle l'apprécie un peu. Je veux les tenir éloignés c'est tout ce que je veux.

Cécile : c'est bon à savoir ça, j'ai un marché à te proposer, rien ne me satisfait que de la voir souffrir, pleurer.

Rei: T'ES MALAD....

Cécile : Laisse-moi finir, autant elle aura quelqu'un pour la réconforter, si tu vois ce que je veux dire.

Rei: Je vois où tu veux en venir. Et pour une fois ce que tu dis m'a l'air intéressant.

À suivre...

𝘼𝙍𝙈𝙄𝙉- 𝙄 𝙬𝙞𝙡𝙡 𝙡𝙤𝙫𝙚 𝙮𝙤𝙪 𝙛𝙤𝙧𝙚𝙫𝙚𝙧Où les histoires vivent. Découvrez maintenant