Chapitre 6: STEPHEN

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Hello !! Comment allez vous ?

** en média > Mateo **
Je pense que le nom du chapitre veut tout dire !

Point de vue de Stéphen ! Grrr !

Bonne lecture mes bibou ❤️

—————

Une idiote, c'est tout ce qu'elle est.

Heureusement que je n'ai pas tué l'autre imbecile devant elle, si elle réagit comme ça qu'à cause du sang...

- tu penses vraiment que c'est le moment de me gronder ? Tout ça c'est de ta faute ! 

Quelle blague !

Je sors mon paquet de clope et en allume une sous son regard attentif.

Je recrache la fumer vers le ciel, je ne veux pas l'étouffer même si l'idée de la voir ainsi me plait bien.

- sale con ! Souffle t'elle exaspérée

Je la prend par le cou et la colle contre le mur, je m'approche de son oreille et y murmure.

- Je t'interdis de mal me parler. La prochaine fois je veillerais à te laisser lécher le sol, te débrouiller seule et peut être que tu éviteras un jour de te faire baiser a cause de ta maladresse.

Ses yeux commence a perlé, je vois bien qu'elle essaye tant bien que mal de ne pas pleurer devant moi.

Elle ne pleure pas parce qu'elle a peur, j'ai fait pleurer assez de personne pour le savoir. Elle pleure parce que toute la tension redescend.

- Tu devrais t'en aller, Lyra à besoin de repos. 

Je me tourne vers cette voix qui nous interrompt encore une fois, Mateo.

Je lui lance un regard noir puis m'éloigne de Lyra en lui lançant un sourire.

Elle me pousse et se dirige vers le studio en poussant légèrement sur son passage Mateo.

Je fais de même, je me dirige vers la sortie en poussant bien fort ce petit con.

- Je rembourserai les dégâts. Dis-je toujours dos à lui en arrivant au pas de la porte
- Non merci. Je ne veux rien de toi.

Je sourie puis m'en vais, son caractère est toujours le même.

**

J'ouvre la porte de chez moi quand...

- Stephen ? Où étais tu ?
- Pourquoi tu ne dors pas ?
- Comment dormir quand mon fils ne rentre pas de la nuit ainsi ?
- Ton fils est habitué. Tu devrais t'y habituer aussi Clarissa.
- Quand arrêteras tu de m'appeler comme cela ?
- Je ne souhaite pas me disputer avec toi à cette heure ci, je vais dormir.

Je la laisse la, assise en tailleur sur un fauteuil qu'elle a du déplacer pour le placer face à la porte d'entrée.

Je monte les marche et me demande pourquoi je suis venu passer quelques jours ici.

« Pour mon père » dit ma conscience.

Je passe près de sa porte et l'entre ouvre, il est là, allongé sur son lit, profondément endormi.

Je souffle discrètement puis me dirige vers ma chambre.

- Mon amour...
- Tu peux t'en aller.
- Qu... Stephen je...
- Tout de suite.

Le ton froid que j'emploie avec elle lui fait tellement peur qu'elle s'exécute sans plus tarder, vu l'heure, je pense qu'elle va retrouver ma mère en bas et qu'elles vont papoter ensemble jusqu'au réveil de mon père.

POSSESSIVOOù les histoires vivent. Découvrez maintenant