Nouvelle vie (Grindeldore/Snarry)

Chapitre 1 : De retour

Tout commença lors d'une nuit d'orage. Le tonnerre grondait, les éclairs illuminer le ciel, et la pluie marteler le sol. Le ciel se déchaînait, comme un homme en colère, il criait, pleurer, se déversant sur la Terre.
Et ce fut durant cette nuit, que deux hommes  se reveillèrent de leur long repos.

Se relevant difficilement, Albus Dumbledore ouvrit les yeux, avant de prendre une grande inspiration comme s'il manquait d'air. Regardant autour de lui de droite à gauche, l'ancien directeur se demandait ce qu'il pouvait bien faire ici. Quelque minutes auparavant, il se trouvait être avec James Potter, en train de discuter, et maintenant il était là. Était-il descendu en enfer ? Sortant du cercueil où il était assis, Albus se mit debout, regardant le paysage autour de lui, tentant de se repérer.

Le cercueil avait comme était sorti de son trou, par quelqu'un ou par le tonnerre ? Personne ne le savais. Mais Albus compris rapidement, il n'était pas en enfer, non il écopait d'une peine bien pire, il était de retour sur Terre. Soupirant, l'homme regarda dans la tombe, a la recherche de sa baguette, mais rien, elle n'y était plus. Ce fut quelque seconde après qu'il se rappela que Harry s'en était servi lors du combat final, avant de la briser en deux. Quel gâchis pensa l'homme, qui avait regardé le combat entre Voldemort et Harry du ciel.

Après quelques minutes à rester sous la pluie, Dumbledore décida de transplané au seul endroit qu'il considérait comme sa maison. C'est ainsi qu'il se retrouva devant les immenses grille de Poudlard, cette école qu'il avait géré durant tant d'années. Il se demandait d'ailleurs si Severus était toujours à la tête de Poudlard. Même si du ciel Dumbledore pouvait tout voir, il avait décidé, après le combat final, de couper les ponts avec le monde d'en bas. Cessant de tout surveiller, alors il ne savait absolument pas, ce qui avait bien pu se passer sur Terre durant les quelques années qui avait succédé la fin de la guerre.

Connaissant ce château comme sa poche, Dumbledore se dirigea vers son ancien bureau, où il espérait si possible, trouver quelqu'un. Il monta donc quatre a quatre les marches de l'escalier principal a une vitesse dont il ne se croyait pas capable. Il ne savait pas que revenir a la vie, voulait dire retrouver des forces perdu depuis des années. Vous l'aurez donc compris, Dumbledore ne s'était toujours pas regarder dans un miroir, ne sachant donc pas qu'il avait rajeuni et pensant simplement qu'il s'était réveillé dans son corp de 115 ans, l'âge exact qu'il avait juste avant de mourir.

Assis devant un bureau, Minerva McGonagall, qui avait bien vieilli avec les années, semblait très occupé. Un bout de parchemin devant elle, elle écrivait une lettre a l'école de sorcellerie du nom de Dumrstrang, situer quelque part en Europe. Un de ses élèves déménager, et son dossier devait être envoyé, finalisant ainsi la procédure de changement d'établissement.
Elle était donc concentré sur l'écriture de sa lettre, lorsqu'elle entendit un bruit provenant de la gargouille. Elle releva donc la tête pour voir qui pouvait bien venir la voir en pleine nuit, un élèves avait il besoin de parler ? Se demanda-t-elle, avant de finalement voir un homme pénétré dans le bureau.

Celui-ci avait les cheveux mis long de couleur auburn, plus précisément les cheveux châtain roux. Il avait les yeux bleus, il était d'une taille moyenne et habiller d'habit qui disait étrangement quelque chose a la directrice.
Elle se leva donc, avant de s'approcher de l'inconnu qui était complètement trempé.

- Minerva ! S'exclama Albus tout de même heureux de la revoir.

C'est à ce moment que la femme reconnue les habits, ils s'agissaient de la robe de sorcier, dans laquelle Dumbledore avait été enterré.

- Albus ?! Prononça-t-elle, manquant de s'étouffer.

- Cela est-il si surprenant de me voir vivant ? Demanda l'homme en rigolant. Tu me diras, j'aurai aussi été surpris a ta place. Rassure-moi je n'ai pas beaucoup changé ? J'ai peur qu'avec le temps, les vers m'est attaquer. Dit-il pour plaisanter, s'imaginant en décomposition ce qui expliquerait la tête de Minerva.