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Le repas vient de ce terminer, tandis que tous le monde partaient dormir, Armin et moi sommes restés assis à notre table à contre cœur.

Sur nos visages on pourrait lire la haine et la colère .

Nous étions dépités .

Une fois le self totalement vide je commença à me lever en direction de ce fameux placard ou ce trouvais les balaies ainsi que les chiffons de sol et les plumeaux.

Dans le désespoir le plus total je me munie d'un plumeau et commença à le passer au dessus des meubles.

Armin lui avait pris un balaie.

Le silence règne , l'atmosphère est très pesante.

Non seulement je me retrouve a faire le ménage mais en plus il n'y a aucunes ambiance.

Quel échec ...

Moi: Tu sais Armin je-

Je n'eus à peine le temps de finir ma phrase que mon pied glissa de la chaise où je me tenais debout et je commença à chuter.

Prise par la peur je ferma les yeux en attendant de percuter le sol en dalle .

En une fraction de seconde je sentis mon corp ce fracasser lâchement contre le sol.

Quelle douleur atroce.

J'ai mal , tres mal.

Mon corp tout entier me fait ressentir d'intenses douleurs sauf ma tete.

Pourquoi n'ai-je pas mal à la tete ?

J'ouvrit doucement les yeux

Je suis entrain de pleuré , je n'avais meme pas remarquer .

Je leva les yeux et aperçu Armin juste au dessus de moi.

Il est entrain de tenir ma tête

C'est grâce à cela si je n'ai pas mal , elle n'a pas percuter le sol car Armin a eu le temps d'empêcher cela.

Armin: (t/p) ça va ?!

Moi: A-Armin j'ai-j'ai mal

C'est horrible pourquoi ai-je aussi mal ?

Pourquoi je n'arrive pas à stopper mes pleurs ?

Armin: Respire un bon coup ça va aller tu es juste tombée rien de grave.

Soudain je sentie mes paupières devenir lourdes, très lourdes au point où il m'était impossible de garder les yeux ouverts.

J'ai mal.

J'ouvris doucement les yeux et me rendis vite compte que je n'étais plus au réfectoire mais je n'étais pas à l'infirmerie non plus.

Moi: Où suis-je ?

Armin: (t/p) tu es réveillée ! Tu va bien ? Comment tu te sens , tu as toujours mal ?

Moi: Armin où somme nous ?

Armin: Dans ma chambre

Attend quoi ?
Il n'est pas sérieux ?
Je tourna la tête et me rendis compte que je me trouvais effectivement dans sa chambre , j'étais même SUR son lit !

Moi: Armin quesque je fait ici !

Armin: Tu ne te sentais pas bien donc je t'ai emmener ici.

Moi: Et donc tu t'es dit que tu allais m'emmener ici ? S'il y a une infirmerie ce n'est pas pour rien ! Sale pervers je suis sûr que t'a profité de mon sommeil hein ?!

Armin: Q-quoi mais absolument pas !

Moi: Regarde toi tu es tout rouge ! Tu me dégoûte Armin. Tu n'es qu'un pervers ! Tu profite que je sois tombé pour faire ton prince charmant et me kidnapper dans ta chambre pour fair je ne sais quelles horreurs ! Tu cache bien ton jeu Armin Arlert ! Tu es répugnant !

Armin: (t/p) depuis que je te côtoie tu n'arrête pas de te valoriser. Tu es constamment entrain de me rabaisser ou de mettre sur mon dos toute tes erreurs ! J'ai fait preuve de gentillesse, après avoir éviter que tu te brise le crâne je t'ai emmené ici car si je t'avais emmené à l'infirmerie le caporal Livai aurait allongé ta corvée de ménage! Pendant que tu était ici évanoui moi je m'occupais de finir le ménage avant de venir pour m'occuper de toi. (t/p) je ne suis pas du genre pervers. Arrête de toujours voir le mal là où il n'y est pas et ouvre les yeux.

Il rigole la j'espère ?
Il me kidnappe et ce permet de me reprendre avec des excuse bidon ?

Moi: Tu ne m'aura pas avec tes beau discours Armin Arlert , j'ouvre les yeux et tout ce que je vois en face de moi c'est-c'est...

Armin: Tu vois , même toi tu ne sais pas ce que tu vois.

Il continu à me rabaisser, il cherche quoi au juste ?

Je me leva brusquement du lit en direction de la porte

Armin: Ou-ou est-ce que tu va ?

Moi: Je retourne dans ma chambre

Armin: Tu sais que même si tu retourne dans ta chambre tu aura toujours tord.

J'ignora ses paroles et quitta le plus rapidement possible cette pièce .

Attend je rêve , il vient de dire que j'avais TORD ?
C'est lui qui est en tord !
(t/p) TU as raison , j'ai raison .
J'ai raison par-ce-que-... par-ce-que... par-ce-que quoi ?

Ho et puis mince !
J'enfonce la poignée de la porte de la chambre d'Armin et rentra dans celle-ci , sans un mot.

Armin: (t/p) ?

[Armin x reader] : Un amour à l'état pur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant