Chapitre 22: une retrouvaille bouleversante

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Pdv Gaëtane.

Après 1 semaine de convalescence et de surveillance, j'ai eu tout mon temps d'apprendre ce qu'il faut pour pouvoir accompagner ma future femme dans ses fonctions. J'ai encore beaucoup de choses à apprendre mais le principal y est. Aujourd'hui est le jour de sortie, je vais enfin pouvoir reprendre une vie normale au palais. Le roi m'accueillait d'une gratitude ainsi que la reine, c'est ainsi que je fus invitée à le rejoindre dans son bureau dès que possible. Ce que je fis une fois mes affaires rapportées dans mes appartements.

Toc toc toc

- Entre, me dit une voix derrière la porte, celle de mon beau père.

- Vous m'aviez demandé monsieur ?

- Tout d'abord étant donné que tu vas épouser ma fille, appelle moi Henri, ensuite laissons tomber le vouvoiement.

- Entendu. Je t'écoute dans ce cas, que se passe-t-il ?

- Voilà, je me vois obligé de te congédier de ta travail ... à vie.

- Comment ?

- Soyons logique, tu vas épouser la future reine, il est normal que tu aies toi aussi un titre. Et après maintes réflexions, nous avons décidés Clarisse et moi de t'accorder le titre de duchesse.

- Cela dépasse tout ce que j'ai pu imaginer. Je vous remercie tous les deux de votre confiance à mon égard. Tout en m'inclinant devant lui.

- Et bien ceci étant dit, j'apprécie ton dévouement. Je ne te retiens pas plus, il te faut encore beaucoup de rep...

Il eut peine à finir sa phrase qu'on frappa à la porte. C'était le coursier royal.

- Madame Gaëtane, une lettre pour vous.

- Une lettre ? de qui ? je n'ai plus de famille, je les ai tous perdus.

- Je ne fais que mon travail, bonne journée.

Je pris la lettre interrogée, salua Henri et repris le chemin jusqu'à mes appartements et y retrouver Amélia.

Je regardais tout de même par curiosité le nom et l'adresse du destinataire. Un flash m'électrisa de tout mon corps. Non cela n'est pas possible, pensais-je. Il y était marqué : Marine.

J'ouvris l'enveloppe, m'asseyais sur le lit pour lire les quelques lignes marquées dessus disant :

« Je n'aurais jamais dû te laisser dans l'ignorance et t'éviter, éviter ton amour que tu me portais. Après l'annonce de ton accident, j'ai tous de suite entrepris de t'écrire cette lettre et prendre la route. À très vite poulette. »

- Hoooooo nonnn, chuchotais-je.

- Quoi ho non ? m'interrogea Amélia les bras croisés.

- Comment t'expliquer le contenu de cette lettre, sans que tu t'énerves.

- Dis tout simplement !

- Bon bah avant de te retrouver, j'étais souvent sur les réseaux sociaux etc comme tout jeunes font actuellement.

- Oui et ?

- J'y ai rencontrer Marine, le courant est tout de suite passé, même je dirais plutôt qu'un lien très fort s'est tissé.

- Attend, wow, tu es en train de me dire que tu es tombée amoureuse de quelqu'un que tu n'as jamais vu, rencontrer, senti ?

- Naïvement oui, car du jour au lendemain plus de nouvelles, j'en ai déduit que tout ce que je ressentais n'étais qu'éphémère et à sens unique.

- D'accord et quel est le rapport avec cette lettre.

- C'est une lettre de marine, qui m'informe de ses regrets et qui désire me voir.

- Eh bien, refuses !

- Elle est déjà en route, laisse-lui au moins une chance de s'expliquer non ? comme tout souverain, tu es censé écouter tes compatriotes.

- Oui, mais à la différence j'écoutes ceux qui ont un réel besoin, et non un fantôme du passé !

- Laisse moi je vais me reposer, et je n'ai nullement l'envie de me disputer !!

- Non mais comprends moi, merde.

- Langage princesse ! dis-je froidement.

- Si c'est comme cela, faudra que tu fasses un choix si tes sentiments pour miss virtuel refont surface.

Elle sorti de la chambre en claquant la porte, moi toujours bouleversée de cette nouvelle, je m'endormis contrariée. 



une idée farfelue m'est venue cette nuit, c'est ainsi que je publies un nouveau chapitre et peut être encore un autre suivra celui-ci. je vous souhaite une très bonne lecture et reste ouverte à tous commentaire afin de faire évoluer l'histoire. encore merci :)

Royalement impossibleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant