Chapitre 16: Chantage

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Une semaine est passée, après la longue discussion entre Rei et son Père. Rei réfléchissait à la proposition de son père dans sa chambre. Soudain, Cécile débarqua.

Cécile: Tu penses à quoi idiot ? elle plaqua son bras contre la porte.

Rei: Commence pas à m'embêter. Il est ou papa ?

Cécile: Il est dans son bureau. Pourquoi tu veux le voir ?

Rei: C'est pas tes affaires.

Rei sortit de sa chambre, et traversa les longs couloirs de sa demeure, jusqu'à arriver au bureau de son père. Il se plaça devant la porte, prit une profonde inspiration,  et toqua à la porte. 

Raphael: Entrez !

Raphaël était à son bureau, il prenait un stylo et signer quelques papiers d'un air sérieux et concentré.

Rei: Salut papa.

Raphael: Bonjour Rei, comment va tu mon grand ? Tu a surement dû réfléchir à la proposition que je t'ai faite.

Pendant environ quelques secondes un silence s'installa dans le bureau, Raphaël ôta les lunettes qu'il portait sur son nez et les déposa sur la table, il n'y ses mains croisées, et observa Rei d'un regard vif.

Rei: J'accepte . Dit-il d'un ton sec.

Raphaël : Je suis fier de toi mon grand ! Tu as pu faire une grande décision.

Rei: Mais à vrai dire tu ne m'a pas laissée le choix, j'ai longuement réfléchis, et je me dois de faire a pour l'honneur de notre famille, et de toute manière Cécile a raison, elle me plait beaucoup. Un garçon lui tourne autour et je veux littéralement l'exterminé, je la veux rien que pour moi.

Raphael: D'une pierre de coup fiston. Je crois que tu viens d'intégrer la logique de la famille Miller.

Rei: Merci Papa.

Raphaël se leva de son bureau.

Raphael: J'organiserai une petite réception pour annoncer tes fiançailles ,j'inviterai tes camarades de classe ainsi que leur parents, je les connais tous très bien, ils sont pour moi des anciennes amitiés et connaissances intimes. 

Raphaël tourna le dos à son fils pour se diriger devant la fenêtre qui donnait accès à l'immense jardin.

Raphael: Je mettrai monsieur Arlert en premier sur la liste d'invités. Dit il d'un ton ironique

Rei comprit que son père comprenait la situation, il éprouva ainsi un sentiment de satisfaction intérieur profond.

Rei: Avec plaisir papa !

Il sortit du bureau de son père le sourire aux lèvres,  avec une démarche assurée , les poings fermés. Il comprit ainsi qu'il a réussi son coup.

Le lendemain: 

Pdv de T/p: 

Aujourd'hui je retourne en cours après se qu'il c'est passée, j'ai peur du regard des gens, comment il me verront, qu'est ce qu'il diront de moi ? 

Je fais ma routine quotidienne, je descends prendre mon petit déjeuner, maman m'a fait des gaufres.

N/m: Bonjour ma belle, ne t'inquiètes pas aujourd'hui tout se passera à merveille. 

Puis elle t'embrassa sur le front.

T/p: Merci maman, sa me réconforte beaucoup.

Je finis mon petit déjeuner, je me brosse les dents et je vais en direction du lycée.

Après dix minutes de marche j'arrive enfin tout mes amis m'attendent.

Sasha et Connie: T/P !!!!!

Mikasa: T/P !!! Tout va bien ? je suis heureuse de te voir.

T/p: Merci tout le monde , vous m'avez terriblement manqué.

Tu regarda Armin , qui s'approcha vers toi et te fit un gros câlin.

Armin: Heureux de savoir que tu te sentes mieux.

Vous vous dirigez tous vers votre classe. Tu t'es installé à ta place habituelle, et REI entra à son tour. Il te regarda, et tu lui souris.

T/p: Bonjour Rei

Rei: Bonjour T/p! Comment vas-tu aujourd'hui ?

T/p: Je vais mieux, merci.

Eren: Eh Rei, j'voulais te remercier pour l'invitation.

Connie: Oui moi aussi, bon j'ai jamais assisté à ce genre de réception, mais merci.

T/p: Je peux savoir de quoi vous parlez ?

Rei: mon paternel organise une réception, et du coup les parents de toute la classe est invité, par conséquent eux aussi.

Pdv d'Armin:
Qu'est-ce que je meurs de lui dire que qu'elle est en train de parler avec son agresseur, mais c'est pour toi que je le fais T/p, c'est pour qu'il ne te fasse pas encore plus de mal.

Rei: d'ailleurs toi aussi, tu es invité Armin. Me dit-il le sourire aux lèvres.

Armin: Merci c'est très gentil Rei.

Rei: Toi aussi tu en auras une T/P ne t'inquiète pas vu que nos parents de connaissent.

T/p: Merci beaucoup Rei.

Rei: Mais De rien.


(Je vais vous raconter ce qui s'est passé lorsque TP a quitté la maison.)

Lorsque T/P parti en direction du lycée, N/m se préparer comme à son habitude pour aller au travail, mais jamais elle ne se douterait que son poste arriverait chez elle. Elle était en train de boutonner le col de sa chemise, lorsque quelqu'un sonna à la porte. Madame T/n alla ouvrir et vit Raphaël.

N/m: Monsieur Miller quel plaisir de vous revoir.

Raphaël : N/m il faut qu'on parle tous les deux en privé, il s'agit de ta fille.

N/m: Qu'y a t'il ? A t-elle fait quelque chose de mal.

Raphaël : Elle n'a rien fait, mais je ne vais pas y aller par quatre chemins. Il la regarda attentivement

 Je veux qu'elle épouse mon fils.

Madame T/n était désemparé à l'écoute de ses mots qui sortir de la bouche de son patron.

N/m: EUHH... NON !!! ELLE EST BEAUCOUP TROP JEUNE !!!!

Raphaël : Tu n'as techniquement pas le choix, rappelle-toi que je tiens ton poste entre mes mains.

N/m: Qu'est-ce qui te prends,  en est pourtant  amis, tu sais que je peux déposer plainte pour ça.

Raphaël : Tu sais quoi un mot à la police, et  toute ta vie est foutue, l'avenir de ta fille, ton avenir, ton foyer. Je te ferai déshonorer.

N/m fendit en larmes à l'écoute de ses mots.

Raphaël : Écoute, elle héritera une partie de la fortune des Miller. J'organise samedi soir une réception, on annoncera les fiançailles de ta fille de mon fils. Et puis de toute manière tu n'as plus le choix. C'est ta fille ou son avenir et le tiens est compromis.

Raphaël sorti de la maison, N/m était par terre toujours en pleurs et en larmes à l'écoute de ses mots, elle n'avait plus le choix, le seul moyen était de donner sa fille pour sauver son avenir et le sien.

À suivre ...

𝘼𝙍𝙈𝙄𝙉- 𝙄 𝙬𝙞𝙡𝙡 𝙡𝙤𝙫𝙚 𝙮𝙤𝙪 𝙛𝙤𝙧𝙚𝙫𝙚𝙧Où les histoires vivent. Découvrez maintenant